Par Frosty Wooldridge
À partir de Teddy Kennedy en 1965, le sénateur américain souvent ivre a commencé le chemin des États-Unis vers le multiculturalisme et la diversité. Kennedy a changé la sociologie, la religion, le racisme, la linguistique et la philosophie de ce pays.
Il a forcé l’Amérique à devenir un Frankenstein multiculturel. Aujourd’hui, avec 100 millions d’immigrants plus tard, l’Amérique se fracture et se fragmente avec tout le monde tirant dans des directions différentes.
Les Mexicains veulent leurs manières. Les Musulmans le demandent aussi. Les Africains veulent un état séparé. Les Américains d’origine caucasienne s’accrochent à leur mode de vie en fuyant les grandes villes.
Dans cette série d’entretiens avec George Phelps, vous recevez une vue plongeante de notre société condamnée.
Tout est fait par nos sociétés humanistes angélique ( liberté/égalité/fraternité) , nos médias, nos politiques pour piéger les pauvres jeunes filles en leur faisant croire qu’avoir un enfant métis ( franco-africain) est anodin, moderne, beau etc…toutes mes amies qui sont dans ce cas réalisent que leurs enfants ne sont pas perçus comme les autres ( racisme ) en Europe et surtout dans les pays de l’est , l’Italie du sud, l’Autriche etc…
Pourquoi les médias , les politiques n’abordent-ils pas ce problème afin que les jeunes gens soient avertis et prennent leur responsabilité. Actuellement , c’est un sujet tabou, sensible, et aucun politique n’osera en parler car il sera vite traité de raciste par la gauche.
Je suis parrain d’une Franco-Africaine que j’ai vu grandir et souffrir….
Quelle hypocrisie de nos politiques et médias !!!!
J’ai toujours pensé que le multiculturalisme, le métissage forcé encouragé, organisé par nos médias et nos politiques humanistes, mondialistes, immigrationistes surtout de gauche serai un terrible échec et participera à la décomposition/destruction de la nation, de nos valeurs cohésion sociale, identité, culture, histoire etc…..
Le multiculturalisme ne se décrète pas. Plus un peuple est mélangé, moins il a de références communes et plus il a besoin de règles et de lois pour imposer les valeurs qu’il n’a plus.