24/04/2016 – ALLEMAGNE (NOVOpress) : « Le Sida mental est toujours là », déplore Jean Raspail dans un hommage appuyé à Louis Pauwels, qui avait fait du Figaro Magazine un organe de combat. Dans le plus célèbre des éditoriaux du Fig Mag, paru le 6 décembre 1986 sous le titre « Le Monome des zombies », Pauwels avait écrit, concernant cette [...]
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@ Vautrin: 35% sont plus que suffisants pour renverser totalement la vapeur, l’histoire nous apprend en effet qu’une bien moindre minorité a toujours suffit pour réaliser les grands changements de société.
Nous pouvons par ailleurs profiter de la puissance actuelle des mots, organisée par le pouvoir (c.f. police de la pensée) pour nous passer de la violence des actes lorsque nous nous adressons à des gens de notre culture.
La violence des paroles, qui passe par une clarté impitoyable si possible agrémentée d’humour, nous suffira à soumettre sinon convaincre la plupart des imbéciles.
C’est un peu plus long mais le résultat n’en est que meilleur car notre adversaire, l’abruti, devient alors notre allié.
Il reste ainsi certes un abruti mais au moins il ne s’opposera plus à nos projets.
Pessimiste, certes, Jean Raspail. Toutefois il reconnaît qu’une partie du peuple a compris. J’en estime le poids 35 ou 36% des citoyens, il y a donc encore énormément de monde à traiter contre le sida mental.
C’est précisément notre rôle à nous Dissidents de briser le mur du silence, de faire éclater à tout propos et sans retenue la colère. Foin des circonlocutions et des paroles diplomatiques, il nous faut des actes forts et violents ! En commençant par botter les fesses aux mous et aux abrutis : tel est le principe de l’électrochoc du pauvre.