501 SDF morts dans la rue en 2016, mais on achète des hôtels pour les migrants…

post_thumb_default

 


Floris de Bonneville, journaliste Ce quinquennat misérable s’achève sur un bilan peu glorieux qui n’est pas celui, pourtant désastreux, du chômage. Celui des 501 SDF, ces laissés-pour-compte de notre société, qui sont morts dans la rue, comme 501 bougies qui se seraient éteintes dans l’indifférence de la nation. 501 cadavres relevés dans nos rues pendant les 365 jours de 2016. ...

 

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

2 commentaires

  1. Posté par Jean B le

    On a oublié Septembre Noir, la Grande Dépression, la misère et la faim pour des millions de nos semblables…

    L’Histoire a malheureusement tendance à se répéter.

    Et les Français trop jeunes pour en avoir entendu parler risquent malheureusement d’en faire la triste découverte dans les années à venir.

    Pourquoi avoir donné un chèque en blanc à un adepte du mondialisme ?

  2. Posté par conrad hausmann le

    Ces migrants sont une richesse ! Mème Mr. Macaron l’a dit…

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.