Une catastrophe économique précipitera la France et ses voisins de l’Union européenne dans une crise sans précédent depuis la IIe Guerre mondiale, crise à laquelle ni la Ve République, ni ses semblables européens, ne pourront faire face. Une guerre civile éclatera, ce n’est qu’une question d’années.
Actuellement, il ne s’agit plus de savoir comment prévenir ce conflit inévitable, mais de se projeter au sein de ce cataclysme afin d’en désigner les principaux dangers, ce qui pourrait permettre d’indiquer d’éventuelles voies de pacification de l’Occident européen.
Depuis ses rois, la France, gérée par une aristocratie de sang germanique comme son nom l’indique, a habitué ses sujets à être secourus par la communauté. Ce sens extrême de la justice civique propre aux peuples germains a été dénaturé au fur et à mesure de l’extermination de cette élite germanique gouvernante au profit du substrat gallois ce qui avait transformé le principe d’une certaine redistribution des biens en une hybris croissante à laquelle la France est confrontée depuis la fin de la Iie Guerre mondiale : des populations allochtones ont été accueillies avec une frénésie suicidaire pour une Nation qui avait accoutumé ces hôtes, de plus en plus nombreux, à vivre à ses crochets. Cependant, ces injections sociales démesurées, épuisant la France, sont loin de constituer le plus grand péril pour l’avenir français, car, simultanément, ces gouvernants mondialisés, meurtriers de leur propre peuple, ont ouvert les portes de l’armée et de la police aux descendants des nouveaux venus tout en leur enseignant la haine de la Nation hôte. La police et l’armée « françaises » deviennent ainsi frénétiquement un espace de communautarisme où des groupes se forment sur des bases ethniques et religieuses ; d’ailleurs, les seuls qui n’osent pas se réunir selon ces principes naturels sont les autochtones. Nous devrions bientôt connaître le fonctionnement d’un État qui a d’abord habitué ses serviteurs à un revenu décent tout en leur promettant une retraite confortable, puis, entrant dans une crise profonde, se démontre incapable de tenir ses engagements. Une multitude de tribus mues par l’esprit viril des barbares et formées sur un principe basic basique et naturel, qu’il soit ethnique ou religieux, se mettra à déchiqueter les restes de l’État. Les plus habiles dans cette entreprise seront non les bandits de métier, mais les anciens serviteurs de la Nation entraînés de façon professionnelle à une action commune et à l’utilisation des armes les plus sophistiquées, auxquelles ils ont d’ailleurs un accès direct.
Pour cette raison, toute cette chasse aux personnes revenant des conflits organisés par cet idéal mondialiste qu’est l’État islamique n’est qu’une campagne médiatique pour occuper des Européens alors qu’on les précipite vers un enfer qui durera des décennies. Car le plus grand danger, danger inévitable et mortel, viendra des soldats de l’armée française et des policiers français, habitués à être logés, nourris et payés, embauchés sur la promesse intenable d’une retraite assurée, et qui, entraînés et armés, se retrouveront soudain abandonnés par un État en faillite et surendetté. Ils devront alors eux-mêmes agir pour survivre et assurer leur vieillesse. Nos braves miliaires « français » et leurs collègues de la police se réuniront en unités qui sont déjà définies au sein de leurs corps depuis des années par la stratégie criminelle de déportation de populations étrangères en France et ses conséquences. Ce sont ces tribus qui deviendront le plus grand péril pour la population abandonnée, fuyant, sans défense aucune, devant ces prédateurs soudés par des valeurs naturelles à l’humanité, ainsi la proximité ethnique ou confessionnelle.
Les petites et vieilles Nations de notre Europe – je m’adresse tout d’abord à la Suisse – doivent donc travailler dès à présent, dans l’esprit d’un égoïsme salvateur, à l’élaboration d’un plan de protection efficace qui prendra en compte le fait que certains militaires ou policiers venant de France seront, dès que la guerre civile sera déclenchée, leurs pires adversaires. Il faut donc dès aujourd’hui considérer avec une extrême méfiance tout projet de coopération de défense avec la France, car abandonner des données sensibles à la Ve République pré-insurrectionnelle signifie sans aucun doute livrer ses failles aux futurs groupuscules hexagonaux issus de l’armée et de la police qui, une fois qu’ils auront pillé leur propre pays, arriveront pour mener des razzias en Suisse comme, aujourd’hui, les bandes des banlieues lyonnaises viennent faire leurs casses à Genève.
Le processus de dégradation du vieil esprit républicain réellement créatif existant encore en France dans les années trente du siècle passé a déjà commencé et il n’est plus possible de revenir en arrière. En vue d’obtenir des pièces précieuses témoignant de la forfaiture folle perpétrée par des services d’État français, je suis entré, depuis 2011, en correspondance avec le Conseil National des Universités françaises (CNU) et détiens donc des données significatives que j’ai par la suite structurées dans le cadre de mes séminaires académiques étrangers, et ce, afin de présenter aux services de la Confédération helvétique quelle frénésie composée d’arrogance et d’imbécillité guide les apparatchiks français prêts à démolir leur propre système pour une satisfaction quasi bestiale et momentanée. Cette analyse d’une procédure officielle de la Ve république que j’effectue au sein d’universités européennes depuis 2012 démontre clairement, en France, la permanente fuite en avant des membres d’une structure étatique rémunérés pour mener une expertise afin de protéger leur propre corporation, mais démolissant avec acharnement le système qui les nourrit. Cet exemple de fonctionnaires du ministère de l’enseignement français guidés en temps de paix par leur cerveau reptilien est une excellente illustration de la manière dont agiront des hordes sauvages sous les habits de l’armée et de la police « françaises » réellement affamées suite au krach de l’État-providence français.
Cet article Guerre civile européenne : police, armée, danger ethnique ! est apparu en premier sur Eurolibertés.
Extrait de: Source et auteur
Suisse shared items on The Old Reader (RSS)
“Je dois remarquer que j’ai été le seul […] à signaler l’imprévoyance des gouvernements chrétiens: un peuple dont l’ordre social est fondé sur l’esclavage et la polygamie est un peuple qu’il faut renvoyer aux steppes des Mongols.
Tous les éléments de la morale et de la société politique sont au fond du christianisme, tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet.”
Chateaubriand, 1828