Commentaire

Malgré sa révolte contre son enlèvement (par son père), cette jeune musulmane reste une bigote, comme tous les cas similaires que nous connaissons, tant le lavage de cerveau est puissant.

Et à 15 ans, elle est enceinte, comme bien des femmes au sein de la culture musulmane. Qu’est-ce que cela va donner plus tard ?

Dans les pays occidentaux, nous croisons de plus en plus de femmes foulardées qui ont déjà 1-2 enfants avant leur majorité. On sait que l’adolescence est un âge qui devrait être consacré à l’apprentissage d’un métier pour devenir un membre utile de la société, alors que pondre des rejetons pour les faire entretenir par les autres est un fléau… même dans le monde des oiseaux.

Ici, rien ne permet d’espérer que cette jeune fille se « désintoxique » de cette idéologie dont son cerveau est gorgé, et qu’elle s’en sorte.

La comparaison est instructive avec la vie de Natascha Kampusch, elle aussi kidnappée à l'âge de dix ans. L’emprise de son ravisseur, Wolfgang Přiklopil, a été bien moindre sur Natascha Kampusch que celle de l’Etat islamique sur ses sujets.

Sauf erreur de ma part, chaque femme occidentale ayant pu échapper, après des années, aux griffes des djihadiste, a gardé son tchador et a continué d’être fidèle à son Allah.

Pourtant, le traumatisme de Natascha Kampusch a été bien plus sévère :

- isolement social total,

- durée de l’horreur plus longue,

- un pervers sadique comme unique référence.

Malgré cela, et en dépit d’un corps très affaibli, elle a eu le courage de s’évader par ses propres forces, puis de prendre du recul envers les événements horribles qu’elle avait vécus. En dépit de son traumatisme, elle a su conserver bien davantage son individualité que l’islam n’en laisse la possibilité à de telles victimes.

Cenator, 17 octobre 2017