Une femme de la ville de Kalmar a été violée collectivement par trois Afghans après une soirée, rapporte le site Fria Tider. Les réfugiés ont violemment agressé la femme pendant une promenade. Ils se sont moqués d'elle, l'ont violée et ont pris des photos très dérangeantes durant l'agression.
En septembre 2017, la femme, mère d'un enfant en bas âge, a organisé une soirée chez elle et chez son mari dans la ville de Kalmar. Le soir, elle est sortie se promener et c'est alors qu'elle s'est sentie mal. Elle a téléphoné à son mari. Juste après, des réfugiés "mineurs" sont apparus et ont commencé à la suivre.
Après l'avoir suivi un bref instant, ils l'ont agressée et l'ont forcée à descendre une petite route. "Ils se sont moqués de moi comme si c'était amusant. Ils ont baissé mon pantalon et ma culotte", a déclaré la victime lors du procès.
Les trois Afghans l'ont tous violée. Heureusement pour elle, elle a été retrouvée plus tard par la police qui avait été contactée par son mari inquiet.
Lorsque la femme est sortie de l'hôpital, elle était dans un état épouvantable. "J'espère ne plus jamais la voir comme ça", a déclaré le mari lors du procès.
Les réfugiés mineurs ont également pris des photos de la femme. Les images la montrent quand elle était au sol pendant qu'un violeur lui tenait la main sur la poitrine, pointant son majeur vers elle.
Le tribunal de district a déclaré que "en prenant des photos, les auteurs ont montré une brutalité et une cruauté particulières".
Deux des trois Afghans ont été identifiés et condamnés par le tribunal du district de Kalmar. L'un a été condamné à 11 mois et l'autre à 1 an et 2 mois dans un centre pour mineurs. Les deux seront également expulsés de Suède.
La femme a été traumatisée par cette expérience horrible, mais elle essaie de rester forte pour l'amour de ses enfants. Cependant, elle n'ose plus sortir après la tombée de la nuit, elle évite les foules et suit une thérapie depuis l'attaque.
Source Source2 Source3 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Point 1: il va falloir commencer à penser racialement, cela peut être fait immédiatement, enclencher un processus de communautarisation.
Point 2: il va falloir commencer à conceptualiser une “post-légalité”,
notamment à l’encontre des allogènes dangereux et de nos “élites” qui ont créé
cette situation. Y réfléchir dès maintenant, par exemple par la fiction. Mais que les
méthodes d’action commencent à prendre forme dès aujourd’hui.
Sinon, on est mort.
Avocat depuis 30 ans, je peux dire que ce sont des peines pour vol de voiture ou port d’arme sans utilisation , c’est un an…. rien a voir avec un viol en réunion et actes de barbarie qui sont punis en général de 18 a 25 ans de détention en moyenne…..
Hou, la vilaine ! Encore une raciste, une stupide Kouffar blanche, une bécasse même pas voilée, qui n’a pas compris l’enrichissement culturel auquel, ils voulaient, en toute innocence, la faire participer. Barrière des langues ? C’était leurs travaux pratiques sur la sourate du “gai cultivateur-laboureur “(Sourate 2, verset 223 : Vos épouses sont pour vous un champ de labour. Allez à votre champ quand vous le voulez.”)
Mais comme ils n’ont pas amené de femmes lors de leur “fuite” du pays, ils étaient bien obligés de faire avec une indigène, et leurs champs à tous ces allogènes, c’est la Suède maintenant… M’enfin les hommes du Nord, ce n’est plus Welcome refugees ?
Selon la doctrine des biens-pensants droits-del’hommiste, elle n’aurait pas à se plaindre et elle devrait plutôt être rongée par le remord car ces pôvres djeunes ont été expulsés à cause d’elle…
Et hop, deux de moins, mais à ce rythme, cela risque de prendre beaucoup de temps, et du temps, nous n’en avons pas beaucoup… Mais combien faudra-t’il d’enfants, de femmes, d’hommes, attaqués, volés, violés, égorgés, assassinés ou rescapés et traumatisés à vie avant de retrouver une société normale, sans ces prédateurs importés ?
“Les deux seront également expulsés de Suède.” Allez, Simmonetta, un petit geste d’accueil charitable pour ces âmes égarées expulsée “injustement” de Suède. La Suisse “manque” de violeurs.