C'est ce que réclame Raheel Raza, une musulmane de Toronto, présidente du Council for Muslims Facing Tomorrow, et une militante pour les droits des femmes au niveau international.
Pour Mme Raza, considérer le niqab comme une «obligation religieuse» fait une dérision de l'islam. On pourrait ajouter que considérer le port du niqab lors de la prestation du serment de citoyenneté comme un «droit fondamental», fait une dérision de la Charte des droits.
(Raheel Raza, Toronto Sun) - En tant que mère musulmane qui n’a jamais vu de niqab en grandissant à Karachi au Pakistan, je suis étonnée de voir la magistrature canadienne céder aux islamistes qui n’ont que mépris pour les valeurs d’égalité des sexes du Canada.
J’écris cela en tant que Canadienne musulmane n’ayant aucune sensibilité politique particulière.
Le Canada est ma patrie depuis 25 ans, et au cours de ces années, j’ai observé une augmentation régulière du nombre de femmes musulmanes qui suffoquent sous la tente noire pernicieuse présentée aux Blancs naïfs et rongés par la culpabilité, comme une pratique islamique essentielle.
Le niqab et la burqa n'ont rien à voir avec l'islam. Ce sont les étendards politiques des Frères musulmans, de Daech, des Talibans, d’Al-Qaida et de l'Arabie saoudite.
J’apprends maintenant que je dois non seulement lutter contre les adhérents médiévaux et théocratiques de ma religion pour avoir un espace sûr pour moi-même, mais que je dois aussi combattre la Cour fédérale du Canada qui a pris position en faveur de ces masques.
Un signe d'asservissement des femmes
«Le niqab est un signe d'asservissement des femmes.Son acceptation, sa banalisation, font le jeu des islamistes.»- Agnès Maltais, leader parlementaire adjointe de l'opposition officielle
Posted by Poste de veille on 17 septembre 2015
La décision concerne le cas de Zunera Ishaq, une femme de 29 ans ayant immigré au Canada en provenance du Pakistan en 2008.
Après avoir montré son visage à un fonctionnaire de l'immigration en 2013 lors de son examen de citoyenneté, elle a refusé de prendre part à la cérémonie de citoyenneté parce qu'elle aurait à montrer son visage en prononçant le serment.
Le gouvernement du Premier ministre Stephen Harper a, à juste titre, interdit le port de masques durant ces cérémonies, mais cela a été jugé illégal par la Cour fédérale.
Avec respect, permettez-moi de présenter à nos juges canadiens leurs collègues pakistanais des terres jihadistes de Peshawar.
En novembre 2004, le juge en chef de la Haute Cour de Peshawar, Tariq Khan Pervaiz, a ordonné aux avocates de ne pas porter le niqab dans les salles d'audience, au motif qu'elles ne pouvaient être identifiées, ni assister le tribunal adéquatement. Il a réprimandé les avocates portant le niqab, en leur disant : «Vous êtes des professionnelles».
Couvrir le visage n’est pas une obligation religieuse pour les femmes musulmanes. Le coran prescrit la modestie (pour les hommes et les femmes). Certaines musulmanes interprètent cela comme exigeant de porter un foulard ou un tchador.
Un spécialiste de l'histoire islamique, le professeur Mohammad Qadeer de l'Université Queen’s de Kingston, a écrit dans le Globe and Mail en mars 2006: «L'argument selon lequel la dissimulation du visage est une obligation religieuse est controversé et ne repose sur aucune preuve».
Il a ajouté : «Dans les sociétés occidentales, le niqab est aussi un symbole de méfiance envers les concitoyens et une déclaration d'auto-ségrégation. Celle qui porte le niqab envoie le message : 'Je suis violée si tu me regardes'. Le niqab constitue un obstacle au discours civique. Il mine également la confiance du public.»
Les libéraux fédéraux et le NPD traitent les musulmanes niqabées au Canada comme des Rosa Parks luttant pour la justice. C’est du clientélisme électoral, que mon ami Tarek Fatah qualifie de «bolchévisme de la charia».
Il n’y a qu’une seule solution : le prochain gouvernement doit passer une loi interdisant complètement le port de masques en public, non seulement pour exposer l'hypocrisie des islamistes mais aussi dans l’intérêt de notre sécurité.
Source : Ban niqab, burka in all public places, par Raheel Raza, Toronto Sun, 15 septembre 2015. Traduction Poste de veille
Voir aussi:
Warda Naali Lacoste, convertie à l'islam du niqab: «C'est humiliant de devoir soulever son niqab devant tout le monde». «Les gens me reconnaissent sur la rue.»Par ailleurs, elle admet qu'une épouse musulmane ne doit jamais refuser aucune faveur sexuelle à son mari. «Mais ce qu'on oublie de dire, c'est que l'homme aussi est obligé de dire OUI à sa femme.»Interview complète: http://quebec.radiox.com/article/une_quebecoise_au_niqab_traite_dom_de_mecreant
Posted by Poste de veille on 17 septembre 2015
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Il y a plus de musulmans dans la région de Toronto qu'en tout autre lieu de l'Amérique du Nord. Et le port du niqab s'y répand comme une traînée de poudre.La jeune fille niqabée qui témoigne fréquente une école de la MAC des Frères musulmans.
Posted by Poste de veille on mercredi 5 août 2015
Lire aussi :
Le voile intégral en prêtant le serment de citoyenneté canadienne, au Québec
La vaste majorité des Canadiens juge que le voile intégral est le produit d'une culture anti-femmes
Serment de citoyenneté : Une militante islamiste portant le niqab poursuit Ottawa
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«Enfermées à clef chez elles, à Montréal»
«Certaines femmes vivent enfermées à clef chez elles, à Montréal. Elles ne peuvent même pas répondre au téléphone. Certaines ont été battues pour le simple fait qu'elles regardent trop la télévision et qu'elles s'informent trop sur les droits de la femme.»- Fatima Houda-PépinDocumentaire sur la charia au Canada: https://www.onf.ca/film/charia_au_canada_1re_partie
Posted by Poste de veille on dimanche 8 mars 2015
Extrait de: Source et auteur
Le voile intégral vient d’une très ancienne coutume Une fois par année les femmes de la haute société musulmane se prostituaient pour honorer leur Dieu Pour ce faire, elles se cachaient sous un voile intégral afin que nul ne puisse les reconnaître De là est né la coutume du nickab; alors mesdames ne le portez pas on va vous assimiler à des prostituées