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@ Vautrin. Certes, les milieux financiers sont des monstres froids et sans scrupules. Mais pensez aux petits épargnants dépouillés, à ceux qui voient fondre leur caisse de pension ou leurs économies. Il y a très peu de grands ruinés (qui s’en sortiront toujours) par rapport aux petits ruinés.
Les spéculateurs paient des décennies de trafics. Ils ont joué, avec la complicité des banques centrales, sur la création de monnaie, sur la dette, sans que la monnaie de référence – le dollar- soit adossée à un étalon sérieux comme l’or. On a émis de l’assignat à cours forcé, en fait une monnaie fictive, joué à fond sur le sacro-saint taux de croissance sans que jamais la valeur ajoutée escomptée par la spéculation n’ait été réellement produite. Les “bulles financières” finirons par crever, le système semblant être arrivé au bout de sa logique : la banqueroute. Bien sûr, les gouvernements, obéissant aux monopoles de Wall-Street, essaieront de trouver des solution pour sauver ce système d’escamoteur, en pressurant encore et toujours les peuples.
Finalement, que faut-il espérer ? Certes, un effondrement du système provoquerait une crisé gigantesque, un chaos, avec des dégâts collatéraux terribles. Mais tout de même, les sociétés humaines sont capables d’inventer autre chose, de plus raisonnable que cet argent fictif, pour s’en sortir. De toute façon, les replâtrages ne feraient que reporter l’échéance, avec des dégâts encore pires que ceux que nous risquons maintenant. Il vaut mieux, je crois, que le système s’effondre rapidement.
Tout se fracasse! Il n’y a plus de boussole, les bourses plongent, la crise financière de 2008 n’étant toujours pas réglée, une autre arrive, chaque état a des dettes colossales (France et Allemagne plus de 4 mille milliards d’Euros), un PIB proche de zéro, des importations et exportations en diminution, la consommation des ménages baisse, les états dépensent trop par rapport aux entrées fiscales et taxes avec pour conséquence une saignée drastique dans les caisses sociales. Les planches à billets de la BCE et de la Chine ont mis les économies européennes et mondiales en situation virtuelle et n’ont fait qu’aggraver les déficits. Les taux bancaires bas voire même négatifs ne sont pas rentables et la course aux prix bas n’a pas été le moteur d’une reprise et comme si cela n’était pas suffisant, la crise géopolitique sous-estimée, aggrave les tensions sociales et financières des états.