J'ai eu l'occasion de participer le lundi 11 septembre au colloque de l'université de Fribourg: hostilité envers les musulmans.
Moi-même étant de père iranien et de mère suissesse, ayant vécu en Iran, ayant toujours été un apostat de l'islam et j'ai aussi participé à la collecte de signatures pour l'initiative anti-burqa.
J'ai trouvé le colloque digne des meilleures années soviétiques sous Brejnev ou les colloques actuellement organisés par l'Université de Téhéran sur le thème amour pour Mohamad le prophète.
Mme Mireille Vallette et Monsieur Sami Aldeeb ont écrit leurs impressions à ce sujet, ce que je partage fortement.
Durant la pause à 15h, j'ai eu l'occasion d'entendre Mme Brunschwig-Graf qui disait à un auditeur d'origine algérienne, lui-même très critique envers l'Islam, que le coran et l'islam ne pourront jamais prendre le dessus en Suisse, vu notre système démocratique.
Je pense tout le contraire, une démocratie est beaucoup plus simple à changer qu'un régime dictatorial. En Suisse avec 100,000 signatures on peut proposer des lois, ce qui est impossible dans les autres pays.
Nous devrions trouver les moyens de démontrer la malveillance de CSIS afin de pouvoir mettre fin à ces colloques qui en fait ne font qu'attiser la haine et la méfiance envers des personnes originaires du Moyen-Orient
Merci de votre attention.
Meilleures Salutations
Amin M. 14.9.2017
C’est comme si l’on reprochait aux Juifs d’être hostiles aux nazis.
Victimes et coupables sont inversés.
Comme le cambriolé est coupable d’avoir tabassé le cambrioleur.
Nous disposons de nombreuses études qui décortiquent l’islam et entre autres le livre et les vidéos de J.J. Walter ou du prof Sami Aldeeb que vous trouvez sur ce site. Il suffit que l’Etat se mette à analyser ce que c’est que l’islam et les conclusions tomberont d’elles mêmes. C’est aussi somple que ça !
@ Amin. Merci à vous. Poser la question est y répondre, du moins partiellement. La démocratie n’est pas un modèle exportable ou applicable tel quel. Une démocratie à une histoire et surtout l’approbation et le soutien du peuple. Pour éradiquer les tendances extrêmes comme la mafia ou l’islamisme, les moyens démocratiques ne suffisent pas. Les uns prospèrent alors que les autres montrent leurs limites. C’est un cercle vicieux.