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Que l’on croie ou non la thèse du grand remplacement, je constate beaucoup de faisceaux convergents, tant économiques que politiques ou démographiques.
Je simplifie au maximum sinon mon paragraphe ferait 8 pages. L’économie actuelle se heurte à 2 écueils de taille. Le premier est le manque de place. Tout a été standardisé partout. La conquête de la Chine ces 15 dernières années est maintenant achevée et sur terre la seule perspective de croissance actuelle c’est l’Afrique. Or le commerce avec les africains est très difficile car ils ne payent pas. L’expérience des colonies s’étant révélée désastreuse, il faut penser un autre schéma pour exploiter les potentialités de l’Afrique. Ce schéma, c’est l’évacuation des africains, soit ce que l’on appelait autrefois la déportation.
Mais une déportation manu militari est aujourd’hui impensable. Aussi, il faut inciter l’Afrique à venir en Europe. Et par la même occasion, “motiver” les Européens à leur laisser la place. C’est ce qui se passe exactement en Europe, ou tout est mis en oeuvre pour accueillir l’exilé aux frais de l’autochtone. Et cela commence à fonctionner. Notez comme actuellement l’exode vers les pays chauds a le vent en poupe. Il n’est absolument plus tabou d’envisager passer sa retraite au Maroc, et l’on entend beaucoup de jeunes soi disant écoeurés par le mode de vie occidental envisager leur vie sous d’autres latitudes. Cette génération y pense, la suivante s’y préparera, celle d’après le fera.
Conséquence. Il faut se souvenir que l’Europe a historiquement un coup d’avance sur l’Afrique. Aujourd’hui, nous attirons les africains dans une Europe qui donne envie. Travail, économie, consommation. Le système est certes au bord de la rupture, faute de croissance (et faute d’espace permettant la croissance) mais vu de l’extérieur, c’est très enviable. Cerise sur le gâteau, tout est en libre service pour ces nouveaux arrivants. Mais c’est un gâteau empoisonné.
La politique nataliste déploie ses effets : la race occidentale décline. D’ici quelques décennies, ces “blancs qui font tout” auront quitté l’Europe vers ce nouvel espace à conquérir, soit l’Afrique. Qu’ils ne coloniseront pas comme au 19ème mais qu’ils développeront en échangeant leur place avec les Africains. Tout se fera en douceur et sournoisement. C’est à ce prix que l’économie pourra continuer sa croissance.
Pour une question de place, toute l’Afrique ne pourra pas entrer dans le continent européen. Le contrôle démographique via la gestion des épidémies a de beaux jours devant lui.
J’ai souvent lu que le grand remplacement organisé par l’ONU avait pour but d’offrir à l’économie européenne de la main d’oeuvre étrangère moins chère. En réalité je crois que cela va plus loin. Il s’agit d’un remake de la conquête de l’ouest avec à la clé un vrai développement de l’Afrique fait par les blancs. Après le fiasco des colonie, on repart avec une solution soft mais le résultat sera le même. Les blancs laisseront l’europe aller dans le mur, peuplée et dirigée par les nouveaux arrivants d’aujourd’hui pour se concentrer sur l’Afrique.
Quels sont les signes actuels qui pronostiquent cet avenir, hormis l’afflux massif d’immigrés ? Eh bien : la politique familiale européenne, les contraintes “écologiques” et fiscales visant à brider non seulement l’économie européenne, mais aussi les contribuables, les maintenant ainsi dans une situation inconfortable pour les européens, les politiques d’accueil qui n’est que le premier pas dans ce que certains appellent l’invasion. En réalité, l’avenir du blanc c’est l’Afrique avec tout ce qu’il y a à y construire…. En 2100 ce sera une réalité.
Oups, commentaire envoyé trop vite, pardon!
Je voulais écrire “confiance en la sagesse du peuple suisse, la plus vieille et la seule démocratie DIRECTE au monde.”
Suissesse, je vis actuellement en France. Je tremble que mon pays devienne comme cette grande voisine menacée de ruine. Je tremble que la Suisse tombe aux mêmes mains malfaisantes. Quand l’historienne Bat Ye’or a publié Eurabia, un ouvrage passionnant, notre caste intello gaucho, emmitouflée dans une commode culpabilité post coloniale et détentrice du juste penser, a méprisé ce remarquable travail aussi documenté que clairvoyant, hurlant au complotisme islamophobe et reléguant l’auteur dans cette fachosphère à laquelle on appartient sitôt que l’on fait montre d’imperméabilité à leur propagande. (Leur monde est si simple, si binaire, t’es-gauchi t’es-gentil, pas-gaucho-t’es-facho. Une comptine. Ces gens-là ayant, comme chacun sait, le monopole du coeur …on se souvient comme Giscard avec mouché Mitterrand sur le sujet!)
Tiens, un petit détour parmi les souvenirs, il y a de cela près de vingt ans, Place de la Palud à Lausanne, en période de campagne électorale où chaque parti offrait vin chaud, petits drapeaux de papier et considérations aimables aux passants, entre deux tracts, dans une ambiance bon enfant. Une jeune femme, pasionaria socialiste locale aux dents longues, guidait en ces termes les premiers pas politiques de son petit bout de chou de fille, haute comme trois pommes, qui regardait les stands avec curiosité et souriait innocemment aux croquemitaines de la jeunesse radicale: “ah non non, tu ne dois pas aller vers eux, non non, mais là, tu vois, là c’est bien, ça, c’est les Socialistes (mine extatique) tu vois, ça, c’est les gentils, là tu peux y aller!” Pardon pour la digression.
Renaud Camus est un grand monsieur. Par l’élégance de sa plume comme par celle de ses idées, servies par une argumentation hors du commun. Il est urgent d’ouvrir tout grand les oreilles à ce qu’il explique, et les yeux, enfin, sur ce qu’il se passe autour de nous, dans cette Europe à feu et à sang. Il a d’autant plus de mérite qu’ici, en France, la liberté d’expression est gravement menacée par une police de la pensée plus diligente à faire coffrer un général en retraite patriote (beurk, l’insanité!) ou des jeunes respectueux et fiers de leur identité occidentale (pouah, le gros mot!) que les assassins éructant de haine affectueusement appelés “sauvageons” par l’ineffable Cazeneuve, ministre de l’intérieur du moment (à qui il doit bien en manquer quelques unes, de cases, pour dire tant de sottises à la fois.)
Aujourd’hui, la réalité -sombre- nous démontre chaque jour combien l’invasion musulmane de chaque strate de ce qui était notre démocratie, est systématique, organisée, un matraquage de chaque instant. Et comme vous le dites justement, nous nous rendons complices, par confort et par paresse, de ce qu’il adviendra. J’ai confiance en la sagesse du peuple suisse, la plus vieille et la seule démocratie
Il y a hélas trop peu d’intellectuels pour défendre cette réalité. Réalité ? Elle est évidente lorsque vous regardez des photos de rue genevoise d’il y a 40 ans puis 20 ans et maintenant. Pourtant personne en parle. Nous sommes tous des complices par confort et paresse, avec le reflexe de dire : Après nous le déluge! Il y aura un réveil quand la guerre civile va menacer!