Pays-Bas : les multinationales montent au front contre Wilders

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De grandes entreprises néerlandaises telles que Unilever, Philips et Ahold Delhaize veulent, à un mois des élections législatives, lutter contre le populisme et le négativisme, qu’elles considèrent comme un danger pour les Pays-Bas, en stimulant l’économie. « Le populisme est un symptôme de l’absence de progrès », a déclaré le directeur Europe d’Unilever Jan Zijderveld, cité samedi […]

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5 commentaires

  1. Posté par coocool le

    Et la collision des grands groupes financiers mondialistes et des élites européistes ça s’appelle le fascisme…

  2. Posté par aldo le

    Ces entreprises comme Unilevers, disposent de quasi monopoles mondiaux dans les poudres à lessive et les produit de nettoyage. Elles ne cherchent qu’à maintenir une situation de rente obligatoire sans concurrences. Ce qui constitue de facto un impôt propreté. Tout comme la RTS, les monopoles s’imposent comme des impôts. D’où toute l’importance de les éradiquer: NO-BILLAG c’est bon pour ça !

  3. Posté par Maurice le

    Des progressistes très régressifs : ils ne pensent qu’à téter leurs biberons pleins d’affaires à faire…

  4. Posté par Hexgradior le

    «Le populisme est un symptôme de l’absence de progrès».
    Le populisme est surtout un empêcheur de commercer en rond et de bénéfices scandaleux pour ces multinationales pourries et tentaculaires, c’est pourquoi il est considéré comme du négativisme.
    Et on doit encore voter pour ou contre la RIE III pour ces Baal-Moloch aujourd’hui…

  5. Posté par oxygène le

    Dès qu’ils ont prononcé le mot magique de “progrès”, ils sont d’avance absouts de tout conflit potentiel d’intérêt.

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