Si le dictateur soviétique n'était pas mort le 5 mars 1953, des millions de Russes auraient été déportés en Sibérie, simplement parce qu'ils étaient juifs.
Svetlana Alliluyeva, la fille de Staline, raconte qu'au moment de mourir celui qu'une propagande enamourée avait baptisé le petit père des peuples a ouvert une dernière fois les yeux. Son regard « à la fois fou et méchant », dit-elle, a balayé l'un après l'autre tous les dirigeants qui se trouvaient au pied de son lit et il a levé le doigt en un geste de menace qui a glacé d'effroi tous ceux qui étaient venus assister à ses derniers instants. Puis – au grand soulagement de tous – il a rendu l'âme.
C'est l'un des passages surprenants du livre que l'historien américain Joshua Rubenstein vient de publier aux États-Unis, Les Derniers Jours de Joseph Staline. Jusqu'au bout de son dernier souffle, celui qui restera comme l'un des dictateurs les plus sanglants de l'histoire aura fait régner la terreur, non seulement dans son peuple, mais surtout dans son entourage immédiat.
Des trains prévus pour les convois de déportés
Ce que rappelle ce livre, c'est aussi comment la mort a empêché le numéro un soviétique de rivaliser une fois de plus dans l'horreur avec Hitler. Tout était prêt, en effet, pour déporter en Sibérie et au Kazakhstan deux millions et demi de juifs russes. Des camps, proches du cercle polaire, avaient été construits et d'autres, agrandis. Des gardes-chiourmes avaient été engagés. Des trains prévus pour les convois de déportés. Dans les dernières semaines de sa vie, Staline, qui avait déjà envoyé au goulag deux millions et demi de personnes, dont 35 000 enfants, s'apprêtait à doubler, avec les rafles de juifs, le chiffre de ces hommes et de ces femmes promis à une mort plus ou moins lente.
En fait, comme souvent dans sa conduite impitoyable du peuple immense de l'empire soviétique, Staline avait besoin, pour ranimer l'esprit combatif de ses fidèles, d'un nouvel ennemi de l'intérieur.
Le 15 janvier 1953, la Pravda révèle qu'un complot visant à assassiner plusieurs dirigeants vient d'être découvert. Les assassins, dit le journal du pouvoir, sont les médecins qui les soignaient et, en réalité, les empoisonnaient à petit feu. Des médecins qui tous se trouvent être juifs. Dès lors, les arrestations vont se multiplier, les interrogatoires musclés se succéder et les aveux être abondamment publiés dans la Pravda. C'est ce qu'on a appelé « le complot des blouses blanches ». Même le médecin privé de Staline, le docteur Vinogradov, n'y échappera pas.
« les cosmopolites sans racines »
Mais les journaux officiels ne se contentent pas de révéler les desseins des comploteurs. La campagne antisémite, latente depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, est relancée dans le courant du mois de février 1953. Non seulement en URSS, mais aussi dans tous les « pays frères » contre « les cosmopolites sans racines ». Le maître du Kremlin a lui-même donné le ton en déclarant au Politburo que « tout sioniste est un agent du renseignement américain ». La préparation psychologique de la grande déportation à venir est donc bien lancée lorsque Staline meurt en quelques heures et dans des conditions qui restent encore mystérieuses, le 5 mars 1953.
Les inculpés du complot des blouses blanches seront tous libérés dans les semaines qui viennent. Et les goulags du Grand Nord prévus pour recevoir des millions de juifs resteront en partie vides. Malenkov, le successeur de Staline pour deux ans, fera même preuve d'une générosité, certes limitée, mais qui permettra de ramener dans leurs foyers plus d'un million de déportés du goulag (sur deux millions et demi) et d'abandonner un certain nombre de travaux pharaoniques, comme une nouvelle ligne de chemin de fer dans le nord de la Sibérie qui à elle seule faisait travailler dans des conditions épouvantables plus de 100 000 prisonniers.
La mort de Staline aura sans doute permis d'éviter une Shoah soviétique. Mais il faudra encore patienter quarante ans avant que ne s'écroule le système qui aurait pu mettre en œuvre cette autre solution finale. Celui que Ronald Reagan appelait fort justement « l'empire du mal ».
En complément des propos de Pierre H.
En 1960 j’ai écrit à diverses ambassades afin de recevoir de la documentation pour illustrer mes cahiers de géographie. Les Russes m’ont servi ! Plusieurs kilos, au moins quatre, en deux colis. PC du dernier congrès du PCUS, compte-rendu des plans quinquennaux, nouveaux plans quinquennaux et autres articles sur les brillantes réalisations soviétiques ! J’en ai lu beaucoup. Assez pour me familiariser avec les tournures, la typographie, le papier soviétique. Assez aussi pour comprendre ce que Le Carré dit entre les lignes du monde de l’espionnage.
Plus de 20 ans après on m’offre un voyage en Israël, avec un groupe chrétien. Avant le départ je reçois de la documentation. Un petit opuscule, en couleurs et sur papier glacé. Avec exposé sur le kibboutz. Présentation actuelle ordinaire. Je lis et, surprise, je renifle des relents forts d’URSS.
Sur place, au bar d’un kibboutz du nord, mon regard sur une brochure. Tilt ! D’emblée je renifle les parfums de Moscou. Hum hum, oui, l’imagerie de la page de couverture, la texture du papier, son odeur et le format confirment ! Et le contenu aussi. C’est presque le même que celui de la brochure moderne. A cette différence près qu’on y avoue des échecs dans le kibboutz.
Ceci vint corroborer ce que je subodorais depuis un certain temps. Et justifier un antisémitisme ? Non ! Car, ici comme ailleurs, je ne vois que l’homme. Et ce serai plutôt lui qui ne m’aime pas…
Et on relance la machine. Il faut bien entretenir la pleurniche….
Quand les merdias occidentaux continuent de taper sur l’URSS et la Russie : ils comparent Staline à Hitler, en disant que le petit père des peuples aurait également créé une shoah s’il n’était pas mort en 1953 ! N’importe quoi !
L’armée rouge a libéré Auschwitz et 75% des camps de concentration ! Staline a même créé un état pour les juifs, le Birobidjan !
Les pleurniches juives réécrivent l’Histoire alors que ce sont les juifs bolchéviques (Lénine et Yagoda en tête) qui ont massacré des milliers de chrétiens russes et ukrainiens sans parler de la famille du Tsar et également dans un autre registre Louis XVI !
Staline fut le premier dirigeant antisioniste !
Passage connu : V. le procès des “blouses blanches”, quand les bolchéviques voulaient élininer les médecins Juifs.
Article surprenant car 80 à 85% des bolchéviques de la révolution russe et d’après étaient juifs. Ce qui est surprenant aussi c’est que les bolchéviques ont assassiné 300’000 prêtres mais aucun rabbin, et ont détruit toutes les églises mais pas les synagogues !
Les Soviétiques épargnaient les Synagogues, mais rasaient les Eglises Un lecteur m’a envoyé une question pénétrante : «Quand les bolchéviques se sont emparés de la Russie, ils ont essayé d’éliminer la religion. Leur philosophie déclaré était l’athéisme et ils fermèrent les Églises Chrétiennes et tuaient ou emprisonnaient des membres du clergé.» «Toutefois, ont-ils également fermé les synagogues juives à proximité et tué ou emprisonné les rabbins ? La réponse à cette question vous expliquera beaucoup de choses sur les premiers jours du communisme et j’espère que vous pouvez fournir la vérité.» La semaine dernière je suis tombé sur la réponse dans un livre écrit par l’historien américain Edwin Schoonmaker : «Quinze ans après que la révolution bolchevique ait été lancée pour réaliser le programme marxiste, le rédacteur en chef du «American Hebrew» pouvait écrire : «Selon les informations que l’écrivain pouvait rassembler en Russie il y a quelques semaines, pas une synagogue juive n’a été démolie, comme l’ont été des centaines, voire des milliers d’églises grecques catholiques… à Moscou et dans d’autres grandes villes on peut voir les églises chrétiennes dans un processus de destruction… [Chaque fois] le gouvernement a besoin de l’emplacement d’un grand bâtiment.»( American Hebrew, le 18 novembre 1932, p. 12) Des juifs apostats, à la tête d’une révolution voulant détruire la religion comme «opium du peuple» avait en quelque sorte épargné les synagogues de la Russie». (« Démocratie et domination mondiale», 1939, p. 211) Si les communistes haïssaient tellement Dieu et la religion, pourquoi n’ont-ils pas aussi détruit les synagogues ? Le christianisme et le judaïsme adorent-ils le même Dieu ? Ou est-il possible qu’une religion revendiquant une propriété exclusive de Dieu soit une religion ? Serait-ce que le judaïsme est en réalité une société secrète comme la franc-maçonnerie, où les membres ne connaissent pas l’ordre du jour caché, qui est en fait exprimé par le Communisme ? Bien que de nombreux juifs religieux soient en effet anticommunistes, l’information rapportée par Schoonmaker suggère qu’il puisse y avoir une affinité entre le Judaïsme Talmudique et le Communisme Satanique païen. La kabbale bancaire judéo-maçonnique basée à Londres a parrainé les bolchéviques et se trouve derrière le Nouvel Ordre Mondial. Le Communisme fait partie d’un grand processus dialectique par lequel «la vie aux Etats-Unis… puisse être confortablement fusionnée avec l’Union Soviétique,» selon les mots employés par le président de la Fondation Ford, Gaither Rowanau, devant le chercheur du Congrès Norman Dodd en 1953. En effet, si le Communisme et la démocratie sont «fusionnés confortablement» sous le prétexte hypocrite de la «guerre contre le terrorisme», alors la destruction des églises sera inquiétante pour les chrétiens et tous les gens craignant Dieu, y compris les juifs ethniques comme moi. La présence décisive des juifs dans les mouvements communistes est bien documentée. Ce que les juifs ne savent pas, c’est que le communisme satanique est la source de l’antisémitisme. Le pentagramme est le symbole à la fois de l’occulte et de l’Union Soviétique. Tout au long de l’histoire, les chrétiens ont considéré les juifs comme des agents de Satan. Certains juifs peuvent avoir mérité cette réputation, mais tous en ont souffert en conséquence. Les juifs séculiers ont été dupés par les promesses de «propriété publique», «d’égalité» et de «justice sociale.» Rejetant la rédemption spirituelle, ils embrassèrent le leurre du diable d’une utopie mondiale. Les mêmes tentations sont maintenant utilisées afin d’enrôler les idiots utiles pour un gouvernement mondial.
Henry Makow
Les Soviétiques n’ont pas rasé les synagogues parce que le Communisme exprimait «l’égrégore» juif. Les Chrétiens et les juifs ne semblent pas adorer le même Dieu. Le Dieu chrétien représenté par Jésus est l’amour universel et la fraternité. Le Dieu juif a été supplanté par une égrégore kabbalistique que «sert» seulement l’élite juive. Elle représente leur impitoyable envie sociopathique pour la domination du monde. La même égrégore –le désir de supplanter Dieu -anime le Nouvel Ordre Mondial. Le Communiste moyen juif ou non-juif était une dupe idéaliste. Le marxisme, l’égalité etc. étaient tout simplement des vitrines pour cacher le véritable ordre du jour : la destruction de la race, de la religion, de la famille et de la nation ; l’accumulation de toutes les richesses et la réduction en esclavage de l’humanité. Les méthodes ont changé, mais l’ordre du jour est identique. Le même ersatz d’idéalisme insuffle le mouvement de gouvernement mondial qui est plein de pieux opportunistes qui ont vendu leur héritage pour un siège à la table mondialiste. Il ne faut pas se leurrer. Nous sommes confrontés à un mal diabolique, impitoyable, vicieux et sournois, avec des ressources illimitées. En dépit de cela, les juifs et les non-juifs doivent s’unir pour bannir Lucifer et déclarer que seul Dieu est Dieu, Il est moral et nous ne servons que lui seul.
Henry Makow