Nd Caroline Guckt
L’Allemagne renonce à la qualité, au savoir-faire, au nom d’une idéologie dictatoriale. De nombreux auteurs, présentateurs TV/radios, et journalistes sont licenciés. Le nombre de victimes de cette censure est proprement scandaleux. Matthias Matussek, auteur connu du groupe de presse Springer, fut un chroniqueur très apprécié pendant plus de 20 ans, particulièrement auprès des lecteurs du quotidien allemand Die Welt. En novembre passé, il fut licencié brutalement suite à une publication sur Facebook après les attentats de Paris :
"Ich schätze mal, der Terror von Paris wird auch unsere Debatten über offene Grenzen und eine viertel Million unregistrierter junger islamischer Männer im Lande in eine ganz neue frische Richtung bewegen."
"J’imagine que les attentats de Paris redirigeront nos débats sur la question de l’ouverture des frontières et le quart de million de jeunes hommes musulmans non enregistrés dans le pays."
Désormais, nous aurons le plaisir de lire Matthias Matussek dans les colonnes de l’hebdomadaire „Die Weltwoche“.
Bodenmann un nostalgique de la gaucherie. Tim Guldimann, Cédric Wermuth, Andreas Gros et le guru vert zurichois et sa cheftaine bernoise sont les nouveaux apôtres BCBG de l’industrie du social fait à 95% de fonctionnaires grassement payés et la nouvelle élite:les “hurbains” . Ils sont déjà omniprésents dans les médias. Leurs têtes, leurs messages, leurs objectifs nous sont bien connus. A quoi bon leurs offrir (payer) une platteforme de plus au nom de l’ouverture, l’ouverture à quoi?, sans compter que les médias sont à leurs pieds!
@ Gaston Siebsiech: comme vous, j’ai de la peine à laisser la parole à ces abrutis de gauche. Eux, de leur côté, ne le font jamais. Cependant, deux choses sont bonnes à cela: la première, c’est que, vu le nombre d’énormités que prononcent les bêtas du PS, cela vaut la peine de les mettre en lumière pour un débat loyal et, de deux, c’est écrit et ce sera donc difficile aux maîtres à penser du parti des nuls de nier les avoirs dites, ou écrites. Si le PS n’invite quasiment jamais les gens de droite, c’est bel et bien qu’ils ont peur de la confrontation des idées. Et ça, c’est extrêmement révélateur….
A quand une “Weltwoche” en Suisse romande ?
Tous les journeaux sont chers en Suisse c’est une réalité, mais combien payent des abos pour lire les inepties de tous ces journeaux gauchistes romands ?
@ Gaston Siebesiech Oui, la Weltwoche est un excellent medium qui contraste avec la monotonie désolante de cette presse suisse atlantiste, europhile et politiquement correcte, dans le sillage d’une NZZ qui est un modèle du genre. “Die alte Tante” est le pilier de la russophobie, au point que dès que je vois qu’un article concerne la Fédération de Russie je passe immédiatement à la page suivante, sachant qu’il s’agit d’une nouvelle portion de ce potage réchauffé. Par contre la Weltwoche se distingue par son originalité, sa richesse d’analyse et par son ouverture d’esprit. Depuis longtemps elle ouvre ses pages à un socialiste proéminant tel que Peter Bodenmann, dont la colonne coexiste sans problème avec celle de Christoph Mörgeli. Ceci est un exemple de pluralisme et d’ouverture d’esprit. Par contre ce qui me gêne, c’est que la Weltwoche, magazine suisse, coûte plus cher en Suisse (CHF 8.50) qu’en Allemagne ou en Autriche (EUR 6.90) et a sensiblement augmenté son prix ces dernières années. Cela va mettre un frein à sa diffusion. Roger Köppel devrait y réfléchir !
La Weltwoche est encore le meilleur média Suisse. La nouvelle tendance d’ouvrir ses pages aux gauchistes ou extrêmes gauchistes me semble bien dangereuse.
Je ne paye pas cher un média que j’ai choisi pour lire des articles de communistes, socialistes et autres verts, nos médias RTS SRG, Tamedia et Ringier s’en chargent pas besoin de la Weltwoche, je le regrette.
Félicitations à la Weltwoche !
BRAVO……
Excellente Solidarité…..Exemple à suivre dans toute l’Europe…..