Selon l'Office fédéral de la statistique, les actes de violence sexuelle grave ont atteint leur plus haut niveau depuis 2009: elles ont augmenté de 11% (40 cas).
Les femmes lésées étrangères sont surreprésentées au niveau des infractions de violence domestique grave. Et cela surtout dans le couple: leur taux est ici cinq fois plus élevé que celui des femmes suisses. De manière générale, les femmes sont le plus exposées entre 25 et 29 ans. La violence domestique exercée par les parents est le plus souvent dirigée contre les filles mineures.
Source
@Cenator:
Oui mais la très grande majorité des femmes qui trouvent refuge dans les foyers ad hoc sont des femmes ayant un mari musulman. La courbe de la violence suit la courbe de la population musulmane (en 40 ans, à Lausanne par exemple, la population musulmane s’est multipliée par 50 !). Bien sûr, il y a également des hommes battus, des enfants battus, des chiens battus, mais ce n’est pas le sujet !
Une femme étrangère, ce peut aussi être l’épouse étrangère d’un homme suisse. Il arrive malheureusement aussi dans ce cas que l’homme batte sa femme.
Avec un peu de logique, que constate-t-on?
Que ces hommes sont violents et qu’ils ont sans aucun doute aussi utilisé la violence contre les autochtones en d’autres occasions. Naturellement, il ne faut pas compter sur le système pour avouer cela. Et surtout cela ne débouchera pas sur un article… il est vrai que seuls les autres peuvent être victimes des méchants Suisses, pas l’inverse. Jamais.