Quand la duchesse Kate affirme son droit à s'habiller comme elle le veut, les féministes veulent la mettre au pas.
Tamara Wernli est une femme écrivain bâloise à succès qui tient une rubrique régulière dans la Basler Zeitung. Dans la dernière en date, elle évoque le cas de la duchesse royale d'Angleterre, femme du prince William, qui a usé de son droit de liberté individuelle en ne s'habillant pas de noir à une cérémonie de remise de prix, comme l'exigeaient les féministes voulant une fois de plus stigmatiser les hommes, blancs de préférence. Tamara Wernli, évoquant les commentaires furibonds de ces harpies, revient sur le manque de solidarité entre femmes et notamment sur le fait que ces féministes ne se rendent pas compte du paradoxe que représentent leurs dénonciations, qui d'une part devraient rappeler chaque fois le statut de victimes des femmes, mais ont d'autre part pour résultat qu'une seule femme, par une simple accusation, peut détruire d'un coup l'existence d'un homme. Leurs "hashtags" ne sont donc pas aussi innocents qu'elles veulent bien le prétendre.
https://bazonline.ch/leben/frauen-und-ihre-feinde/story/26412607
Traduction (Claude Haenggli): Ces dames, dans leur indignation permanente, ont oublié que Kate faisait simplement usage de son droit de s'habiller comme elle le voulait. On ne peut se défendre de l'impression que pour beaucoup, il ne s'agissait pas de la critique d'un manque de solidarité, mais tout simplement de "Kate-Bashing". Il semble qu'en général la critique envers les femmes provient surtout d'autres femmes. Derrière la façade d'une prétendue solidarité se cache souvent une attitude critique irrationnelle et un comportement plein de grossièreté à l'encontre de leurs camarades du même sexe. Bien que ces dames radotent continuellement de solidarité féminine, il faudrait plutôt parler de mise au pas, car leur comportement est plus proche de la répression dictatoriale que du soutien entre femmes.
Avec mes meilleures salutations
Claude Haenggli, 24.2.2018
Encore une tempète dans un verre d’eau !
Votre Altesse,
retournez aux harpies de la féminitude le mot de Cambronne !
Ces idiotes de ” féministes ” sont en fait de véritables harpies. Kate a raison .
J’aime bien :” en général la critique envers les femmes vient des femmes”.
Un piège de femme : nous sommes toutes là à essayer de tenir “nos maisons ou appartements hyper propres, coquets, guettant le moindre désordre, voulant une netteté et une perfection inatteignable PAR PEUR D’ETRE JUGEES PAR QUI : DES FEMMES BIEN SUR.
Bienheureuses celles qui s’en foutent car elles s’aiment.