Theresa May accuse l'Union européenne de s'unir contre le Royaume-Uni dans le cadre des négociations du Brexit. Angela Merkel affiche sa fermeté.
La chancelière allemande et la Première ministre britannique se sont affrontées sur le Brexit ce jeudi, Angela Merkel prévenant les Britanniques de n'attendre aucune mansuétude dans les négociations tandis que Theresa May accusait les Européens de "s'unir contre" son pays.
"Un pays tiers ne bénéficiera pas des mêmes droits, ou de droits plus avantageux, qu'un pays membre" de l'Union européenne, a dit Angela Merkel devant les députés allemands, à deux jours d'un sommet de l'UE sans le Royaume-Uni qui doit fixer ses positions de négociations. "Peut-être pensez-vous que tout ceci est évident, mais je dois malheureusement le dire aussi clairement car j'ai le sentiment que certains en Grande-Bretagne se font encore des illusions à ce sujet", a ajouté Angela Merkel, au lendemain d'une rencontre à Londres entre la Première ministre et des responsables européens.
Afficher un front uni face à Londres
Dans la soirée, Theresa May a réagi en accusant les 27 autres Etats membres de l'UE de "s'unir contre" son pays. "Les négociations vont être difficiles", a-t-elle lancé à l'adresse des électeurs britanniques à Leeds (nord de l'Angleterre), en pleine campagne électorale pour des législatives anticipées qu'elle a convoquées pour le 8 juin. Theresa May cherche à élargir sa majorité conservatrice au Parlement -où elle dispose de 17 sièges d'avance actuellement-- assurant qu'elle sera ainsi dans une position plus forte pour négocier avec Bruxelles et les 27.
Une réunion préparatoire au sommet, avec les ministres des Affaires européennes des 27, a eu lieu jeudi à Luxembourg. Objectif: afficher un front uni face à Londres, qui pourrait être tenté de jouer sur les intérêts parfois divergents entre pays européens. "Il semble qu'actuellement nous soyons complètement unis, sur tout", a assuré à son arrivée le vice Premier ministre maltais Louis Grech, dont le pays assure la présidence tournante de l'UE.
Juste pour la petite histoire:
Angela est la fille d’un pasteur luthérien, Theresa est la fille d’un vicaire anglican.
En 1517, donc il y a cinq cents ans exactement, la Réformation enclenchée par Luther prenait officiellement naissance. Si elles discutaient de cet événement, peut-être que cela leur permettrait de trouver un terrain de concorde…
Voilà ce qu’est l’UE, une bande de maitres chanteurs, une équipe de maffieux, pardon, de gangsters qui n’ont qu’un objectif, imposer leur dictature. L’UE n’en a rien à faire des peuples européens, la mafia de Bruxelles souhaite démanteler les états nations, détruire les identités nationales, créer des régions et centraliser le pouvoir politique à Bruxelles, c’est le même model que l’URSS avec quelques ajustements au niveau de la politique économique.
Pardon ..la Grosse Bertha VA PERDRE les élections allemandes….
La Grosse Bertha va permettre les élections allemandes…soyez-en sûr…….
Les baillis de Bruxelles s’amusent à mettre les bâtons dans les roues partout…leur fin est proche…
Ils auront bientôt je l’espère, leur piqure euthanasiante!!!!!
IL EST EVIDENT QUE MME MERKEL VEUILLE DEMONTRER QUE QUITTER L’EUROPE CA SE PAIE. LES MESURES “PUNITIVES” S’AFFICHENT.
C’est ce qui nous attendra si nous quittons avec Marine le Pen, cette EUROPE.
Mais Marine est assez prudente, elle osera peut-être créer une UNION DES REFRACTAIRES A LA DICTATURE EUROPEENE, avec les pays comme l’ESPAGNE, L’ITALIE (qui n’en peut plus de l’envahissement migratoire) LA GRECE qui elle aussi subit cette invasion).
OUI MARINE POURRAIT CREER UN VISEGRAD 2.
UN VISEGRA 1 et
UN VISEGRAD 2, Ca fait HUIT PAYS REFRACTAIRES face à cette Europe malsaine où
les dirigeants européens ne sont plus des gouvernants mais des carriéristes fonctionnaires heureux de se faire “diriger”.
Pourquoi ne se retirent pas de la politique et aillent mettre leurs pieds en éventail au soleil des îles. Ils seront enfin respectueux de leur vraie paresse, mollesse, inconsistance..
Le Brexit ne prend pas la direction d’un divorce à l’amiable, c’est le moins que l’on puisse dire. Il est évident que pour la Grosse Bertha, cela doit servir d’exemple aux autres pays membres qui seraient tentés de quitter l’UE.