Dans la commune de Plouha (Côtes d'Armor), un artiste, ou prétendu tel, Stéphane Michaud, dit Michadu, a été sélectionné par les organisateurs pour exposer dans la chapelle de Kermaria. Une liste de huit œuvres : deux à l’extérieur et six à l’intérieur de l’édifice religieux. Bénédicte Jobbé-Duval, adjointe au patrimoine, explique que l'artiste a voulu sciemment provoquer :
« A l’origine, il était prévu que tout soit exposé à l’extérieur. Mais M. Michadu a voulu exposer à l’intérieur. Il fallait que le curé soit d’accord. C’est à lui que revient le choix. »
Le curé l’abbé Eric Le Forestier n'est pas d'accord :
« Il y a des pénis en érection, des seins mis un peu n’importe où sur un corps figuratif, des attitudes équivoques et certains noms donnés à ces sculptures sont eux-mêmes assez « légers » dans un lieu de prière. Ces œuvres me posent problème. »« J’ai le droit de refuser les expressions artistiques qui ne respecteraient pas ces lieux. »
Michadu ne cache pas qu'il a voulu provoquer en raison de « la position de l’Église sur ce qui touche à la sexualité ». Mais il se trompe :
« Les chapelles appartiennent à la commune, qui doit en disposer à son gré. C’est un lieu d’exposition, comme une salle des fêtes ».
Sic. Le curé rappelle la loi de 1905 :
« Les édifices cultuels sont laissés à la jouissance des fidèles et des ministres du culte pour l’exercice du culte. La jurisprudence du Conseil d’État a rappelé la nécessité d’un accord préalable de l’affectataire pour la tenue d’une manifestation non cultuelle. »
Face à la position de l’abbé Le Forestier, Michadu a indiqué aux organisateurs qu’il annulait sa participation à l’exposition. Une église sinon rien ? Rien.
Extrait de: Source et auteur
Encore un crétin, qui se prend pour un artiste, si la provoc est un art, nous avons beaucoup d’ artistes.
Si l’Etat veut violer la loi de 1905 , par l’intermédiaire de ses officines de combat idéologique que sont les Drac: banco ! Qu’il restitue alors à l’Eglise tous ses biens volés lors de la révolution, avec intérêts et pénalités courus depuis lors .
L’art contemporain, c’est une arme de destruction de plus du mondialisme et de son projet de liquéfaction des nations, de leurs us, coutumes, croyances et substance éthique. Il est pure provocation nihiliste et abolition délibérée de toute dimension esthétique et authentique de la vie.
Voir à cet égard, le père de l’art contemporain, Marcel Duchamp, qui célébrait l’anesthésie, c’est-à-dire précisément la suspension, la neutralisation de l’esthésie, trauduction française de l’aisthesis grecque, dont notre mot ‘esthétique’ est dérivé.
La beauté sensible est l’ennemi de la laideur généralisée promue par le mondialisme, à savoir, les tatouages, le piercing, les habits informels (training, etc.), les t-shirts bardés d’inscription idiotes en globish (global English), la musique industrielle et le rap, l’architecture laide des centres d’achat et de nombreux immeubles locatifs, et celle spectaculaire, à caractère purement provocateur, de nombre de MOCAs (Museums of Contemporary Art). Et cetera.
Michadu ne cache pas qu’il a voulu provoquer en raison de « la position de l’Église sur ce qui touche à la sexualité ». Alors qu’il aille chatouiller les muzz qui sont encore bien plus réactionnaires (pour ne pas dire complètement arriérés) à ce sujet, et ce n’est pas la place qui manque dans les mosquées. Non ce qui manque c’est le courage. Cette f* s’en prend au christianisme parce qu’il sait qu’il ne risque pas d’être égorgé par un prêtre. *