NDLR. On attend de la part de nos médias suisses qu’ils en fassent de même!
Dans une lettre à ses lecteurs, l’éditeur du New York Times Arthur Sulzberger Jr. s’excuse que l’icône emblématique du journalisme de gauche a été malhonnête dans sa couverture de la campagne de Donald Trump. «Nous entendons nous recentrer sur la mission fondamentale du journalisme du Times promet Sulzberger, et qui consiste à rapporter honnêtement ce qui […]
Extrait de: Source et auteur
Et si Clinton avait été élue, est-ce que le New-York Times aurait reconnu qu’il n’avait pas été impartial ?? Ceci n’est pas une prise de conscience c’est simplement se ranger du côté du plus fort, les américains devraient boycotter ce journal qui n’hésitera pas à se comporter de la même façon à la première occasion.
Il me semble qu’il y a erreur- le NYT ne s’excuse absolument pas – au contraire, ils disent: “We believe we reported on both candidates fairly during the presidential campaign”- ce qui veut dire “nous croyons avoir couvert les deux candidats d’une façon juste et equitable pendant la campagne électorale”…
Tel le perfide Judas, Le New York Times aura tout fait pour discréditer Trump. Le comble de la scélératesse est de prendre les devants pour essayer de louvoyer, car on a senti le vent du boulet. N’est pas Talleyrand qui veut, il va falloir régler certains comptes et l’addition attend pas mal de monde.
On d’excuse, on va changer ! Comme Sarkosy ?
Nous allons vous croire infâme bande de menteurs pathologiques ! Vos excuses vous pouvez vous les mettre là ou je pense et nous ne vous pardonnons rien du tout bande d’ordures !
Ils reconnaissent leur malhonnêteté, qu’ils sont des escrocs. Uniquement parce qu’ils perdent des abonnés par milliers ! En fait, rien de nouveau. Pour rappel, cette citation :
« Il n’existe pas, à ce jour, en Amérique, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi. Pas un seul parmi vous n’ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous aventurions à le faire, nous nous retrouverions à la rue illico. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de l’Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l’intellect. Tout cela, vous le savez aussi bien que moi ! » John Swinton, ancien rédacteur en chef du New York Times, lors d’un banquet, le 25 septembre 1880.
Le New York Times aura été le plus rapide pour retourner sa veste…. et ses promesses d’être dorénavant honnête, c’est pathétique !
Faute reconnue à moitié pardonnée. Jusqu’à la prochaine campagne de propagande…