Strasbourg - La Commission européenne a menacé mardi de lancer des procédures d'infraction contre la Hongrie et la Pologne si elles refusent toujours d'ici juin d'accueillir des demandeurs d'asile depuis l'Italie et la Grèce, comme l'impose un plan européen adopté en 2015.
"Si rien n'est fait avant notre prochain rapport en juin, la Commission n'hésitera pas à utiliser ses pouvoirs en vertu des traités et à ouvrir des procédures d'infraction", a déclaré le commissaire aux Migrations, Dimitris Avramopoulos, lors d'une conférence de presse au Parlement européen à Strasbourg.
Face à l'afflux extraordinaire de demandeurs d'asile en Italie et en Grèce, les pays de l'UE étaient convenus en septembre 2015 de se répartir de manière exceptionnelle jusqu'à 160.000 personnes en deux ans depuis ces deux pays vers le reste de l'Union.
Mais ce plan temporaire dit de "relocalisation", censé incarner la solidarité européenne, a surtout illustré les divisions entre Etats membres, qui ne l'ont appliqué qu'au ralenti, voire pas du tout pour certains. Au 16 mai, seulement 18.418 demandeurs d'asile ont ainsi été répartis, a indiqué mardi la Commission.
"J'appelle la Pologne et la Hongrie, qui n'ont pas encore relocalisé la moindre personne à commencer à le faire immédiatement", a insisté M. Avramopoulos, en désignant en particulier ces deux pays les plus récalcitrants.
Selon la Commission européenne, ils sont avec l'Autriche "les seuls Etats membres à ne pas avoir encore" accueilli le mondre demandeur d'asile selon les quotas décidés en 2015, manquant ainsi "à leur obligation juridique et aux engagements pris à l'égard de la Grèce et de l'Italie".
L'Autriche, qui avait demandé une exemption temporaire à ce plan, "s'est toutefois formellement engagée à relocaliser 50 personnes depuis l'Italie, une décision saluée par la Commission", qui l'appelle aussi "à commencer à le faire pour la Grèce.
L'exécutif européen a également pointé du doigt mardi la République tchèque qui n'a pas contribué aux relocalisations depuis "près d'un an".
Depuis quand une bande de bon à rien de l’UE même pas élus par les peuples .d’obligait à des millions de gents de recevoir contre leur volonté à prendre des envahisseurs . .La révolte va partir de Bruxelles. Et là tous ces rats vont vite se mettrent à l’abris peur de représailles .
Hongrie, Pologne et tout les pays de l’Est, résistez, ne vous laissez pas bouffer par ce monstre qu’est l’UE. Vous êtes chez vous, c’est pas à eux de décider ni de votre avenir et encore moins de votre sécurité. Regardez le b… dans les pays de l’Ouest et Nord de l’Europe. Combien de victimes innocentes et sacrifiées pour satisfaire le délire des dirigeants. N’oubliez jamais, ne faites pas la même erreur que nous: Restez Unis !
Ce serait judicieux de faire savoir à la Hongrie et la Pologne que les “sans dents” du reste de l’europe les approuvent.
Un petit mail de soutient serait sans doute de bon ton .
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Je dirais seulement..et sachant que mon discours va être modéré..je dirais même que la Pologne ET la Hongrie ont le triste exemple de la conduite invasive..violente…de la Part de ces pseudos réfugiés…je leur tire mon chapeau…et les encourage à résister au fascisme de Bruxelles.
C’est faux ils ne refusent pas d’accueillir des migrants, ils refusent seulement des musulmans!
Car ce ne sont pas les dictateurs de Bruxelles qui paient les pots cassés.
Viol, vol, violences, insultes à l’encontre des autochtones, refus des lois, des us et coutumes, refus de la nourriture locale, refus de travailler, déstabilisation des services sociaux car les femmes pondant à outrance, et j’en passe.
Alors bravo à ces pays et prenons-en de la graine mais avec la gauchiste au CF aucune chance!
J’espère que la Pologne et la Hongrie ne cèderont pas à ce chantage odieux de la part du couple Merkel Macron. Au moins il nous restera une destination pour les vacances, et même deux pays où nous pourrions nous installer. NOUS NE VOULONS PAS DE VOS MIGRANTS!!!!!!
Il n’y a écrit nulle part dans les traités qu’un pays doit accueillir les immigrés voulus unilatéralement et contre les traités par les fuhrer (“chef”) A. Merkel et F. Hollande. C’est de la dictature pure et simple ! Et du mépris pour les petits peuples. C’est pour cela que les Britanniques ont quitté l’UE.