Dans l'après-midi du 25 décembre, le préfet de Corse Bernard Schmeltz a condamné sur Twitter la prise à partie d'une équipe du Samu lors d'une intervention dans la nuit du 24 au 25 décembre à Ajaccio (Corse-du-Sud), dans le quartier populaire des Cannes.
Dans la foulée, le préfet a également prévenu qu'aucune déambulation ne serait tolérée dans le quartier en question, alors que des appels à manifester y avaient essaimé sur les réseaux sociaux.
Un message également porté par la direction de l’hôpital d'Ajaccio, qui a indiqué dans un communiqué qu'il ne s'associerait en aucune façon à une quelconque «exploitation intempestive de cet incident mineur». Après quoi Gilles Simeoni, président du Conseil exécutif de Corse, a officiellement «pris acte» de l'appel de l'hôpital à «relativiser l'incident de cette nuit», et à refuser toute exploitation et instrumentalisation de celui-ci (c'est-à-dire tout rassemblement de protestation).
«L'incident» en question a été rapporté à l'agence AFP par un ambulancier : d'après celui-ci, des membres du Samu, qui étaient intervenus dans la quartier de Cannes le soir du Réveillon de Noël, ont été insultés en regagnant leur véhicule par de jeunes individus qui passaient la soirée dans un bar. Ces derniers ont également jeté des pétards, selon l'ambulancier cité par l'AFP, sans viser directement les secouristes. «Des gens du quartier qui étaient présents ont calmé les jeunes assez rapidement», a-t-il ajouté.
Violences et tensions inter-communautaires en Corse
L'événement survient exactement un an après une flambée de violences à Ajaccio, à la suite de l'agression de deux pompiers et d'un policier au cours de la nuit de Noël. Celle-ci avait en effet généré d'importantes manifestation dans la ville, entachées de dérapages racistes.
En outre, un certain nombre de faits divers ont eu lieu au cours des deux dernières années de vives tensions inter-communautaires dans l'Ile de Beauté. Des rixes entre autochtones et personnes d'origine maghrébine ont éclaté au cours de l'été, sur une plage de la commune de Sisco, puis sur le pont de Carbuccia, en Corse-du-Sud.
Extrait de: Source et auteur
Quartier populaire en langage de propagande journalistique gauchiste=quartier africano-musulman (zone colonisée).
Et alors ! Le f l n c ne bouge pas ? Pas de pognon à se faire ?
Maghrébins, désordre, violence et insalubrité ne font qu’un. Impossible de vivre avec ces gens.