4 commentaires

1. .. et j’ajoute : l’islam nous force malgré nous à identifier la femme aux nobles valeurs chrétienne avec celle, méprisée par son mari, qui porte le torchon obligatoire et nous pousse ainsi dans nos retranchements qui consiste à soutenir le féminisme pour mieux repousser la tradition musulmane, faute d’autres moyens.
   Le serpent qui se mord la queue.
   On a les moyens de revoir tout ça dans une lumière nouvelle, spirituelle et évangélique. Les femmes dans l’évangile étaient nobles, et les premières à être réceptives à la Vérité.

2. On peut dire que ce qui se passe révèle les fruits de notre civilisation :
   – inversion et confusion des genres
   – divertissement comme seul but
   – poursuite des émotions et des bonheurs éphémères et superficiels, les apparences et la pacotille.

   Ces choses sont liées par la culpabilité qui résulte de la nouvelle morale socialo-mondialiste.
   Première inversion des valeurs : le féminisme dont les véritables intentions nous apparaissent clairement aujourd’hui : le marché.
   On a fait croire à la femme qu’il était indigne de se salir les mains en changeant les couches des bébés, et en s’occupant du foyer. On l’a culpabilisée de ne pas travailler de manière lucrative afin de pourvoir à ses besoins, qu’elle devait “fonctionner” dans la vie publique et la voilà promue in fine, chef de gouvernement, parité obligatoire.
   Elle l’a cru et a eu honte de sa haute responsabilité et de sa vocation et l’homme y a vu son avantage.

   Quand on parle de la femme d’avant son “émancipation” on la dit effacée, soumise, n’ayant droit à rien sinon qu’à se taire, mais on oublie que c’était sa sagesse qui éduquait tous les jours ses enfants, son mari, ses proches.
   Quand les vieux n ‘étaient pas mis dans les mouroirs modernes, ils s’occupaient aussi de transmettre une sagesse héritée de leurs ancêtres.
   Qui ne se souvient pas d’une grands-mère joyeuse toujours prête à servir pour son plus grand bonheur ?
   Qui apprenait à servir et non pas à être servi ?
   Qui pourfendait le caprice et tuait les péchés capitaux dans l’oeuf ?
   Maintenant, notre système l’encourage et l’enseigne sous prétexte qu’il faut cultiver sa personnalité, et on s’aperçoit en fin de compte, que c’était pour mieux la diriger.

   La femme ainsi affranchie de sa mission a donné naissance à une génération sans racine, sans les valeurs qui font d’elle une colonne vertébrale, n’ayant pour seule éducation que celle qui est distillée jour après jour à l’école et dans les médias de toutes sortes, pour un seul but : le marché.

   A cette génération, il ne reste plus qu’à croire aux promesses de leur i-phones, qui leur donne leur lot d’affectivité dénaturée, pieds et mains liés, aveugles, sourds et muets, ne voyant pas l’immense raz-de marée de boue qui les menace.

   On n’en sortira pas avec des luttes politiques, se chargeant mutuellement de la faute, mais avec un changement de vie au niveau individuel.

   C’est ce que raconte une histoire célèbre qu’il faut désormais comprendre sous un nouveau jour : la femme a cru aux séductions du serpent (l’altération du Beau et du Bien) et en a informé son mari qui s’est laissé entraîné. Une histoire qui raconte comment l’émotionnel, le factice, l’éphémère, le profit immédiat, prend le dessus sur l’Intelligence divine, ou la sagesse. Maintenant, une guerre entre hommes et femmes est déclarée : ils s’accusent les uns les autres de la folie du monde.
   La femme (qu’on symbolisera par l’idéologie de gauche basée sur l’émotion, l’échange gratuit dégénéré en fausse compassion) va-t-elle se repentir de ses oeuvres ?
   L’homme (la droite, basée sur la raison, la compétition et le commerce) va-t-il tenir mordicus à ses acquis matériels ?
   C’est ainsi que la Sagesse divine, a dégénéré et a été séparée en deux et l’orgueil est dans chaque partie/parti.

   Quand on a un corps étranger dans l’oeil, le plus difficile et le plus douloureux, c’est de l’enlever !
   et ainsi, comme dit Jésus, quand vous verrez ces choses arriver, fuyez dans les montagnes, sortez ! ce qui signifie qu’il faut monter en conscience, individuellement.

   P.S. En tant que femme qui s’est laissée avoir par ce qu’elle dénonce, je me donne le droit de critiquer ce qu’elle est devenue. L’auto-critique n’est pas de l’auto-flagellation, qui est un truc émotionnel 😉

3. Cette ministre est pleine de bon sens. Mais mon avis est tout différent. En effet, ces criminels viennent détruire nos démocraties, par conséquent, ils doivent foutre le camp…. Ça suffit!

4. Heu… Est-on sûr que cette oligophrène est “the right woman at the right place” ?