« Il faudrait, nous dit-on, parvenir à une parité hommes-femmes à tous les niveaux de la société et dans toutes ses strates professionnelles. On pense ici aux postes de direction et aux sièges dans les conseils d’administration qui échappent trop souvent aux dames. J’approuve des deux mains cette ouverture pour d’élémentaires raisons de justice mais… seulement si les femmes sont empêchées d’accéder à ces postes par des hiérarchies masculines qui défendent leur pré carré. Si, au contraire, nombre d’entre elles ne souhaitent pas y aller parce qu’elles répugnent à ce type de responsabilités, qu’elles s’y sentent mal à l’aise, qu’elles s’y ennuient ou qu’elles en désapprouvent l’organisation et les principes, qu’on leur fiche la paix! 

[...]  Selon eux [ les tenants de la théorie du genre, ndlr], les différences entre hommes et femmes proviendraient essentiellement du conditionnement social. 

[...] Pourtant, une autre approche scientifique prouve au contraire que les hommes et les femmes ont réellement des caractéristiques innées sous l’influence directe des hormones sexuelles sur le fœtus. [...] Ainsi, le choix des jouets plutôt masculins ou plutôt féminins est sexué dès les premiers mois d’existence et avant toute influence. Et elle [La neurobiologiste Lise Eliot] s’exclame non sans humour: « Il doit y avoir un gène de la bagnole sur le chromosome Y! » »

Source

Voir à ce propos: Comprendre la visée politique des philosophies du genre

Et la vidéo qui a fait fureur dans les pays scandinaves

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