Monsieur le Rédacteur en chef, Madame, Monsieur,
Comme je le relevais récemment, à Fribourg, verbalement avec M. Uli Windisch, la définition de votre site est quasi exceptionnelle en excellence, en Europe. Cette recherche de politique et d'information décomplexées (dixit) avec un succès grandissant, encore trop caché par la Realpolitik insufflée quotidiennement par la Presse de tendance bobo, émotions obligent, constitue la voie à suivre pour celles et ceux qui réfléchissent, analysent et ont l'honnêteté de considérer les faits.
La manipulation globale est un fait. Des innocents sont massacrés. Paix à leur mémoire. Peu de vrais journalistes et agences de presse ont revendiqué le devoir d'ingérence lorsqu'en Syrie, récemment, une petite fille de cinq ans fût décapitée au nom de l'Islam criminel. La vraie histoire de l'innocent Aylan a été très justement énoncée par votre site. Honneur à votre professionnalisme.
Tel un croisé des premiers siècles défendant la civilisation judéo-chrétienne et sa Croix, je revendique le blocage ferme, sans concessions, de cette immigration invasive qui va pourrir l'Occident. Les Hongrois, les Polonais ont raison. Ce ne sont pas des peuples égoïstes, mais des populations qui ont compris le vrai enjeu.
Les réels malheureux, les oubliés de l'Histoire, les damnés de l'oppression islamique, ne sont pas sur la route vers l'Occident, mais bel et bien encore en Syrie, Irak, ...
A quand le devoir d'ingérence pour exterminer cet Islam tyrannique, comparable, il est vrai, à l'Inquisition catholique caractérisée par six siècles de génocide ? Le silence des Musulmans d'Occident, face au crime, au génocide, à l'atrocité, questionne.
Dans ce pays, la Suisse, de manière organisée, par exemple, la femme cheffe de famille avec enfant(s), est discriminée pour la recherche d'un toit, pour l'obtention d'un salaire équitable. Madame la Présidente de la Confédération, vos envolées lyriques ne suffisent plus à couvrir l'appel des Suissesses et Suisses qui, aussi, souffrent.
Alors, l'UDC grimpe dans les sondages, l'extrême droite est aux créneaux, et vous vous en étonnez ? Rendez d'abord au peuple suisse sa dignité.
Que les Arabes s'adressent aux Arabes, aux EAU, à Dubaï où la moindre chambre coûte la bagatelle de 3'000 € la nuitée !
OUI, IL NOUS FAUT UNE DROITE DECOMPLEXEE. Foi d'un apolitique conscient de l'irrespect croissant envers l'Homme.
F.E. (nom connu de la rédaction). Merci pour le soutien, également pour le don. Il nous en faudrait beaucoup d’autres, surtout de la part de ceux qui nous lisent constamment et depuis longtemps sans le moindre soutien ! Cela devient vital. A bon entendeur salut ! La rédaction
@Jeferson
Vous écrivez ceci, qui est assez juste: “Le journaliste moyen a certes un esprit gauchisant et social, mais son sens de la solidarité lui fera toujours préférer un article neutre à une longue période de chômage.”
Et pourtant ce n’est que partiellement vrai. C’est vrai pour certains journalistes: ceux qui adhèrent vraiment à la ligne gauchisante et pro EU. Mais je pense qu’au fond de leur âme ils n’y croient pas tous. Ils sont contraints en revanche à se plier à cette ligne, à cause du Diktat des rédactions et des éditeurs.
Je vous suggère donc une formule légèrement différente:
“Malgré les apparences le journaliste moyen n’a pas toujours un esprit gauchisant anti-suisse et pro UE, mais son sens des nécessités de sa survie lui fait toujours préférer d’écrire un article gauchisant anti-suisse et pro UE, à une longue période de chômage qui lui pendrait au nez s’il défendait la Suisse, car dans ce cas il serait immédiatement mis à pied par les cerbères dont il dépend.”
En se basant sur cet instinct de conservation du journaliste, qui peut dans certains cas s’étendre aussi aux éditeurs et réd. en chef, on pourrait alors changer l’ambiance médiatique : si notre pilonnage à boulets rouges contre les médias de désinformation anti-suisses et pro UE réussit à faire se désabonner beaucoup de gens et si les lettres écrites systématiquement aux annonceurs, dans le style suggéré par Jeferson, contraignent ces annonceurs à faire pression sur les rédactions des journaux, alors, par instinct de conservation, même les journalistes ayant effectivement “un esprit gauchisant et social”, préféreront renoncer à leur propagande anti-suisse, gauchiste et pro-européenne, et préférerons écrire un article neutre à une longue période de chômage.”
Il y en aura même qui retourneront carrément leurs vestes, CAR CE SONT DES OPPORTUNISTES, et qui se mettront à écrire comme LesObservateurs.ch, parfois même en en rajoutant
@Jeferson
Tout à fait d’accord avec vous ! Il faut employer toutes les méthodes possibles en même temps.
Pour la lutte à mener contre cette grande presse de propagande, il y a quelques petites disciplines quotidiennes à observer. Bien entendu se désabonner, si ce n’est pas encore fait, mais aussi ne plus jamais payer un sou à ces gens là. Je m’explique. Ne jamais acheter ces journaux au kiosque. Ne les lire qu’au café et seulement après s’être assuré que le café en question les reçoit gracieusement (ce qui est souvent le cas). Ainsi on s’assure qu’on ne contribue pas financièrement à la propagande antisuisse ni à la désinformation.
Je ne voudrais pas dire qu’il faut boycotter tous les journaux sans exception. On peut encore lire Le Nouvelliste, même s’il a beaucoup baissé depuis l’époque bénie du regretté André Luisier. On peut éventuellement mettre au bénéfice du doute La Liberté. Il y a parfois des bons articles dans 24Heures ou La Tribune. Mais il faut absolument assécher Le Temps et L’Hebdo de toute ressource financière en ne s’abonnant jamais à leur édition virtuelle, et en ne les lisant plus jamais sauf dans une salle d’attente de dentiste, s’ils s’y trouvent par hasard, mais alors en n’oubliant pas de recommander au dentiste de se désabonner.
Ces deux titres là doivent absolument disparaître.
Autre mesure à prendre. Il faut bien voir qu’une bonne partie des gens qui restent abonnés au Temps, même en pestant chaque jour contre le contenu des articles, continuent de souffrir ainsi pour une seule raison. Ce sont des gens qui par tradition de famille étaient abonnés depuis des générations au Journal de Genève ou à la Gazette de Lausanne. Par conséquent, s’ils sont âgés, ils se sentent obligés de rester abonnés à cause des faire part mortuaires, pour ne pas manquer un enterrement de quelqu’un qu’ils connaissent. Il faut donc impérativement se donner le mot, dans sa parenté, parmi ses amis. Si on sent qu’on approche de la mort, il faut s’interdire et interdire à sa famille, au besoin par testament, de mettre sa future annonce mortuaire dans Le Temps. Déjà dans La Tribune ou même GHI ce serait un moindre mal. Pareil d’ailleurs si on a un bébé. Les faire part de naissance, pas un seul dans Le Temps. Très important. Il faut absolument que la bourgeoisie de Suisse romande perde le pli qu’elle conserve encore inconsciemment de considérer Le Temps comme le continuateur du Journal de Genève et de la Gazette. Il n’y a plus aucune continuité en réalité. Ces journaux étaient encore des journaux libéraux conservateurs, suisses et patriotes. Depuis l’épisode NouveauQ, il y a eu une rupture. On a un journal (qui s’est continué dans Le Temps) libéral gauchisant progressiste internationaliste totalement antisuisse et ridiculement pro-européen.
Monsieur Windisch devrait penser à cet aspect, apparemment symbolique mais en tant que sociologue il comprendra que ce n’est pas sans importance. Le succès des Observateurs est d’ores et déjà un phénomène de société dans notre petite Suisse romande. Car LesObservateurs, au fond, a un positionnement “libéral-conservateur” qui était traditionnellement celui du Journal de Genève et de la Gazette, tout comme d’ailleurs de la Neue Zürcher Zeitung (qui a aussi viré à gauche et perdu ses lecteurs). A partir de maintenant il faudrait que LesObservateurs exploite ce filon à fond et, en plus de son impact populaire de masse, déjà acquis, s’enracine dans la sociologie libérale conservatrice romande. Pour cela j’espère que LesObservateurs deviennent un rendez-vous, aussi, dans lequel les gens communiquent les évènements de la vie. Cela veut dire: publient leurs faire parts, de décès, de mariage, de naissance.
Le jour où un habitant de la Rue des Granges anticonformiste décidera de faire part du décès de sa grand mère, ou de la naissance de son fils, dans LesObservateurs, alors LesObservateurs aura réussi à devenir le vrai média de référence en Suisse romande (que Le Temps n’a jamais été). Et pour le coup, Le Temps sera fini.
Bonjour,
J’ai noté le commentaire de notre ami “Mécontent”:
“La seule chose qui les impressionne, ce ne sont pas les protestations des lecteurs, ça leur fait hausser les épaules. Ce sont les désabonnements. Là ils ont peur et ils se mettent à réfléchir”.
Si seulement c’était le cas, on aurait des journalistes capables de réfléchir et non pas des militants perpétuellement en campagne. Je suis pour ma part persuadé que ce n’est pas ainsi qu’on les poussera à la réflexion: nous sommes les méchants, ils sont les gentils. Et nous n’avons rien compris, ils leur faut donc faire encore plus de propagande, plus de morale, plus fort.
Là où vous avez raison, c’est que l’argent est le nerf de la guerre. Il y a à la tête des journaux des directeurs capables de compter. Et qui savent qu’un journal ne survit pas seulement avec des abonnés, mais surtout avec des annonceurs.
Il y a sans doute une solution plus efficace pour faire passer le message. Noter quels sont les grands annonceurs -ceux qui passent des pages complètes-, et leur écrire. Une lettre du style:
“Mesdames, Messieurs,
Vous faites régulièrement paraître des annonces pleine page dans …. . Je constate avec un déplaisir certain que ce journal se livre à longueur d’années à une propagande gauchiste / en faveur de l’EU/ pour les immigrés musulmans / contre les armes …
Sachez que l’organisation / les organisations que je représente en tant que / citoyen / électeur / patriote / chrétien / consommateur / tireur sportif / … a / ont décidé d’appeler au boycott de ce /quotidien / hebdomadaire / torchon …, et surtout recommande /(nt) de boycotter désormais les annonceurs de cette presse orientée. Nous n’allons pas acheter vos produits, pour qu’ensuite vous reversiez une partie de vos bénéfices à des personnes qui nous insultent à longueur de journée / trient les courriers des lecteurs pour ne garder que ce qui va dans leur sens / crachent sur la Suisse et sur nos valeurs, / refusent des décisions démocratiques.
Tant que votre publicité paraîtra dans … , j’irai me fournir chez vos concurrents et j’inciterai tous mes proches, amis et connaissances à faire de même.
Je vous demande de prendre acte de ces mesures et souhaite que vous souteniez dorénavant une presse neutre, respectueuse, qui soit ancré plus à droite peut-être, mais au moins au centre, et surtout plus aux ordres du parti socialiste.
Avec mes meilleures salutations,
… »
Avec évidemment copie à la rédaction…
Et là effectivement certains risquent de comprendre. Le journaliste moyen a certes un esprit gauchisant et social, mais son sens de la solidarité lui fera toujours préférer un article neutre à une longue période de chômage.
Alors, à vos plumes !
Jeferson, septembre 2015
@Mécontent
Sachez que je suis sur la même longueur d’onde que vous.
Il faut que les gens cessent de financer cette propagande de gauche.
Par contre, je maintiens que la gratuité est le seul moyen de garder et de faire grandir le nombre de visiteurs du site.
@ C. Donal
Pas d’accord avec vous. Aucune “pression malsaine” là dedans. Je propose simplement une confrontation plus offensive, des idées et des opinions. Et un combat plus dur dans la concurrence contre une presse qui nous étouffe idéologiquement. Il faut frapper cette presse là où ça fait mal: en lui prenant ses lecteurs. Il n’y a pas de pression. Chacun est libre. Il y a très longtemps que je recommande à tout le monde de se désabonner de ces journaux qui nous empoisonnent la vie. La seule chose qui les impressionne, ce ne sont pas les protestations des lecteurs, ça leur fait hausser les épaules. Ce sont les désabonnements. Là ils ont peur et ils se mettent à réfléchir. C’est la seule arme que nous ayons contre eux et il faut l’utiliser.
On en a plus que marre de ce pseudo ton feutré hypocrite dont se prévalent les médais mainstream pour nous bourrer le mou. C’est précisément ça la malhonnêteté du “politiquement correct” dont on se sert pour étouffer tout débat. C’est aussi pourquoi il est si scandaleux d’imposer aux gens une taxe ou redevance, pour le pseudo “service public” par lequel le fils à papa multimillionaire et supergauchiste Roger de Weck nous endoctrine. C’est insupportable. La nomination de ce représentant de l’establishment dans le but d’influencer les élections en étouffant le débat sur la question européenne, et sur l’immigration, a été un scandale sans nom. Il va falloir remettre en question cette redevance jusqu’à qu’on en soit débarrassés. Donc organiser peut-être des grèves de la redevance. Mais pour la presse écrite, heureusement il n’y a pas de redevance. Chacun est libre de s’abonner ou de se désabonner. Alors pour les organes de presse qui travaillent pour l’Union Européenne contre la Suisse et contre le peuple suisse, nous devons organiser la résistance. C’est à dire inciter tout le monde à se désabonner de ces journaux pour qu’ils soient sanctionnés économiquement. Il faudrait même d’ailleurs organiser une grève des annonceurs.
Je peux vous dire une chose. Si j’étais à la tête d’une grosse entreprise, une entreprise indépendante qui se moque des conformismes, je publierai un communiqué en disant que dès à présent mon entreprise ne passera plus aucune publicité dans aucun journal du groupe Ringier, Tamédia, ni à la Radio ni à la TV, à cause de la ligne politique de ces organes de propagandes qui nuisent à notre pays. Et je commencerais à mettre des publicités payantes dans des sites de réinformation comme LesObservateurs.ch. J’inciterais également mes clients et fournisseurs à faire de même. Ca ça aurait un impact.
Vous “ne voyez pas ce site fonctionner sur ce modus operandi puisque il défend la liberté d’expression”. Mais précisément il s’agit de défendre la liberté d’expression. Ce qui fait l’attrait de ce site c’est de s’opposer au politiquement correct. C’est sa devise. Il s’agit donc de briser les tabous et taper dans le tas. Les autres peuvent aussi s’attaquer durement aux Observateurs . C’est leur droit. On vit encore dans un pays de liberté. On est libre de lutter pour ses idées de manière offensive. C’est ça la liberté d’expression.
Quant à l’objection de bigjames, qui veut “par tous les moyens possibles maintenir ce site gratuit”, OK d’accord. Mais rien n’interdit de résilier son abonnement au Temps ou à L’Hebdo en leur disant. “A partir de maintenant, l’argent que je vous payais pour mon abonnement, je désire l’employer pour soutenir la réinformation et je le verserai donc au site tel ou tel (de réinformation).” En l’occurrence LesObservateurs.ch.
@ Mécontent
“apportant la preuve qu’ils ont écrit”
Ceci aurait un goût de pression malsaine. Brrrrr. Je ne vois pas le présent site fonctionner sur ce modus operandi puisque il défend la liberté d’expression.
Pour ma part, je pense qu’il faut par tous les moyens possibles maintenir ce site gratuit.
En tous les cas , en retarder le plus longtemps possible sa version payante.
Une sensibilisation plus dynamique des visiteurs à faire un don, même modeste, me paraît plus judicieux.
La vente d’autocollants, T-shirt, etc, avec le logo du site pourrait aussi être un débouché.
Il est impératif que le site vive.
Christian, je vous soupçonne d’être un rédacteur du Temps qui essaie de défendre son bifteck. Peine perdue, ce torchon est condamné. Les lecteurs le boycottent en n’en veulent plus. Vous verrez, ça va aller de mal en pis. C’est comme pour Le Monde et Libération: les lecteurs votent avec leur portemonnaie contre ces journaux qui les exaspèrent. En revanche si la ligne rédactionnelle devenait eurosceptique, là, Le Temps et L’Hebdo pourraient peut-être s’en sortir. Mais il est bien tard, pas sur qu’ils puissent encore se sauver.
Pour le remboursement d’une partie de l’abonnement, vous avez raison. On ne l’obtiendrait probablement pas. Mais il faut le dire quand même et surtout demander aux gens de verser la somme à un site de réinformation (pas forcément LesObservateurs.ch, il y en a d’autres aussi: Le Carton Rouge du Citoyen par exemple). Il faut insister là dessus, rien que pour les faire enrager.
J’espère qu’à la suite de mon petit billet il y aura une série de lettres de désabonnement à ces journaux de désinformation.
Si LesObservateurs devenaient payants, comme vous le suggérez, il y aurait sans doute pas mal de gens qui accepteraient de payer pour s’y abonner. En revanche qui voudra payer pour la propagande infecte du Temps en ligne ?
Je suggère à M. Windisch une solution intermédiaire: garder le site gratuit pour avoir le maximum d’impact, mais pour certains articles qui demandent un effort particulier des rédacteurs, pourquoi pas les faire payants? La majorité des articles gratuits, mais certains payants. Ces articles payants pourraient redevenir gratuits après un certain temps, par exemple trois mois. Bref, c’est à voir.
Ma suggestion serait la suivante: le site de réinformation, en partie gratuit, en partie payant, pourrait proposer ceci à ses lecteurs: tous les lecteurs apportant la preuve qu’ils ont écrit à un des journaux de désinformation (par exemple Le Temps qui est quand même le pire de tous) pour se désabonner, en protestant contre la ligne de ces journaux, et en précisant qu’ils le font parce que désormais ils entendent dépenser l’argent de leur abonnement pour soutenir un site de réinformation, ont droit à un abonnement gratuit sur tous les contenus de LesObservateurs.ch pendant un an (y compris les contenus payants).
Là je prends les paris. Je suis sur que ça aurait de l’impact. Car il y a une telle colère contenue, accumulée depuis tant d’années, contre cette presse imbuvable, que les gens s’en donneraient à coeur joie.
Il faudrait voir la chose avec des juristes. A mon avis ce serait légal dans le cadre de la législation sur la concurrence. Il y aurait peut-être une plainte et même un procès, ce qui serait une magnifique publicité. Même si le procès était perdu, le résultat serait atteint.
A la guerre comme à la guerre !
Entendu l’appel 🙂
Alors là, on nage en plein festival du rire! Un abonnement dénoncé avant son échéance n’est jamais remboursable! Ce site ayant tellement de succès, pourquoi ne pas le rendre payant ? Un site d’information sérieux et bien fait aurait tout à gagner à procéder de la sorte.
Juste, concis, rien à jouter. Ça laisse sans voix que si peu de monde ose exprimer la vérité vraie.
Les Observateurs devraient mettre en ligne une lettre type de désabonnement, à l’intention des journaux de la grande presse.
Le désabonnement est la seule arme dont dispose un(e) citoyen(ne) pour faire réfléchir les désinformateurs professionnels des médias mainstream. Il s’agit donc désormais d’organiser une campagne de désabonnement massifs
Un texte possible serait celui-ci:
Journal XYZ
Service des abonnements
(prière de communiquer à la rédaction pour info)
Recommandée, accusé de réception
Mesdames, Messieurs,
J’en ai plus que soupé de votre organe de presse qui depuis des années et même des décennies s’acharne à promouvoir hypocritement les pires âneries post-soixante-huitardes gauchisantes antisuisses et pro-européennes. On est parfois attaché à un journal, par habitude, tradition familiale ou autre. Mais maintenant, trop c’est trop. On ne peut plus tolérer la dérive de votre rédaction. Le temps est venu de prendre une décision, même pénible.
Par la présente je résilie donc mon abonnement de manière anticipée et avec effet immédiat.
Veuillez verser le montant du à titre de remboursement en faveur du seul organe de presse valable en Suisse romande: c’est à dire Les Observateurs.
A toutes fins utiles, voici leurs coordonnées:
WindischMediaProd SA
IBAN: CH030024024015419302E
BIC/Swift: UBSWCHZH80A
Veuillez agréer, Mesdames, Messieurs, l’expression de ma parfaite considération.