Le groupe parlementaire UDC s'inquiète devant l'afflux de migrants notamment par la frontière méridionale de notre pays. Nombre d'entre eux entrent sans être contrôlés en Suisse, déposent une demande d'asile, puis disparaissent dans la nature.
Ce genre de migration, parallèlement à un nombre croissant d'assistés sociaux, a généré à beaucoup d'endroits en Europe des ghettos, une forte criminalité ainsi que des tensions sociales, culturelles et économiques. En Suisse également, on assiste à l'émergence de tels ghettos avec les conséquences négatives que l'on connaît, soit en particulier la formation d'une couche sociale d'étrangers pauvres qui pendant des générations vivront de l'aide sociale. Nous ne pouvons assister les bras croisés à ce développement. Le groupe UDC a donc décidé lors de sa séance d'hier de déposer une interpellation urgente libellée comme suit:
"Le nombre de personnes interpellées par le Corps des gardes-frontière (CGF) en franchissant illégalement les frontières suisses a massivement augmenté ces dernières semaines. A en croire des comptes rendus des médias, les migrants continuent d'affluer en Italie, si bien que la pression sur la frontière méridionale de la Suisse augmentera sans doute.
Face à cette situation nous posons les questions suivantes:
1. Les ressources personnelles du CGF suffisent-elles face à une telle affluence à remplir la tâche légale de cette institution, à savoir protéger la frontière suisse contre des passages illégaux (requérants d'asile)? Comment se présentera la situation si le nombre de migrants continue d'augmenter? Quelles mesures faut-il prendre?
2. L'infrastructure est-elle suffisante dans la situation actuelle? Faut-il la renforcer face à une nouvelle escalade de cette migration de peuples vers l'Europe? Le CGF peut-il être déchargé par des mesures de construction par analogie à ce que fait l'Autriche?
3. Comment fonctionne la coopération du CGF avec des partenaires et d'autres acteurs, notamment le SEM, les autorités cantonales sur place, l'Italie et l'Allemagne?
4. Selon des comptes rendus des médias, des ONG soutiendraient les migrants lors de leur entrée illégale en Suisse? Comment faut-il apprécier de telles activités? Les agissements de ces ONG peuvent-ils être poursuivis pénalement?
5. Est-il exact que les mêmes personnes cherchent plusieurs fois à entrer en Suisse? Annoncent-elles de faux noms et présentent-elles de faux papiers? Des tromperies de ce genre ont-elles des conséquences légales ou procédurales?
6. Est-il exact que des migrants, qui ont déjà vécu quelque temps en Italie, tentent d'entrer en Suisse pour y déposer une demande d'asile? Quels sont les motifs de ces personnes et comment la Confédération y réagit-elle?
7. Comment la situation s'est-elle développée ces derniers mois? Quelles informations peut-on donner concernant le nombre, l'âge, le sexe et les pays d'origine des immigrants?
8. Toujours selon les médias, de nombreux migrants disparaissent dans la nature après avoir franchi illégalement la frontière et annoncé le dépôt d'une demande d'asile. Est-il exact que bon nombre d'entre eux poursuivent leur voyage vers l'Allemagne? Comment est-il possible qu'ils puissent disparaître dans la nature et comment les procédures et compétences sont-elles réglées? Comment l'Allemagne réagit-elle?
9. Comment le Conseil fédéral entend-il réagir si un nombre croissant d'immigrants illégaux, qui initialement voulaient poursuivre leur voyage, s'installent comme clandestins en Suisse?"
Source UDC
Parmi ces illettrés, franchement, combien sont réellement des opposants politiques, des journalistes ou des intellectuels persécutés?
Pas un seul! Uniquement des migrants économiques, des terroristes ou des assistés sociaux à vie!
Et vous, chers internautes, partagerez votre chambre en maison de retraite avec ces arriérés qui, eux, n’auront jamais cotisé un centime!,
Pour cela il faudrait que les italiens virent leurs politiciens corrompus par les banksters internationaux et que l’UE arrête de donner des subventions à l’Italie pour aller chercher les envahisseurs de l’autre côté de la méditerranée. Donc ça n’est pas demain l’avant-veille…
Nous ne pouvons compter que sur nous, ni sur l’UE, ni sur le gouvernement italien !!!
que l’Italie et les buonistes arrêtent d’aller chercher les chercheurs de vie meilleure en Afrique – ça c’est encore moins compliqué
Alors c’est simple :
1. On met en place une double clôture.
2. On met des panneaux en plusieurs langues : interdiction d’entrer.
3. On construit des miradors tous les 200 mètres.
4. On y met des snipers.
5. Les snipers font feu avec des balles caoutchoucs dès que quelqu’un franchit la première clôture.
6. Nous pourrions également envisager de mettre des porcs entre les deux clôtures, effet dissuasif garanti.
7. On interdit d’activité en Suisse les ONG qui transgressent nos lois et nous donnons des peines de prison dissuasives aux membres de ces ONG.
Pas compliqué à réaliser…