Dixit Ignace Jeannerat, secrétaire général du Temps, dans un élan de témérité peu fondée…
« Ce choix leur incombe [aux cardinaux]. [...] Et non aux catholiques de France, de Suisse ou d’Autriche qui, eux, privilégieraient un prélat ouvert au mariage des prêtres, aux questions de la place des laïcs engagés dans l’Eglise, ou des divorcés remariés »; ah bon ?
Si certains se prennent pour le pape, d'autres visent beaucoup plus haut...
Source : Le Temps, 12.03.2013
Et vous, qu'en pensez vous ?