Le mouvement des Indignés finit à Genève dans la tragédie, les invectives et les règlements de comptes, ce qu'au demeurant chacun pouvait prévoir - sauf les autorités de la Ville, dont la candeur confine à la faute politique.
Le Temps donne de l'affaire une conclusion parfaitement synthétique et juste: «La réalité a bien froidement rattrapé l'utopie, et les indignés semblent encore moins d'accord entre eux qu'ils ne le sont avec le système.»
Et vous, qu'en pensez vous ?