Auriche. Election présidentielle. Le passé communiste et pro-soviétique du candidat de gauche refait surface.
Au cours du dernier duel télévisé entre les deux candidats, Norbert Hofer a parlé d'un livre de l'ancien directeur de la sécurité nationale dans lequel le nom de Van der Bellen apparaît dans le chapitre "Qui a fait de l'espionnage pour l'Est ?". Ce reproche a mis Van der Bellen en rage et il s'est plaint de diffamation en brandissant la photo de son père, dont on a évoqué aussi la posssible proximité avec les autorités du temps de l'occupation de l'Autriche par l'Allemagne. Alexander Van der Bellen, lui, avait commencé par être sympathisant du parti communiste, alors qu'il était pro-stalinien, puis était devenu membre du parti socialiste avant de passer aux Verts.
Traduction (Claude Haenggli) :
Le candidat du FPÖ a mis en relation son concurrent avec l'espionnage en citant un livre de l'ancien directeur général pour la sécurité publique, Michael Sika. Une étude commandée par Van der Bellen pourrait avoir servi aux services d'espionnage soviétiques, a déclaré Hofer. Selon lui, le nom de Van der Bellen, qui aurait encore récemment montré des sympathies pour le communisme, est cité trois fois dans ce livre.
Claude Haenggli, 2.11.2016
Heinrich Honegger trouverait ce type plutôt sympa
Merci beaucoup pour cette traduction.
Il faut opérer comme avec Trump: diffuser massivement les informations ayant trait à cette élection sur les réseaux sociaux.