«Il est évident que la hausse d'activité des services secrets étrangers est dirigée contre la Russie et nos voisins», a déclaré le maître du Kremlin lors d'un discours devant des membres des services russes de renseignement extérieur, le 28 juin.
Pour le président russe, les services secrets étrangers cherchent à «influencer les processus de politique intérieure et sociaux» en Russie.
Plusieurs lois visant à lutter contre l’ingérence étrangère
Vladimir Poutine a signé en 2015 une loi permettant de désigner des organisations étrangères actives en Russie comme «indésirables», accusées de vouloir influencer la vie politique et la société russe.
Une autre loi votée en 2012 oblige les ONG bénéficiant d'un financement de l'étranger et ayant une «activité politique» à s'enregistrer comme «agent de l'étranger».
Mi-juin, il avait accusé le média britannique BBC de faire la «propagande» de l'opposant russe Alexeï Navalny.
Pour Vladimir Poutine, la Russie est également confrontée à des «tentatives de freiner [son] développement, imposer une confrontation, déstabiliser les régions qui se trouvent proches des frontières [russes]».
Des services secrets étrangers n'hésitent pas à «choyer» et à «utiliser comme une arme» des groupes terroristes et extrémistes contre la Russie, a-t-il également avancé.
Extrait de: Source et auteur
“Syrie: Macron dans le bourbier chimique
Bassam Tahhan, analyste franco-syrien des questions internationales, nous donne plus de détails à ce sujet : Ajoutée le 28 juin 2017
“La Maison-Blanche a prétendu dans un communiqué, le mardi 27 juin, sans aucun document à l’appui, que le gouvernement syrien serait en train de préparer une attaque chimique.
Elle est même allée jusqu’à prévoir les résultats d’une attaque n’ayant même pas eu lieu.
De leur côté, les présidents français et américain Emmanuel Macron et Donald Trump se sont entretenus par téléphone. Ils ont réitéré l’impératif de préparer une réponse commune « en cas d’attaque chimique en Syrie ». Cette conversation téléphonique est intervenue alors que dans un entretien accordé à plusieurs journaux européens, publié le 22 juin, Emmanuel Macron avait assuré que la destitution de Bachar al-Assad n’était pas un préalable à la résolution du conflit syrien. (…)”
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