Macron en marche vers l’Assemblée ? Journal du mardi 9 mai 2017

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Macron va-t-il rafler toute la mise ? Après sa victoire à la présidentielle, le jeune loup de la finance a une nouvelle étape à franchir : les législatives de juin prochain. Avec un score fragile pour gagner l’Elysée… rien ne l’assure d’avoir une majorité… même si tous les vieux briscards socialistes voient déjà le bifteck…

L’Assemblée sera-t-elle en Marche ? Maintenant qu’il trône au Palais de l’Elysée, Emmanuel Macron va devoir s’imposer au Palais Bourbon. Pour cela, la tâche n’est pas aisée. Si Emmanuel Macron avait, tout au long de la campagne, fait savoir que son parti ne serait pas une usine de recyclage pour vieux candidats en quête de mandat… il semble qu’il va devoir être plus magnanime.

1) Sécurité / Curtis, nouvelle figure victimaire de banlieue

2) Sécurité / Opération antiterroriste à la gare du Nord

3) Économie / Le prix du pétrole s’effondre

4) Histoire / Le 8 mai russe à Strasbourg

5) L’actualité en bref

 

En effet, avec son élection avec un faible score, obtenir la majorité va relever du numéro d’équilibriste. Il sera aussi important de ne pas fâcher les députés potentiels… car ils seront autant de petits cailloux dans les church’s de Macron. Dans ce cadre, malgré les qualificatifs de “traître” avec lesquels l’ancien ministre de l’économie désigne Manuel Valls, tout porte à croire qu’il faudra compter avec lui. En effet, l’ancien maire d’Evry a fait savoir qu’il espérait une investiture du mouvement du nouveau président… Pour autant, premier croque-en-jambe, le président de la commission nationale d’investiture d’En Marche, Jean-Paul Delevoye, a déclaré qu’aucun dossier pour une telle demande n’avait été transmise… renvoyant ainsi Manuel Valls au statut de simple député… Par ailleurs, pour se présenter, il faudra porter l’étiquette en marche… une règle non-négociable. Pourtant, l’ancien premier flic de France espérait se présenter investi par En Marche mais… avec l’étiquette socialiste… Une configuration aussi impossible pour le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis… Il est vrai que la rue de Solférino n’a guère apprécié la déclaration de Manuel Valls affirmant que le PS était mort… Les tractations vont donc être ardues…

Au delà de la petite cuisine, il fallait également apporter quelques changements juridiques à la structure macronienne. La première étape n’a pas tardé, puisque dès lundi, le jeune loup de la finance a démissionné de la présidence du mouvement en Marche au profit de Catherine Barbaroux. Dans le même état d’esprit, la structure a été transformée en parti politique… et donc affublé d’un bon vieux nom, à l’ancienne : la République en marche ! Le parti présentera évidemment des candidats dans toutes les circonscriptions… Les 577 noms seront normalement connus jeudi à midi… avec 61 % de Français souhaitant une cohabitation, pas sûr que le nom de Manuel Valls donne de l’élan à la marche !

Et alors que certains ont mis le cap sur les législatives… L’heure est aussi au bilan de la présidentielle. Alors que tous les éléments jouaient en sa faveur, Marine Le Pen est restée aux portes de l’Elysée… Pourquoi n’est-ce pas passé ? Le Front National peut-il vraiment gagner ? Éléments de réponse.

 

Plus de chômage, plus de terrorisme, moins de pouvoir d’achat… Voilà le bilan du quinquennat Hollande. Le cocktail social était donc parfait pour faire exploser le Front National… D’ailleurs, Marine Le Pen s’est qualifiée pour le second tour devant de sérieux concurrents tels que François Fillon ou Jean-Luc Mélenchon. Pour autant, malgré un très bon début d’entre-deux-tours, Marine Le Pen est restée bloquée en dessous des 11 millions de voix… Un record certes, mais pas suffisant pour gagner. Un genre de plafond de verre dont les media se plaisent à parler. Et si les media aiment en parler… C’est parce qu’ils contribuent à le maintenir en place. A peine Marine Le Pen qualifiée pour le 2e tour que les sirènes du politiquement correct ont retenti. Le péril était dans l’antichambre de la République française… Tremblez citoyens et mobilisez-vous.
Si la diabolisation à outrance a du plomb dans l’aile, elle fait toujours recette chez les bobos hystériques et l’arrière-garde vieillissante de mai 68… Les jeunes crédules habitués aux temps de paix sont aussi friands de sensations fortes. Ils se sentent enfin épris d’un sentiment… celui de lutter contre une guerre civile latente qu’ils combattent des doigts sur les réseaux sociaux via leurs smartphones valant un demi SMIC. Les Français issus de l’immigration, de plus en plus nombreux… sont également des cibles de choix pour observer l’agitation du chiffon rouge médiatique… quitte à accorder du crédit aux craintes les plus caricaturales. Pour autant, la réalité est simple… Cette élection de 2017 était peut-être la dernière où la composition démographique de la France laissait encore espérer un sursaut du camp patriote… Les media ont donc eu plus à coeur de sortir l’artillerie lourde. Deux ans qu’Emmanuel Macron était présenté sous son meilleur côté… photographié sous son meilleur angle… au gré des rendez-vous avec des paparazzi du système pour des photos prétendument volées. Le jeune premier avait toutes les qualités. La figure du Winner… et ils l’ont bien fait gagner. La presse a autant adulé Macron qu’elle a descendu Marine Le Pen. Avec le premier, aucun point sensible n’était évoqué. Avec la seconde… c’était un festival de plateau en plateau.

La petite préférence journalistique réside depuis toujours dans l’attaque du programme économique du Front National. Un programme qui depuis des années a profité là encore des plus caricaturales attaques de la part de journalistes qui ne s’y sont jamais réellement penchés. Cette fois, Marine Le Pen a donné du grain à moudre en donnant le signal d’une défaillance à quelques jours du 2e tour. Le ralliement avec Nicolas Dupont-Aignan de Debout la France et l’infléchissement consécutif du programme sur l’euro ont terminé de semer le doute dans les esprits. Pourquoi faire évoluer un programme si près du but si l’on est sûr de sa pertinence ? Voilà l’interprétation… L’adaptation de Marine Le Pen est alors perçue comme un renoncement… négatif donc. Au tour des média d’appuyer dessus et le tour est joué pour perdre quelques points.

Ultime bon coup des media… Tout au long du quinquennat, Marine Le Pen a été la seule à affirmer vouloir abroger purement et simplement la loi Taubira… mais la presse aura agité son absence aux Manifs Pour Tous… oubliant que François Fillon n’avait pas davantage manifesté… L’électorat catholique a donc eu un doute… tout au long du mandat de François Hollande… Ils ont préféré se tourner vers François Fillon au 1er tour et… plus étonnant… Pour le 2e tour, Emmanuel Macron a raflé la mise. 62 % des catholiques ont préféré se mettre en Marche sans Marine… Chez les pratiquants réguliers… 71 % ont choisi Macron… oubliant sa volonté d’autoriser la PMA… et d’accompagner les enfants issus de GPA…

Le Front National, malgré ses progrès indéniables dans les urnes, se frotte toujours aux mêmes problèmes… Raconté par des journalistes partisans, le parti de Marine Le Pen n’est – une nouvelle fois – pas parvenu à écrire sa propre histoire et à sortir des sentiers que les media lui ont tracé.

 

 

1) Sécurité / Curtis, nouvelle figure victimaire de banlieue

Après Zyed et Bouna, voilà Curtis ! Cet individu de 17 ans est décédé après avoir percuté un bus vendredi à Massy dans l’Essonne alors qu’il tentait d’échapper à un contrôle de police. Un nouvel événement qui risque d’enflammer les banlieues. Thibault Bastide

 

Curtis, nouveau symbole de la violence urbaine. Alors que l’affaire Théo avait enflammé les cités de la banlieue parisienne en début d’années, voilà que l’affaire Curtis vient de nouveau agiter les cités. Vendredi, l’individu de 17 ans a voulu échapper à la police alors qu’il circulait sur son quad sans casque. Selon les autorités, les policiers se sont dirigés vers lui à pied pour le contrôler, et l’adolescent a pris la fuite en les apercevant. Dans sa course, il a percuté un bus. Hospitalisé dans un état grave, l’individu a succombé à ses blessures dans la nuit de vendredi à samedi. Il n’en a pas fallu davantage pour faire réagir la banlieue. En effet, des violences ont éclaté dans le quartier du Grand Ensemble à Massy, quartier où vivait l’adolescent. Une quarantaine d’individus a cassé des vitres, des abribus et a allumé des feux de poubelles. Et comme pour Théo Luhaka, un rassemblement a été organisé samedi à la “mémoire” de Curtis.

Cependant, l’affaire ne s’est pas arrêtée là et les proches de la victime ont jeté de l’huile sur le feu en accusant directement les forces de l’ordre. Selon eux, c’est la police qui l’a percuté ce qui aurait provoqué la chute de l’adolescent.  Après ces déclarations, les forces de l’ordre ont été prises pour cibles. Des cocktails Molotov, des projectiles et des feux d’artifices ont été jetés dans leur direction.

 

Un fait divers qui rappelle l’affaire Zyed et Bouna, électrocutés à l’intérieur de l’enceinte d’un poste électrique alors qu’ils tentaient d’échapper à un contrôle de police. A chaque fois, le scénario se répète et les conclusions sont les mêmes… Ces individus sont victimes des forces de l’ordre selon les organisations antiracistes et sont des délinquants selon le système judiciaire.

 

2) Sécurité / Opération antiterroriste à la gare du Nord

Attentat imminent selon les forces de police. Dans la nuit de lundi à mardi, un important dispositif de sécurité s’est déployé gare du Nord à Paris pour rechercher 3 suspects fichés S. Les policiers n’ont finalement trouvé personne. Floriane Jeannin

 

Branle-bas de combat gare du Nord ! Lundi soir à Paris, la Brigade de recherche et d’intervention, la BRI, a fait évacuer le centre ferroviaire pour fouiller les 200 passagers d’un train en provenance de Valenciennes. L’opération a été lancée alors qu’une guichetière SNCF a signalé à la police avoir possiblement vendu des billets à des terroristes dont elle aurait vu la photo sur internet.

Les forces de l’ordre étaient à la recherche de 3 individus fichés S et susceptibles d’avoir rejoint la France pour y perpétrer un attentat pour le compte de l’Etat Islamique.

Leur nationalité n’est pas confirmée mais il pourrait s’agir d’un Belge et de deux Afghans. Suspectés de vouloir commettre une attaque terroriste, ils avaient tous les 3 déjà été signalés à Paris, Bordeaux et Marseille, provoquant à chaque fois la levée d’un important dispositif de sécurité. Les voyageurs sont restés confinés à l’intérieur du train pour être fouillés avant de sortir les mains en l’air. L’accès à la gare et aux transports en communs à proximité a été entièrement bouclé.

Les policiers casqués et armés de fusils d’assaut sont finalement repartis bredouille. L’opération s’est terminée peu avant 2 heures ce mardi matin. Les voyageurs paniqués ont pu récupérer leurs bagages après avoir été rassemblés dans une brasserie.

La voie ferroviaire demeure un moyen de transport à haut risque. En août 2015, Ayoub el Khazzani avait tenté de faire feu sur les passagers du Thalys reliant Amsterdam à Paris. L’individu avait finalement été neutralisé par des civils.

L’état d’urgence décrété il y a maintenant un an et demi n’y fait rien, la menace terroriste persiste. La tendance pourrait s’accentuer avec l’arrivée des beaux jours, période privilégiée par les passeurs pour faire transiter des clandestins en direction du vieux continent. La sécurité des gares sera d’autant plus importante que les départs en vacances encombreront massivement les lieux et ce, dès le mois de juillet.

 

3) Économie / Le prix du pétrole s’effondre

Le baril de pétrole brut passera t-il sous la barre des 40 euros le baril ? Il en prend en tout cas le chemin. Son prix a baissé de 10 % la semaine dernière, au grand désarroi des émirats arabes… Natasha Koenigsberg

Juillet 2014 : le prix du baril de pétrole a dépassé les 100 dollars, il atteint même par moment 110 dollars… L’économie mondiale souffre, l’industrie, gourmande en énergie et en produits dérivés du pétrole, est à la peine. A la pompe, les Français voient l’essence sans plomb s’approcher dangereusement des 2 euros le litre, par endroit, le prix du gaz atteint des sommets.

Février 2016… en moins de 2 ans, le prix du baril s’est effondré, passant même un moment sous les 40 dollars, à 35 dollars le baril. En cause : d’un côté, une baisse de la demande chinoise, dont l’économie, après une surchauffe, tourne au ralenti, de l’autre, l’augmentation de la production de pétrole dans le monde, notamment aux Etats-Unis, celle des pétroles de schistes entre autres.

Après quelques mois passés à flirter avec le seuil des 50 dollars, après…  une tentative désespérée des pays producteurs de pétrole, essentiellement, des emirats arabes, à l’automne dernier, pour le faire remonter et atteindre au moins 60 dollars, rien n’y fait. Le prix du baril de pétrole est reparti à la baisse ces derniers jours, il pourrait même bientôt repasser à nouveau sous la barre des 40 dollars, soit 3 fois moins cher qu’il y a moins de 3 ans. 
Tout cela n’est pas le fruit du hasard : si l’Occident a été plongé brutalement en 1973 et 1979 dans une crise économique, c’est à cause de l’explosion des prix du pétrole décidée par les pays producteurs, essentiellement, les pays arabes. Si aujourd’hui, le prix du pétrole est tiré vers le bas, c’est en grande partie parce que l’Occident , et en particulier, les Etats-Unis, ont compris que la dépendance au pétrole du Moyen-Orient n’est plus tenable. Résultat, après avoir importé jusqu’à 60 % de son pétrole jusqu’en 2005, les Etats-Unis sont aujourd’hui exportateurs, et pourraient redevenir numéro 1 mondial devant l’Arabie Saoudite et la Russie.

Les Etats-Unis ne sont pas seuls à faire tourner les derricks à plein régime : la Libye, le Nigeria, l’Irak, qui ont grand besoin de l’argent du pétrole, leur quasi seule ressource, pour relancer leurs économies, ont aussi ouvert les robinets en grand. Cette nouvelle guerre de l’Or noir fait, comme à chaque fois, des victimes. Et en l’occurrence, ce sont, cette fois, les émirats arabes. Longtemps habitués à encaisser des royalties colossales sur le pétrole extrait sur leurs territoires, pouvant atteindre 70 ou 80 % du prix du baril de pétrole, ils doivent aujourd’hui se contenter de quelques poignées de pétro-dollars.

Conséquence, leurs déficits budgétaires atteignent des niveaux colossaux.. tout ce qui était jusqu’ici gratuit pour les nationaux, devient payant quand il ne disparaît pas tout simplement. Des dizaines de millions de pensions, d’allocations, et d’emplois fictifs sont menacés de disparaître du jour au lendemain… Il y a fort à parier qu’à moyen terme, nombre de fonds souverains qataris, saoudiens, ou des émirats arabes unis devront revendre leurs actifs acquis en Occident, parfois au prix fort, pour finir les fins de mois. Quant au prix du pétrole, il pourrait, d’après les analystes, rester durablement sous la barre des 50 dollars, au moins jusqu’à la fin de la décennie. Certains prévisionnistes envisagent même qu’il puisse tomber à 20 dollars prochainement. Faisant alors d’autres victimes collatérales : les énergies renouvelables, la transition énergétique, et même, le nucléaire…

 

4) Histoire / Le 8 mai russe à Strasbourg

Chaque année, le 9 mai en Russie et dans la majorité des pays d’ex-Union Soviétique est célébrée la victoire de l’Armée Rouge sur l’Allemagne en 1945. A Moscou, un grand défilé est organisé sur la place Rouge… Dans d’autres villes d’Europe, c’est aussi l’occasion pour les russophones de commémorer cet événement. En France, ces festivités coïncident avec le 8 mai et l’annonce de la capitulation allemande. A Strasbourg, la communauté russe a organisé un défilé pour l’occasion partant de la place de la République pour rejoindre la Citadelle ! UN reportage de Nicolas de Lamberterie.

 

 

5) L’actualité en bref

Case prison pour l’ancien militaire islamiste. L’individu de 34 ans, arrêté vendredi près de la base militaire d’Evreux, est soupçonné d’avoir voulu commettre un attentat. Accusé d’entreprise individuelle terroriste et de “tentative d’intrusion sur un terrain militaire “, il a été mis en examen et écroué. Lors de son arrestation, il portait une tenue de combat avec les insignes de l’Etat islamique. En garde à vue, il a reconnu avoir envisagé de commettre un attentat au nom du groupe terroriste, faute de pouvoir rejoindre la Syrie.

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Deux ans de prison pour insulte à l’islam ! Un tribunal indonésien a condamné l’ancien gouverneur chrétien de la capitale Jakarta : Basuki Tjahaja Purnama surnommé Ahok. Un des juges a justifié la sévérité de la décision par “l’absence de sentiment de culpabilité du prévenu”. A l’origine du blasphème contre l’islam, la prise de position du gouverneur contre certains oulémas, des théologiens musulmans, pour qui les mahométans ne peuvent élire qu’un des leurs… L’ancien gouverneur a été battu mi-avril lors du scrutin renouvelant son poste, les islamistes avaient alors organisé des manifestations de masse contre lui… Cet épisode témoigne de la tendance actuelle en Indonésie, premier pays musulman au monde. Depuis plusieurs années, cet Etat d’Asie du Sud-Est connaît une influence politique croissante des conservateurs musulmans…

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Hommage à Sébastien Deyzieu ! Comme chaque année depuis 1995, les nationalistes se réunissent ce mardi à Paris pour rendre hommage à ce militant mort en marge d’une manifestation contre l’impérialisme américain. Le Comité du 9 mai se réunit pour la 22ème fois et devrait se rendre sur les lieux du drame, près de la rue d’Assas dans le 6ème arrondissement de la Capitale.

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Et avant de terminer ce journal, les équipes de TV Libertés ont une pensée émue pour Arlette Carboulec, la doyenne de nos donateurs qui nous a quitté il y a quelques jours. Nos pensées vont à son époux Pierre, fidèle spectateur de Bistro Libertés.

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