Source : 20min.ch
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Une femme nord-africaine, se disant médecin, était employée dans un centre psychiatrique du Nord vaudois.
Attrapée pour multiples faux dans les titres et congédiée, elle a ensuite été embauchée dans un centre de psychiatrie à Lausanne avec un certificat de travail également falsifié !
Nous nous posons les questions suivantes :
– Comment est-il possible qu’une Africaine puisse, avec ses diplômes africains, obtenir une autorisation d’exercer en Suisse, alors qu’il y a trop de médecins, a fortiori de psychiatres, dans le canton ?
– Que valent ses diplômes de médecin d’Afrique du Nord, même authentifiés par Karim Boubaker?
– Durant sa pratique médicale, combien de faux certificats, de prescriptions médicales inadéquates, de rapports médicaux ont-ils été délivrés par cette faussaire ?
– Au vu de l’extrême légèreté de la peine (1725.- CHF d’amende et 120 jours-amende avec sursis) et du laxisme des juges et du médecin cantonal, combien de cas similaires existent actuellement et vont se présenter à l’avenir ?
Cenator, 19 décembre 2016
– Dr, je souffre que faire?
– jti prescris un coran et ti sera guéri jti jure.
“avec maturité Latin-Grec, sans comparaison avec un bac français”. Très juste. C’est qu’il n’était pas possible d’obtenir la “moyenne” par le biais d’une excellence dans un cours de macramé, de sport ou de décoration d’intérieur.
Equivalence de diplôme n’égale pas, et de loin, compétence. J’ai pratiqué la médecine pendant 40 ans comme Suisse, avec maturité Latin-Grec, sans comparaison avec un bac français, de longues études difficiles, des examens très difficiles et ensuite une patientèle exigente. J’assiste aujourd’hui à un nivellement par le bas des compétences sauf en ce qui concerne les honoraires de ces “praticiens” venus d’ailleurs qui sont en hausse constante.
Et j’ajouterais que pendant les 5 ans de ce moratoire interdisant l’installation de nouveaux médecins étrangers il a été aussi interdit aux médecins suisses de s’installer sinon on aurait une fois de plus violé la libre circulation !!!!
Et on peut dire merci à nos bilatérales et à la libre circulation, premièrement un médecin français obtient son diplôme en 3 ans alors qu’il faut 6 ans en Suisse, les compétences acquises ne sont évidemment pas équivalentes mais les bilatérales nous obligent à les accepter, pire encore tous ces faux médecins venant de pays hors communauté européenne font reconnaître leur diplôme pour la plupart faux ou avec des exigences du niveau de la médecine de brousse dans la communauté européenne, et ensuite grâce à ces diplômes qui sont alors extrêmement difficile à vérifier viennent s’installer en Suisse, toujours grâce à nos bilatérales. La Suisse a compté 30% de médecins supplémentaires étrangers s’installant en Suisse par année, jusqu’à qu’un moratoire interdisant l’installation de nouveaux médecins bloque cet afflux, 1 médecin sur 4 pratiquant en Suisse a une formation étrangère, sans obligation de maitriser une langue nationale…. bonne nouvelle le moratoire vient de tomber, l’envahissement de charlatans en tout genre peut donc reprendre avec une nouvelle explosion des coûts de la santé mais comme pour Alain Berset si les coûts explosent c’est de la faute des assurés alors tout va bien….
Universités africaines… Sans déconner….!!!mdr
La psychiatrie relève souvent de la sorcellerie et les psychiatres africains sont presque toujours des marabouts.
Comment quelqu’un de menteur, sournois et malhonnête peut-il être engagé comme psychiatre?
Peut-être que, vu qu’il s’agit d’une bronzée, on redoute le retour de kick antiraciste?
Ca fait en effet froid dans le dos – est-ce que vous pouvez publier son nom pour avertir les potentiels clients, et pourquoi pas, le nom de la clinique qui l’a embauché, pour que les gens sachent l’éviter?
Qu’en pensent nos jeunes médecins qui ont sué pendant 6 ans pour obtenir leur diplôme ? Absolument révoltant et scandaleux !
C’est bizarre… Ma fille, ayant un master de psychologie obtenu à Grenoble, a dû fournir la copie de ses diplômes, et, comme c’est normal, tout a été examiné très attentivement par l’Université de Genève avant qu’elle soit autorisée à rejoindre un laboratoire. De mon côté, j’ai souvent été confronté à de faux diplômes africains; certains étaient des “forgeries” évidentes, d’autres étaient plus habilement façonnés, mais une petite enquête auprès des universités africaines concernées dévoilait la supercherie. De plus, il se posait la question de l’équivalence des diplômes, qui ne recevait de réponse satisfaisante que s’il existait un contrat de formation en collaboration étroite entre l’université africaine et une université française.
Il est par conséquent étonnant que l’on soit moins regardant aujourd’hui. Étonnant ? Sans doute pas : l’idéologie ambiante est orientée vers le laxisme, c’est-à-dire la “discrimination positive”. On voit ici les effets pervers de cet état d’esprit dégradé.