Floris de Bonneville, journaliste Ce quinquennat misérable s’achève sur un bilan peu glorieux qui n’est pas celui, pourtant désastreux, du chômage. Celui des 501 SDF, ces laissés-pour-compte de notre société, qui sont morts dans la rue, comme 501 bougies qui se seraient éteintes dans l’indifférence de la nation. 501 cadavres relevés dans nos rues pendant les 365 jours de 2016. ...
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On a oublié Septembre Noir, la Grande Dépression, la misère et la faim pour des millions de nos semblables…
L’Histoire a malheureusement tendance à se répéter.
Et les Français trop jeunes pour en avoir entendu parler risquent malheureusement d’en faire la triste découverte dans les années à venir.
Pourquoi avoir donné un chèque en blanc à un adepte du mondialisme ?
Ces migrants sont une richesse ! Mème Mr. Macaron l’a dit…