Un mouvement citoyen, au sein même de l'appareil chaviste, opère ces temps-ci pour forcer le despote gauchiste Nicolas Maduro à renoncer au poste de président du Venezuela. Ce mouvement implique actuellement les principales institutions du pays.
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Ainsi, le général Alexis López Ramirez (photo ci-dessus) a participé à des conversations qui visent à convaincre l'armée de demander à Nicolas Maduro de démissionner le plus vite possible. Il ne s'agit pas pour l'armée de prendre le pouvoir, mais d'assurer au plus vite une transition vers des élections véritablement démocratiques (mais notre chère gauche européenne va certainement alléguer que c'est "Pinochet - Le retour"...).
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Alexis López Ramirez met actuellement en route une coordination qui veut forcer, depuis un bon moment déjà, le président Nicolas Maduro à démissionner, étant donnée la situation catastrophique que vit depuis longtemps le pays, entre misère extrême et chaos généralisé. Nicolas Maduro est le successeur du "cynocéphale" Hugo Chavez, qui s'était comporté en véritable dictateur bouffon.
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De plus, Hugo Chavez avait été jusq'uà autoriser sur son territoire des "représentations officielles" des Farc, et, même, du Hezbollah ("Hezbollah Venezuela" : voir photo). Sous la présidence de Hugo Chavez et sous celle de Nicolas Maduro, l'appareil répressif vénézuélien a été - et est encore - dirigé par des agents cubains. Tout ceci ne préoccupe nullement les médias européens, au point qu'on est en droit de les suspecter d'être des complices castristes et silencieux du sanglant chavisme soi-disant "bolivarien"...
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Michel Garroté
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Dans tout état corrompu le seul salut pour le peuple est un coup d’état militaire destiné à lui redonner le pouvoir par des élections réellement libres, c’est-à-dire non-truquées par les puissances monétaires.
Ce n’est à ma connaissance jamais arrivé car aucune Constitution n’a jamais chercher à l’empêcher.
Une révolution “à la Pinochet”, si elle est nécessaire, qu’elle soit !