Le conseil communal d’Egerkingen (SO) a modifié son règlement scolaire pour le jardin d’enfants et le niveau primaire. La langue allemande y est désormais de rigueur en tout temps dans l’enceinte de l’école, rapporte l’Oltner Tagblatt.
On ne pouvait pas permettre que les enfants suisses se sentent exclus, a justifié la présidente de la commune Johanna Bartholdi (PLR). En effet, certaines classes comptent parfois 70% d’élèves avec des parents étrangers.
La commune a également mis au point un système d’amende. Les enfants reçoivent un avertissement oral à la première infraction puis écrit à la deuxième. En cas de troisième infraction, ils sont astreints à un cours d’allemand de dix leçons que les parents devront payer. Coût du cours: 550 francs.
Johanna Bartholdi sait que ce dernier point va faire grincer des dents. «Nous nous trouvons peut-être dans une zone grise du droit», reconnaît-elle mais elle estime que si les enfants ne sont pas capables de s’adapter, l’école ne remplit plus son rôle d’intégration. [...]
Dans ma carrière d’enseignant, plus de 35 ans tout de même, j’ai observé deux phases.
Celle des années 70 à 90, durant lesquelles on ne remettait pas en question le fait qu’un élève étranger doive s’accoutumer à son pays d’accueil, voire d’invasion.
Puis celle des années 90 à aujourd’hui, lors desquelles commença la mode pour un jeune d’être considéré comme une victime d’un complot mondial. Cet écolier était en Suisse contre son gré, mais en fait à cause de la Suisse.
S’en suivirent des tonnes de revendications communautaires.
J’avais l’impression que le souhait de certains collègues, surtout des femmes souffrant de sevrage intime, consistait à accéder à un nirvâna pédagogique, à savoir des classes où il n’ y aurait plus d’éléves suisses du tout.
La démarche est totalement logique, mais une fois passée à la moulinette socialo-droitsdelhommiste ça donnera :
1 infraction = une remarque
3 remarques = 1 avertissement
3 avertissements =1 blâme
3 blâmes = on envisagera de prendre des mesures en cas de récidive.
Et en prime on remettra les compteurs à zéro à chaque trimestre.
Du coup il faut espérer qu’il n’y ait pas trop de socialos à Egerkingen.
Ce n’est pas le rôle de la Suisse que d’absorber des hordes de sauvages avec l’ambition puérile que croire qu’on peut les faire changer. C’est bien là un truc de bonne femme qui pensent la même chose avec des drogués et des alcoolos et finissent pas se retrouver égorgées quand ce n’est pas défigurée à l’acide. Mais là elle sont moins combative pour s’exprimer que pour nous imposer leurs conneries initiales. Ce gens sont rejetés par leur propres pays de quel droit devons-nous en être les supplétifs. C’est dehors et retour à la case de départ et ceux qui ne veulent pas les reprendre on bombarde les capitales et parachutes pour tous. De toute façon ce sont eux qui nous ont déclaré la guerre à coup d’invasions forcées. Les branleuses du C.F. feraient bien d’y songer avant qu’on les parachute elles aussi, chez leurs amis musulmans de toujours. Avec la Merkel elles pourraient y ouvrir et y tenir un bouge pour aveugles et cul-de-jatte. C’est seule activité qu’on peut réellement leur confier vu les fiascos qu’elles nous imposent.
Quel pays au monde supportera cette invasion/colonisation anarchique ?
C’est aux parents étrangers d’éduquer leurs enfants afin qu’ils comprennent que , sortis de chez eux, la langue commune du pays d’accueil s’impose. Il ne peut y avoir aucune réclamation, ni négociation . Et cela pour le vivre ensemble et l’intégration bénéfiques avant tout pour ces enfants étrangers qui vivront dans ce pays qui a eu la générosité de les accueillir. Il est évident que ces enfants ne retourneront jamais vivre dans leurs pays d’origine souvent pauvre, misérable, en retard avec un système politique dictatorial , sans aucune liberté.
C’est du bon sens et bravo pour ces courageux élus qui ont compris les enjeux !
“si les enfants ne sont pas capables de s’adapter…” – c’est peut-être qu’ils ne veulent pas, tout simplement. Pourquoi toujours cette autoflagellation : … “c’est l’école suisse qui ne remplit plus son rôle…” ?
Il faut célébrer le bon sens, un bon sens qui ne va pas de soit!
Il s’apprend, comme la politesse, dans l’exigence de soit et la confrontation des réalités.
Bien éloigné de toutes ces prétendues sciences sociales, politiques, ou économiques, où les théories les plus fumeuses et les plus décalées sont adulées par des tartuffes !
Là où la grenouille se fait plus grosse que la vache, on préférera les gens de la terre et les artisans, qui on à répondre de leurs actes!
Bravo, bravo, bravo! Des personnes ont encore la tête sur les épaules… félicitation!
Un seul mot : Bravo. Reste à voir si ça sera vraiment appliqué ou si ce n’est qu’une annonce juste pour voir …
Comment lui donner tort ! Effectivement, une bonne intégration passe par la pratique scolaire de la langue locale ! La gauche, qui prône d’ailleurs l’importance de cette bonne intégration scolaire, ne va toutefois certainement pas manquer de monter aux barricades pour désavouer cette commune, en estimant ce projet discriminatoire et raciste…
je vois déjà les cris éhontés de notre caste dominante s’offusquer que les élèves suisses soient si égoïstes qu’ils ne soient pas capable de suivre leurs cours en albanais !