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Si c’est bien Goldman Sachs qui fricote à fond pour se faire du beurre avec les finances de l’Europe de l’€uro, alors on peut considérer que la présence de Barosso est constitutive d’une sorte d’agence de renseignements pour connaître les parlementaires européens les plus solubles dans la corruption. Barosso a donc deux atouts, un moyen d’information sur l’Europe et ses méandres financiers et les petits copains qui vont à la soupe. Et il est peut être, avec ce qu’il connaît et sur ce qui s’est passé dans le cadre de l’admissibilité des pays inadmissibles, en position de faire pression, pour être engagé à prix d’or, faute de quoi, il largue tous les secrets d’alcôve des combinaisons financières utilisées et des politiciens qui ont trempé dedans.
On comprend maintenant mieux pourquoi le chantage est dans les habitudes culturelles des nains de Bruxelles, qui ne se gênent pas de mettre sous pression la Suisse avec la complicité du gratin politique prompt à toutes les trahisons. Ce sont là de véritables collabos qui induisent la destruction de la Suisse au profits de pays tiers pas si reluisants qu’on voudrait bien l’avouer. Les Etat-Unis sont là derrière, car fortement représentés, directement ou indirectement au sein de l’Europe, par des gens qui se sont connus au cours de leurs études au Massachusetts Institute of Technology et oscillent comme par hasard entre l’Europe et Goldman Sachs. C’est là une mainmise directe et indirecte sur l’Europe par les USA.
Tout cela, avec les conséquences de nouvelles tensions crées pour discréditer le rôle important que pourrait jouer la Russie associée à l’Europe, comme grande puissance, avec un rôle d’arbitre. Vivement que Trump ramasse la mise, ne serait-ce que pour un rapprochement avec la Russie. Car les périls qui se précisent avec l’expansion de l’islam totalitaire, sont devenus trop graves pour lui laisser le privilège de continuer de profiter des divisions entre les nations. Sans l’action pernicieuse de l’appel de la Merkel, cette explosion d’invasion islamiques devenues incontrôlables et totalement artificielle n’aurait jamais eu lieu.
Je trouve extraordinaire que les banksters en chef de la planète viennent justifier l’engagement du sieur barozo en arguant maintenant que ce scandaleux recrutement n’est pas lié au brexit. N’est-ce pas eux, rois de l’enfumage qui l’ont annoncé dans la presse ?
Ce qu’on reproche à cet abruti de Barozo, c’est bien d’aller travailler avec les plus gros filous de la planète, non pas pour ses compétences financières tendant vers zéro, mais bien à cause de la collusion d’intérêts avec l’UE en allant mettre en avant des faits confidentiels et exhiber son carnet d’adresses.
Barozo se vend au plus offrant.
Barroso le fat, est une démonstration de plus que, le gaucho de base (soit l’abruti de base), comme tous ses camarades, a un idéal supérieur invariablement situé dans la poche arrière-droite de son pantalon. Rien de surprenant à ça. On en a des exemples tous les jours….
Promis, juré, croix de bois, Croix de Fer (c’est pour Merkel), si je meurs j’vais en enfer ! Là, le nez de Pinocchio s’allonge… Un monopole ne dit JAMAIS la vérité. Quia mendax est, et pater ejus.
Goldman Sachs a orchestré une véritable conspiration pour faire entrer dans l’Euro des pays qui n’y avaient rien à faire, grâce au maquillage des comptes pour faire croire que ces pays en mauvaise posture étaient conformes aux exigences pourtant voulues par les traités. Nous n’ignorons pas que cette banque qui a intrigué pour faire planqué Mario Draghi, son ancien employé vice-président et ex-gouverneur de la Banque d’Italie, à la tête de la Banque centrale européenne, le tout pour services pourris rendus. Dans un monde mafieux considérer ces aller et retour de dirigeants pas très nets peut sembler comme tout à fait normal. Il font partie de la famille… et les Italiens ont un sens de cette famille là très prononcé. On peut donc penser que c’est Goldman Sachs qui gouverne l’Europe… et ses péripéties financières avec l’aide ses potes du Massachusetts Institute of Technology.