« La Suisse se comporte comme un Etat voyou »

post_thumb_default

En même temps ça vient de Dupont-Aignan…

Evoquant l’arrestation en Suisse de Pierre Condamin-Gerbier le 5 juillet, le député souverainiste Nicolas Dupont-Aignan a considéré mardi que la Suisse, pour préserver ses relations avec la France, devrait cesser «de se comporter comme un Etat voyou», et a déploré que Paris «reste très silencieux» dans cette affaire.

«Après avoir échoué à faire taire M. Falciani, l’arrestation de Pierre Condamin-Gerbier, ancien cadre de la banque Reyl, par la justice suisse est une menace à peine voilée envoyée à la France. Plus que ses révélations dans l’affaire Cahuzac, Berne reproche à Pierre Condamin-Gerbier d’aider la justice française à démasquer d’autres exilés fiscaux. Nos voisins helvétiques ne transigent pas avec le secret bancaire.

[...] Si vraiment la Suisse veut continuer à avoir des relations avec la France et si les banques suisses veulent continuer à exercer en France, il va falloir qu’elle arrête de se comporter comme un État voyou».

Il faudrait savoir qui menace qui...

Lire la suite

4 commentaires

  1. Posté par mélennec le

    1793 LES CHAMBRES A GAZ DE NANTES. (Dr LOUIS MELENNEC).

    « Les Bretons sont les Juifs de la France » (Herbert Pagani).

    Les chambres à gaz n’ont pas été inventées par les nazis, mais, sauf preuve contraire, par la France des droits de l’homme. Les gaz mortifères ont été essayés à Nantes par les défenseurs des droits de l’homme. Par bonheur, ce fut un échec.

    La guillotine et les exécutions étant trop lentes, pour tuer davantage et plus vite les Bretons de Nantes, les « révolutionnaires » de Paris pensèrent à utiliser un moyen plus efficace : les gaz toxiques.
    Les Français envoyés par la Convention à Nantes, capitale de la Bretagne, avaient mis au point un procédé effroyable pour se débarrasser plus rapidement des populations nantaises : les noyades de masse. La guillotine, les balles, n’étant ni assez rapides, ni assez efficace, et coûteuses, il fallait trouver mieux.
    Le procédé des noyades est inauguré en 1793, par le sinistre Carrier, surnommé « le boucher de Nantes ».
    Le 16 novembre 1793, il fait noyer 90 prêtres. On utilise des gabarres à fond plat, aménagées pour pouvoir s’ouvrir par le fond. On peut y jeter 300 à 400 personnes, pêle-mêle, hommes, femmes, enfants, après les avoir frappés, cognés, et s’il s’agit de femmes, violées. Un autre moyen, mais peu efficace : on lie ensemble deux personnes – si possible le père et la fille, la mère et le fils -, dans des positions impudiques : la bouche du père et de la mère au contact des organes génitaux de leur fille et de leur fils, on les jette dans la Loire. Carrier appelle cela des mariages républicains.

    Les criminels de Paris ont exprimé par écrit leur ferme volonté d’éliminer la totalité de la population vendéenne, par génocide. Les Bretons sont programmés ensuite. Reynald Secher, qui a soutenu une thèse très documentée sur ces faits en 1985 en Sorbonne, détient les preuves écrites de ces génocides, et les a publiées, maintes fois. On devait remplacer ces populations par d’autres, venues de France, qui auraient reçu un « label de qualité », et auxquelles on aurait distribué les biens des populations vendéennes et bretonnes assassinées.
    On demanda à des chimistes nantais pour mettre au point des gaz mortels, susceptibles d’ »améliorer » les rendements criminels des spécialistes des droits de l’homme. Fourcroy fut le principal de ces héros.
    En 1792, il est élu quatrième député suppléant de Paris à la Convention nationale. Lorsque Turreau lui demande un gaz capable de tuer en une seule fois plusieurs centaines de Vendéens enfermés dans un lieu clos, comme une église, Fourcroy lui répond qu’à sa connaissance, ce gaz n’existe pas encore. Des essais sont effectués. Les moyens utilisés n’obtiennent que peu de résultats et sont abandonnés. 

    L’histoire connaît d’autres exemples que ceux de Nantes.
    En Algérie, les « enfumades » sont restées tristement célèbres. Ils sont l’oeuvre, cette fois encore, du pays qui s’est gargarisé jusqu’à ces dernières années d’avoir inventé les droits de l’homme !

    Les atrocités sont constantes dans toutes les guerres. Il ne s’agit pas, ici, de condamner les atrocités commises par les Français, parce qu’ils sont Français, mais de faire prendre conscience à nos lecteurs des abominations dont l’espèce humaine est capable, et de ne pas continuer à les dissimuler.

    Des gaz ont été utilisés durant la première guerre mondiale. Trois se sont révélés particulièrement nocifs : le gaz moutarde ou ypérite, le gaz sarin, le gaz VX. Le simple contact avec la peau peut entrainer des brulures graves, et laisser des séquelles très sérieuses. Ces procédés horribles ont été utilisés sur le mode industriel par les nazis, pour tuer des Juifs, des homosexuels, des tziganes, des handicapés. On utilisait le zyklon B (acide cyanhydrique), parfois le monoxyde de carbone.

    Fourcroy a une rue à son nom à Paris, et a l honneur d’avoir sa statue sur la façade de l’hôtel de ville de Paris.
    A Nantes, si le procédé de l’administration de la mort par les gaz a échoué, à Savenay, à 30 kilomètres au nord de Nantes, en pleine Bretagne, on se livra à des actes d’une barbarie hallucinante. Voici ce qu’en dit Westermann lui même :

    «  Nous fîmes une boucherie horrible, les dernières des six pièces de canon, quelques caissons, équipages, trésors, etc, tout tomba en notre pouvoir… Partout on ne voyait que des morceaux de morts. Moi je me suis attaché à quelques pelotons de cavalerie et d’infanterie qui s’étaient sauvés sur la gauche. Tous furent noyés ou taillés en pièces. Les brigands qui échappèrent, cette journée, à la mort furent traqués, tués ou ramenés par les habitants des environs. Dans la banlieue de Savenay seule, plus de six mille ont été enterrés ».
    Lettre de Westermann au Comité de Salut Public
    « Il n’y a plus de Vendée, citoyens républicains. Elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l’enterrer dans les marais et les bois de Savenay. Suivant les ordres que vous m’aviez donnés, j’ai écrasé les enfants sous les sabots des chevaux, massacré les femmes qui, au moins pour celles-là, n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé. Un chef des Brigands, nommé Désigny, a été tué par un maréchal-des-logis. Mes hussards ont tous à la queue de leurs chevaux des lambeaux d’étendards brigands. Les routes sont semées de cadavres. Il y en a tant que, sur plusieurs endroits, ils font pyramides. On fusille sans cesse à Savenay, car à chaque instant il arrive des brigands qui prétendent se rendre prisonniers. Kléber et Marceau ne sont pas là. Nous ne faisons pas de prisonniers, il faudrait leur donner le pain de la liberté et la pitié n’est pas révolutionnaire»

    Les traces de ces histoires horribles ont été effacées. Jamais un agrégé ou un docteur en « hystoyre » « breton », jamais un députeu, jamais un sénateu n’ont évoqué ni condamné ces horreurs.
    Mais un certain Louis Mélennec est allé en 2009 à Bruxelles, non sans avoir fait imprimer, avec l’aide de Pierre Lemoine, qui fut président de la FUEN pendant plusieurs années, dans une brochure intitulée LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, d’une cinquantaine de pages, ce que fut le martyre de la Bretagne.
    Il n’y a eu aucun écho ni dans la presse française, ni, bien sûr, dans la presse bretonne. Le premier tirage a été épuisé rapidement. Ce petit livre a été publié in extenso sur la toile, et mis gratuitement à la disposition des lecteurs. Il a fait le tour du monde, grâce à La voix de la Rusie, et à l’aide de La Pravda. L’auteur a renoncé, à tous ses droits au bénéfice des associations qui luttent pour que la vérité soit connue.

    Nous devons à Reynald SECHER d’avoir connaissance de ces faits abominables. Louis Mélennec a été exclu de tous les merdias
    français et bretons pendant vingt ans. Ses ennemis les plus féroces : les Bretons, en particulier l’officine dénommée « WIKIMERDIA ». Mais plusieurs pays ont fait connaître très largement ses travaux.

    Non ! M. Mélenchon, nous ne sommes pas les fils de la grande révolution française. Si vous l’êtes, assumez cette vocation, puisque vous en avez fait publiquement l’aveu. Je ne fais pas partie de cette horde nauséabonde.
    J’ai lu quelque part que parmi les historiens Juifs qui ont consacré leurs publications à la Shoah, certains ont perdu la raison. On peut comprendre cela. Quant à moi, j’ai résisté. Mais on ne fait pas impunément des recherches historiques sur ces horreurs sans que cela laisse des traces.

    Bibliographie sommaire.

    Babeuf Gracchus, Le système de la dépopulation, ou populicide.
    Bréjeon Jean-Joël, Carrier et la terreur nantaise, Perrin 1987.
    Gabory Emile, Les guerres de Vendée, Paris, collection Bouquins.
    Secher Reynald, La Vendée vengé, Le génocide franco-français, Perrin. Ouvrages de Secher sur ce sujet, diffusés dans dd nombreux pays.
    Les enfumades d’Algérie. Nombreuses publications sur la toile.

  2. Posté par louis mélennec le

    LA FRANCE EST PIRE QU’UN ETAT VOYOU
    @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

    Le pays des droits de l’homme et de la justice « socyalyste » superlative : François Mitterrand : la France démasquée. PIQÛRE DE RAPPEL.

    @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

    La justice socialiste du pays des droits de l’homme du temps du socialiste François Mitterrand. Extraits du rapport de Alain BANCAUD sur les horreurs judiciaires de la France, parangon de vertus républicaines. (Je fus l’un des destinataires de ces recherches, ayant été candidat aux fonctions de Médiateur de la République en 1998). MAIS ATTENTION ! Il est strictement interdit d’être honnête en France. Et si, en plus, vous êtes compétent : VOUS ÊTES PERDU ! Et vous, Bretons qui êtes roulés depuis cinq siècles (“Esclaves et fiers de l’être”), vous êtes particulièrement concernés. @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

    “La volonté de contrôle politique de la justice s’exprime également au travers des interventions “fréquentes et variées” du président MITTERRAND dans les affaires en cours. “Leur champ d’action semble quasiment sans limite, note Alain Bancaud. Elles concernent des affaires aussi bien pénales que civiles, commerciales, disciplinaires, de droit du travail. Des affaires traitées aussi bien par la Cour de Cassation et un parquet général qu’un petit tribunal de province et un juge des enfants. Des affaires politiques aussi bien qu’ordinaires et privées.” A côté de la Corse et des dossiers mettant en cause des hommes politiques, on trouve des affaires de survie d’entreprise, de divorce et de garde d’enfants, de permis de chasse et de conduire, de mariages posthumes, d’expulsion et de banqueroute… Les interventions du président peuvent “survenir aussi bien après la publication d’un article de journal qu’à la suite de requêtes de particuliers et d’interventions d’hommes politiques, d’associations, d’organisations syndicales, d’avocats, qui agissent en leur nom propre ou pour appuyer une demande d’élécteurs, d’affiliés, de militants, de clients”. Il y a parmi eux des amis – notables ou inconnus -, des ministres, des parlementaires, des élus ou anciens élus du PS, des mères de famille, des simples salariés, des dirigeants d’organisations nationales ou des responsables d’associations locales aux buts les plus divers et variés. La nature des interventions de la présidence est variée : “Elles vont, note le sociologue, d’une simple demande de renseignements sur l’état d’une instruction, les motifs d’une inculpation, les raisons d’un nonlieu, la position qu’entend prendre un parquet…, à des demandes d’instructions à donner.” Il y a des interventions générales qui se bornent à rappeler certains principes de politique pénale, mais aussi des interventions particulières qui, “même si la présidence manifeste le souci de ménager l’autorité de la chancellerie et manie l’euphémisme, sont parfois formelles et quasiimpératives”. Un bordereau adressé au directeur de cabinet du ministre de la justice se conclut ainsi : “En soulignant que la requérante est une relation de M. le Président de la République, et en vous priant de bien vouloir envisager d’attirer sur cette affaire l’attention de M. le procureur général.” Ou encore, dans une lettre d’un conseiller de l’Elysée à un ministre : “Je me propose de parler de cette affaire au procureur de la République afin que les réquisitions à l’audience aillent dans le sens d’une peine amnistiable.” François Mitterrand a également demandé, par deux fois, de sanctionner des substituts ayant tenu, à l’audience, des propos virulents contre des immigrés. Pour l’un d’eux, une note du conseiller de président précise : “Le garde des Sceaux m’a indiqué qu’il ne voulait prendre aucune mesure à son encontre, car [à l’audience] la parole est libre, mais qu’il veillerait à ce que ce substitut soit sanctionné dans sa carrière.” Pour Alain Bancaud, ce “pouvoir sur la justice” institue le président de la République “en ultime recours, en juge suprême”. “Le paradoxe de la gauche, conclut le chercheur, c’est finalement d’avoir à la fois renforcé des ressentiments, des révoltes, en conservant un système de contrôle et d’intervention et d’avoir élargi les possibilités et la légitimité de ces contestations en favorisant l’affaiblissement de la déférence d’Etat et de la hiérarchie qui permettaient jusqu’ici de tenir les juges.” (Extraits de l’article publié par Cécile Prieur dans le Monde du 23 juin 1999).

    Cet article devra être reproduit autant de fois que nécessaire. Il sera TOUJOURS d’actualité. Car il est inhérent à l’exercice du pouvoir en France : copiez-le, car il est menacé en permanence par l’abominable censure, qui devrait conduire les censeurs en prison.

    NOTEZ BIEN : Contrairement à M. MELENCHON, ma personne n’est pas sacrée !

  3. Posté par louis mélennec le

    DOCTEUR MELENNEC, Breton depuis 2000 ans. LA FRANCE, ETAT VOYOU, ETAT BANDIT.
    Je m’aperçois que, dans mon commentaire précédent, je n’ai pas précisé le lien qui permet d’accéder à mon article sur la voyoucratie de l’ETAT FRANCAIS. Des illégalités sont sûrement commises en Suisse, comme ailleurs, hélas. Je déplore les propos imprudents de M. DUPONT-AIGNAN, que je tiens pour un honnête homme, mais qui n’est sûrement pas informé de ce qui se passe dans son pays. Les faits que je relate ont été vécus, et vus de mes yeux vus, au cours de mes différentes fonctions. Lisez ceci, vous allez être sidérés. M. Mélenchon, notre ami commun, reçoit la présente. M. Dupont-Aignan aussi. Lorsque vous recevrez la visite de Français qui viennent vous faire la morale, jetez leur tout cela à la figure : vous rendrez service à toute l’humanité, à la Bretagne en particulier. Et surtout, ne vous laissez plus conter des histoires ridicules sur les prétendus droits de l’homme prétendûment inventés par la France en 1789.

    http://louis-melennec.fr/2013/12/09/comment-la-france-est-gouvernee-etat-voyou-ou-etat-bordel-pire-un-etat-cloaque/

    Louis Mélennec, dit “le bon docteur”.

  4. Posté par Mélennec le

    Blog Mélennec actualités et politique
    2013. LA REFONDATION DE L’ETAT-BORDEL , dans sa totalité : LA FRANCE , l’inénarrable « Pays des Droits de l’Homme « ..
    Laisser une réponse
    COMMENT LA REPUBLIQUE DES DROITS DE L’HOMME est « gouvernée » : La France, Etat-voyou ou Etat-bordel : PIRE, LES DEUX à la fois : UN CLOAQUE. C’EST L’ETAT FRANCAIS QUI DOIT ÊTRE DETRUIT DANS SA TOTALITE, PUIS ENTIEREMENT RECONSTRUIT.

    Les complicités effarantes du haut en bas de l’échelle de l’Etat maffieux..

    LIRE LA TOTALITE DE CET EFFARANT ARTICLE : taper dans Google : mélennec état voyou

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.