3 commentaires

  1. Posté par Le pragmatique le

    Ces niktamers apprentis jihadistes sont même pas foutus de graisser leur kalach. Et voilà la kalach qui s’enraie au divin moment de gueuler Allah Akbar … et les 72 vierges dans leur passe sous la truffe.

    Des bras cassés, des diafoirus de naissance.

  2. Posté par claude pagès le

    Qu’on nous laisse nous armer ! Quand on voit la difficulté d’obtenir un permis de détention d’arme de tir sportif et la facilité de se procurer une arme pour quelques centaines d’euros sur certains marchés de banlieue ou de proche province ! Qu’on donne un préjugé de légitime défense aux policiers … Ce n’est peut être pas pour demain mais espérons le pour après-demain.

  3. Posté par Vautrin le

    Au terrorisme il ne s’agit pas de répondre par de stupides manifestations bêlantes affirmant que l’on est Charlie : il faut répondre coup pour coup, et si possible dès la première manifestation de velléité criminelle. C’en est trop de l’apathie dans laquelle sont plongés les européens, et singulièrement les Français. L’histrion Anglade, qui se trouvait dans le Thalys, ne donne-t-il pas un exemple de réaction abjectement veule : «L’homme armé venait vers nous, il était déterminé. J’ai pensé que c’était la fin, que nous allions mourir, qu’il allait tous nous tuer. Oui, on s’est vu mourir car nous étions prisonniers de ce train, et qu’il était impossible de s’échapper de ce cauchemar. Nous étions piégés dans une souricière! C’est un sentiment terrifiant de se sentir autant impuissant.». Le mouton qui tend la gorge au couteau du boucher. C’est que l’éducation hédoniste, laxiste et, disons-le, altruiste conduit nécessairement à inhiber les réflexe de survie qui, chez chaque humain, déclenchent un comportement normal d’auto-défense. Pire : la prétendue « justice » punit un tel comportement. L’ennemi joue évidemment de cela, lui qui est pathologiquement agressif.
    Il convient de méditer ce que nous dit Anthony Sadler, l’un des hommes véritables qui ont terrassé le fanatique dans le train : “la leçon qu’on doit retenir c’est que dans un moment de crise comme ça, j’aimerais que les gens comprennent qu’il faut faire quelque chose. Se cacher ou rester assis là où on est ne va rien donner et l’attaquant aurait réussi si mon ami Spencer ne s’était pas levé et précipité sur lui”. “Lors d’un attentat terroriste comme celui-là, il faut faire quelque chose s’il vous plaît, ne restez pas là de manière passive” (voir ici). Saintes paroles ! Paroles d’autant plus crédibles qu’elles viennent d’un homme d’action qui a su faire face au danger.
    Ce n’est pas parce que les gens de gouvernement répugneraient à l’avouer que nous ne serions pas en guerre. Nous le sommes, et l’ennemi est installé dans nos murs tout comme il déverse ses hordes invasives sur nos côtes méridionales. C’est une guerre subversive, menée par des moyens de guérilla, alimentée par des puissances étrangères dont le fonds idéologique est le nazislamisme. Or une guerre subversive ne peut réussir que si, outre le soutien d’États malveillants, elle rencontre la passivité et la complicité du peuple agressé. Cette condition est manifestement remplie par les gens de gouvernement qui multiplient les déclarations creuses, mais ne font strictement rien de positif pour combattre le fléau. Pire, ils le nient et injectent des doses massives de « Padamalgam ». Elle l’est aussi au sein d’une fraction décadente du peuple, celle que, pour faire court, on peut appeler les « bobos » dont les médias nous montrent à l’envi qu’ils tiennent tous les leviers de la propagande lénifiante.
    N’attendons donc rien d’un État aux mains de tels gens : il se mêle de ce qui ne le regarde pas, mais oublie complètement d’accomplir ses rôles régaliens, donc celui d’assurer la sécurité intérieure. C’est à nous tous, citoyens, de proclamer l’état de guerre et de prendre les mesures en conséquence.

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