Etonnant article lu sur le site d'une section locale du PCF :
"En regardant les images diffusées en boucle sur le blocage de la gare de Budapest débordée par des "réfugiés" syriens ou d'ailleurs, personne n'a vérifié, une idée s'impose: ce ne sont pas des migrants, ce sont des combattants.
Hier, une action de protestation a été organisée par des migrants-manifestants à Budapest: ils voulaient aller en Allemagne et le scandaient. Après avoir résisté comme ils ont pu, les autorités ont laissé passer la masse vers l'Allemagne, qui n'a pas manifesté une joie particulière.
[...] Ici, vous voyez les meneurs agiter la foule, la diriger. Ce n'est pas un groupe de migrants épuisés par le trajet, qui enfin arrive sans force en Europe, après tant d'horreurs, après la faim, après la guerre. C'est un groupe de combattants. De manifestants. C'est un Maïdan européen, qui va détruire l'Europe, comme le Maïdan a détruit l'Ukraine. Maïdan dans le sens d'une technique extérieurement contrôlée de destabilisation d'une zone par manipulation des foules et création de conflits.
Alors que les médias traitent de manière uniforme ces informations sur "l'afflux de migrants qu'il faut absolument prendre en charge, on n'a pas le choix", sans analyse, sans interrogations, un article sort de la masse dans la presse russe.
L'écrivain Alexandre Prokhanov a publié une tribune fort intéressante dans le quotidien Izvestia. L'immigration est devenue une arme de déstabilisation massive, pour revenir à cette théorie développée aux Etats Unis du chaos contrôlable.
La question reste encore de savoir sur quoi cette arme doit tirer? Sur les frontières manifestement, dernier attribut de l'Etat. Sur la zone Schengen, car ces mouvements massifs de populations qui entrent en zone UE pour en ressortir et y revenir vers les pays qui les intéressent, sans avoir manifestement trop de difficultés à passer à travers des frontières fantômes, conduisent aussi à relativiser la réalité tangible des frontières européennes extérieures, au profit d'une zone floue de pays qui n'entreront pas à proprement parler dans une UE qui ne peut plus se le permettre, mais qui participent "au jeu européen".
C'est une sorte de chaos, chaos permettant un contrôle, pour un certain temps. Le temps de redistribuer les cartes d'un jeu qui est dans une impasse."
Extrait de: Source et auteur
La visite de l’ancienne membre de la STASI Angela Merkel à Berne n’avait pas d’autre but que de forcer la Suisse à prendre sa part de chaos.
Il faut s’attendre à un augmentation soudaine du nombre d’envahisseurs dans notre pays.