Un de nos lecteurs n’a pas apprécié l’éditorial du journal Le Temps intitulé : « Qui peut arrêter Sepp Blatter ? » (Le Temps 30 mai 2015). Cet article s’indignait que Sepp Blatter ait eu le culot de se laisser réélire, se faisait le porte-parole des pires accusations contre le président de la FIFA, lui reprochait de ne pas avoir « honte » et demandait même des poursuites pénales contre lui. Notre lecteur a écrit une lettre de lecteur pour protester. Le Temps a refusé de publier sa lettre.
Cet article haineux envers une personnalité suisse respectée et respectable est une véritable honte.
De quoi s'agit-il? Un de nos compatriotes a réussi à bâtir un empire dans le domaine du sport le plus populaire au monde: le football. Cet exploit bénéficie au pays entier, grâce aux retombées économiques et autres. Le prestige de la FIFA rejaillit sur la Suisse entière. Son succès contribue à attirer d'autres grandes fédérations sportives. Ceci représente des milliers de places de travail. Sepp Blatter mérite donc d'être félicité et honoré.
Là-dessus se greffe une sorte de mini révolution orange pilotée par les Etats-Unis, dans le but de salir la FIFA et exercer des chantages politiques sur certains pays, notamment la Russie, que l'on aimerait priver de la coupe du monde pour la punir de résister à l'arrogance yankee. Une campagne mondiale est orchestrée sur fond de ragots et de coups tordus, dans le but de dégommer un homme: Sepp Blatter, qui gêne certains.
Chaque Suisse qui aime son pays reconnaîtra les mêmes méthodes, exactement, qui ont déjà été employées contre la Suisse dans l'affaire des fonds en déshérence et dans les attaques contre les banques: utilisations de personnages douteux retournés par les services, chantage, diffamation, menaces, orchestration médiatique, intimidation, argument moraux d’une parfaite tartufferie.
Notre compatriote Blatter, perfidement attaqué, se défend bravement. Il gagne sa bataille. Une victoire éclatante à la face du monde, dont tout Suisse est fier. Au lieu de s'en réjouir et de congratuler le héros du jour, le journal Le Temps hurle avec les loups. Il prend le parti des ennemis de la Suisse. Il embouche les trompettes de la calomnie contre son propre pays.
C'est à vomir, une attitude aussi indigne.
Quand est-ce que l'on comprendra? quand est-ce que les médias comprendront? (le peuple l'a compris depuis longtemps) que notre pays est en guerre depuis environ trente ans contre un ennemi parfaitement de mauvaise foi (sic ambassadeur Jagmetti) qui veut à tout prix écraser tout ce qui fait la prospérité, la fierté et la force de la Suisse! En l’occurrence, la FIFA.
La lâcheté incroyable de nos autorités atteint des sommets et nous humilie tous collectivement. En effet, nos dirigeants ne font que se coucher depuis trente ans devant toutes les pressions et tous les chantages de l'étranger, en trahissant systématiquement les intérêts de la Suisse et du peuple suisse et en se mettant au service des intérêts de nos ennemis dont ils vont même au-devant des exigences.
L'attitude des médias est particulièrement imbuvable, déshonorante. Le journal Le Temps, de ce point de vue, a le pompon.
Car le véritable scandale dans cette affaire de la FIFA, ce ne sont pas les allégations de corruption, qui restent à prouver. C'est le fait que le FBI opère des arrestations sur le territoire suisse, en application non du droit suisse, mais du droit américain. C'est cela qui fait de la Suisse une république bananière.
C'est contre cela que Le Temps devrait s'indigner et faire campagne. Car cela c'est une humiliation pour toute la Suisse et c'est un scandale sans nom.
Mais non, Le Temps ne voit pas les choses comme cela. Il ne veut pas dire la vérité, c'est à dire que que nous avons dû boire la cigüe en voyant cette image honteuse: des agents du FBI perquisitionnant dans notre pays. Et que ça, c'est la conséquence de la lâcheté de nos dirigeants qui ont tout lâché sur tous les plans depuis trente ans que nous sommes en guerre. Ils ont même accepté l'application en Suisse de la loi américaine.
Nous avons déjà dû payer des milliards. Les banques ont été rançonnées, et ça n'est pas fini. On a perdu le secret bancaire, des dizaines de milliers de places de travail qui allaient avec, et ce n'est pas fini. La Suisse a été foulée au pied. Maintenant elle en est réduite au statut d'un pays occupé sur le territoire duquel une puissance étrangère impose sa loi.
Ca, Le Temps ne veut pas le dire, ne veut pas le voir. Car Le Temps est complice. Le Temps ne s'intéresse pas à l'honneur de la Suisse ainsi bafouée. Le Temps préfère cracher sur Sepp Blatter. Le Temps, par exemple, pense aussi que l'on ne doit pas respecter la volonté du peuple suisse qui a voté le 9 février 2014 et qui entend résister à la domination impériale de Bruxelles.
Voilà ce qu'est ce journal qui s'autoproclame prétentieusement "média de référence"!
Il ne s'agit pas de dire que Sepp Blatter est un saint. Il est certain qu'une organisation comme la FIFA qui brasse des milliards est vulnérable à certaines tentations de corruption. C'est inévitable. Tout simplement Sepp Blatter est un patron exceptionnel qui maîtrise ces problèmes avec brio. On verra si son successeur s'en sort aussi bien que lui. Il est permis d'en douter.
Si la Suisse traite ainsi ses plus grands créateurs de richesses, ses plus grands patrons, si elle leur crache au visage comme vous le faites avec Sepp Blatter et si nos médias prennent systématiquement le parti de l'ennemi dans les guerres qui sont menées contre la Suisse, alors, c'est sûr, on est foutus.
On nous a déjà pris le secret bancaire, on aura bientôt achevé de détruire la place financière, on essaie maintenant de déstabiliser la FIFA, et la presse applaudit. Pire, elle offre à nos ennemis des verges pour nous fouetter.
Si ça continue comme ça, que va-t-il nous restera-t-il? Rien, que les yeux pour pleurer.
Permettez-moi d'exprimer poliment mon profond dégoût pour la mentalité de sycophantes qui caractérise votre journal.
J.-V. de Muralt
(NDLR: Texte refusé par le journal Le Temps)
Post-scriptum : Depuis la date où cette protestation a été rédigée, nous avons assisté à la stupéfiante démission de Sepp Blatter. Ce coup de théâtre semble indiquer que l’on a suivi les conseils du rédacteur en chef du Temps. Du moins le département d’état américain les a suivis, car sans doute, pour arracher la démission du vieux lion (et vieux renard), a-t-il fallu que la menace soit brandie de le trainer en justice.
Voici donc la Suisse une fois de plus foulée aux pieds et humiliée.
Après la démission d’Elisabeth Kopp, l’affaire des fonds en déshérence, la capitulation des banques, la législation FATCA imposée, etc., Oncle Sam se comporte en Suisse comme en pays conquis. Nos autorités ayant pris le parti de se mettre à plat ventre, pas étonnant que notre pays soit traité comme un paillasson sur lequel on s’essuie les pieds.
Mais le plus affligeant c’est que, dans toute cette séquence historique de trente ans on a pu constater que, dans notre pays, le parti de l’étranger était au pouvoir, puisque nous seulement on n’a jamais résisté aux chantages mais on a fait du zèle dans la soumission. Ainsi le parti de l’étranger a systématiquement collaboré avec l’ennemi contre la Suisse, pour régler des vieux comptes. Et les médias dominants, on l’a vu à nouveau dans la manière scandaleuse dont cette affaire de la FIFA a été traitée, ont montré ce qu’ils étaient : des auxiliaires des puissances étrangères qui veulent soumettre la Suisse : des ennemis de l’intérieur.
Si ça continue comme ça, que nous restera-t-il? Rien, sauf les yeux pour pleurer.
Jean-Vital de Muralt, 3 juin 2015
Je ne comprends pas qu’il y ait encore des gens qui s’abonnent ou lisent les journaux mainstream que ce soit en version papier ou électronique. Je ne le fais plus depuis 20 ans. Ni ne regarde la TV, d’ailleurs…
Bravo M. de Muralt. Et pas étonnant que Le Temps ne publie pas un texte qui lui jette à la figure sa platitude et sa collaboration. Je me rappelle encore de ces affiches qui étalaient fièrement “Le Temps nous donnera raison” avec la une qui indiquait: “La Suisse adhère à l’Union Européenne”. Un pareil agent de l’étranger ne peut en aucun cas être objectif. On doit être le seul pays du monde à cracher sur l’un des siens qui arrive. En fait, chaque chose qui peut rendre le suisse fier de son pays est systématiquement sali. Rien donc de surprenant à ce que M. Blatter y passe aussi. Lorsque son remplaçant sera élu et qu’il déplacera le siège de la FIFA à Paris (par exemple) il nous restera les yeux pour pleurer et Le Temps et ses complices s’en réjouiront en arguant bien sûr que si on y était (UE), le siège resterait à Zurich ! Eh toc ! Et zut aux spécialistes de la politique et de la Grèce antique et aux donneurs de leçons..
Un peu primaires et grossiers ces commentaires. Le Temps rédige mieux ses bêtises. Tous ces intervenants oublient que la raison du plus fort est toujours la meilleure, y compris le malheureux Le Temps. Avant de faire de la politiques, messieurs, relisez vos classiques en commençant par les Grecs et les Latins. Peut-être deviendrez-vous plus fréquentables et rusés?
Bravo pour ce texte!
Vous avez bien résumé cette mascarade contre la FIFA et son président qui n’est qu’une stratégie yankee de plus pour affaiblir encore plus le continent dans le quelle nous vivons. La preuve? A peine 3 jour après le “scandale de corruption” les US via le FBI s’attaque déjà au mondial en Russie!
C’est malheureusement pas nouveau pour la classe politique Suisse d’adopter une “stratégie” de soumission sous la pression de grandes puissances. Et malheureusement la majorité de cette classe n’apprend pas de ses erreurs.
Je vous met ci-dessous une allocution du conseillé fédéral Ueli Maurer lors de la fête fédérale 2012 pour l’ASIN (Action pour une Suisse Indépendante et Neutre) que vous pouvez trouver sur le site internet du Lobby des Citoyens:
http://www.lldc.ch/wa_files/Beresina.pdf
Effectivement dans les années 1790 la France est forte et désire s’étendre, malgré l’envie de résistance du peuple Suisse les autorités ne cessent de se plier aux exigences de la France jusqu’au jour ou Napoléon parvient quasiment sans résistance à s’emparer de la Suisse.
C’est très intéressant de voir à quel point cette période ressemble à celle que nous vivons actuellement. Apprendre de ses erreurs est pourtant primordial pour pouvoir évoluer.
Merci ‘Normandy’ et ‘c dans l’air’.
Je suis d’accord avec vous et notamment sur l’expression “cinquième colonne”. Les médias, à part bien sur celui de M. Windisch, et la Weltwoche, sont en effet une véritable cinquième colonne.
Le grand public, très naïf, serait très étonné si étaient mis en lumière les réseaux de cooptation permettant de faire carrière dans les médias. On pourrait alors constater la proximité de ces réseaux avec le pouvoir de l’OTAN et de l’Union Européenne, qui veulent à tout prix dominer la Suisse et qui sont en passe d’y parvenir parce que nos dirigeants font tout pour cela. Il y a une stratégie concertée de contrôle, dont l’objectif est la mise au pas de notre pays.
Il y aurait tant à dire… Seuls les quelques carriéristes qui sont dans les hautes sphères de la SSR et des deux grands groupes de presse privés du pays, sont au courant. Le reste des journalistes subit, suit le mouvement, en faisant semblant de ne pas voir, et en se soumettant par peur de perdre leur job.
C’est bien pourquoi, d’ailleurs, il faut absolument voter NON à la redevance de la SSR.
L’affaire FIFA, on n’a pas fini d’en entendre parler. Il est clair désormais que c’est toute la puissance US qui est à la manoeuvre contre la Suisse et veut une nouvelle fois nous écraser. Il s’agit d’une guerre de trente ans, qui a commencé à la fin des années 1980. L’opération FIFA s’inscrit dans un plan concerté et poursuit deux objectifs:
1. Finir le travail de destruction totale de la place financière suisse pour que l’herbe n’y repousse plus jamais. Par herbe, je veux dire la confiance des déposants internationaux en la Suisse, ses banques, la fiabilité de son système légal, la protection de la sphère privée, etc. L’arrestation de ces gens au Baur au Lac, par des agents du FBI en uniformes voyants, est une opération mondiale d’intimidation, effrayante et très efficace de ce point de vue. Et vous aurez constaté que les journalistes de la cinquième colonne étaient informés avant la police de Zurich… Curieux non?
2. Obliger la FIFA à annuler l’attribution du mondial de football à la Russie. Bien entendu c’est ouvrir une boîte de Pandore, parce que cela ouvrira la voie à des demandes de dédommagement et à des procès sans fin. Mais tout ça sera bon pour saigner la Suisse et faire avancer l’agenda No 1 susmentionné.
On parle de Platini pour succéder à Blatter, mais c’est lui qui a le plus insisté pour qu’on choisisse le Quatar pour la coupe du monde. A-t-il le nez propre ce donneur de leçons de Platini ? Sans doute autant que son ancien président, l’avocat d’affaires Nicolas Sarkozy, bien connu sur la place de Genève… On parle aussi d’un membre de la famille royale du Koweit. Pourquoi pas? Mais franchement, est-ce qu’on gagnerait au change par rapport au bon colonel valaisan Blatter ? que tous les médias de notre pays ont honteusement traîné dans la boue. Pour ma part je pense plutôt qu’avec un président de la FIFA comme Platini ou un prince arabe, c’est là que les problèmes de corruption exploseraient. Tandis qu’avec un habile homme comme Blatter tout est raisonnablement sous contrôle. Qu’est-ce qui vaut mieux?
J’espère que les gens comprendront bien que ces campagnes contre Blatter, venant des grands médias internationaux à la solde du pouvoir mondialiste, ce n’est rien d’autre que le vieux principe: “Si tu veux noyer ton chien, dis qu’il a la rage”.
J’ai lu une suggestion de Philippe Barraud : nommer le conseiller d’état vaudois Philippe Leuba, qui a une vraie expérience d’arbitre international de football. L’idée n’est pas bête du tout. (Juste dommage que M. Barraud la fasse en distillant au passage des sous entendus sur la moralité de Blatter). Avec cette solution, le grand avantage serait qu’il s’agisse d’un Suisse. On va peut-être enfin finir par prendre conscience des avantages, servitudes et grandeurs de la neutralité. Si la FIFA est en Suisse c’est bien à cause de la neutralité, précisément parce seul un pays neutre peut abriter une telle institution. Si l’état hôte était un grand pays non neutre, forcément toutes les décisions seraient dictées par la politique de puissance de ce pays. Mais évidemment, dès le moment où la Suisse n’a plus d’armée et n’est plus neutre, puisqu’elle accepte l’application d’un droit étranger sur son sol, se couche devant l’Union Européenne, l’OTAN, reconnait le Kosovo etc., on voit tout de suite les conséquences. C’est le désastre. On perd tout!
Ce serait bien que l’affaire FIFA Blatter, qui pourrait encore s’aggraver à cause de la volonté impérialiste américaine, soit l’occasion d’une prise de conscience profonde en Suisse, non seulement dans la population mais aussi dans les élites dirigeantes, de la nécessité absolue de stopper d’urgence tout processus de rapprochement avec Bruxelles (au sens Union Européenne mais aussi OTAN), rejeter par principe tout “accord institutionnel” avec Bruxelles (qui nous asservirait définitivement), et revenir à la neutralité intégrale et armée. C’est la condition sine qua non pour un pays qui a la Croix Rouge et des institutions comme la FIFA.
Au lieu de faire une “loi FIFA” qui ne servira qu’à mettre encore un peu plus en danger la place financière (c’est bien le but de l’intimidation exercée sur nos parlementaires), on devrait prendre un arrêté urgent disant que si la FIFA veut rester en Suisse son président doit impérativement être un Suisse. Après tout pour être président du CICR il faut bien être suisse. Et on devrait accorder audit président une immunité, comme en a sans doute, écrite ou non écrite, le président du CICR, de manière que les grandes puissances ne puissent pas hypocritement faire chanter la Suisse en menaçant d’embastiller le président de ladite institution. Bien sur je dis cela cum grano salis, mais on devrait tout de même se poser ce genre de questions. Il y a une grande différence entre la FIFA et le CICR mais il y a un point commun. Ces deux organisations ont besoin pour développer leurs activités sereinement d’être protégées par un état à la fois neutre et respecté.
Il est temps qu’on cesse de se laisser marcher sur les pieds. Si nous ne voulons pas que notre pays soit dépouillé, nous avons besoin de gens malins et à poigne comme des Sepp Blatter et des Christophe Blocher, pas de lavettes qui rampent devant les pressions étrangères comme ceux que nous avons au Conseil fédéral.
J’en appelle à l’opinion publique pour que chacun bombarde les rédactions de tous les journaux de Suisse de protestations comme la mienne -tant pis si elles sont refusées- et finissent par obliger ces journalistes de la cinquième colonne à cesser de trahir leur pays ou alors manger leur papier journal.
Les medias de notre pays sont depuis longtemps des lâches. Sepp Blatter est un grand homme pour ce qu’il a fait pour le sport et pour la Suisse. Il a été élu démocratiquement par les membres de la FIFA, mais cela ne plaît pas à ces journalistes gauchos. Car dès que ces journaux de chi…entendent parler de démocratie, et quel que soit le sujet, ils vomissent dessus. Honte à EWS, honte à Mme Sommaruga. Femmes au pouvoir, Femmes à rien voir. Ce n’est pas le sport qui intéresse ces Yankees ! Ils s’en tapent du foot ! C’est le fric, et tant qu’ils peuvent sucer sans que personne ne bronche, ils continueront de se délecter jusqu’à la moelle. Après la maitrise de la puissance du feu, la maitrise financière est la prochaine étape. Il faut vraiment être cou…pour ne pas voir
Voilà le commentaire que j’aurais aimé écrire! Bravo et merci, M. de Muralt. Et honte aux irresponsables, lâches, traitres et incapables, la Widmer-Schlumpf en tête mais ses complices aussi, qui nous tiennent lieu d’autorités. Honte sur les prétendus “indignés” orientés et réels singes hurleurs que sont les médias suisses, ennemis intérieurs systématiques et véritable cinquième colonne des USA et de leur toutou l’UE.
“Car le véritable scandale dans cette affaire de la FIFA, ce ne sont pas les allégations de corruption, qui restent à prouver. C’est le fait que le FBI opère des arrestations sur le territoire suisse, en application non du droit suisse, mais du droit américain. C’est cela qui fait de la Suisse une république bananière.” C’est parmi les autres, tous excellents, le passage qui résume le mieux l’insupportable réalité que les pouvoirs politiques et médiatiques suisses, valets du néo-impérialisme américain, imposent à notre pays. A quand une “révolution de l’édelweiss” pour chasser l’envahisseur yankee et fusiller ses collabos. Trop c’est trop, comme aurait pu dire l’opportuniste et manipulateur Platini.