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Je suis intimement persuadé que cette affaire du réchauffement climatique est montée de toutes pièces, avec la complicité des dirigeants politiques et d’une bonne part des scientifiques du monde entier, mais pour une raison qui m’échappe encore. Le simple bon sens suffit pour comprendre que l’action des facteurs naturels cohabite avec celle des effets humains, indéniables. Toute la question est en fait de connaître les parts respectives de ces deux acteurs. J’ai posé cette simple question du chiffrage en % des responsabilités à tous les grands scientifiques du GIEC dont j’ai pu avoir les coordonnées. AUCUN n’a répondu !
Or c’est la première chose à savoir… Si la responsabilité de la nature est de 90 ou 99 %, inutile de pénaliser inutilement nos économies avec des mesures contraignantes vis à vis des émissions de CO2. Si c’est l’inverse, alors il y a urgence. Mais ce qu’on nous demande c’est en fait d’accepter ce réchauffement climatique (désormais rebaptisé “changement”, comme si le fait de varier n’était pas justement le propre du climat !!!) sans nous fournir de preuve irréfutable de la responsabilité humaine. J’ajouterai que la planète a connu des dérèglements climatiques bien plus importants, à des époques où l’homme n’était pas encore arrivé…
Pierre Kohler, ancien journaliste scientifique, auteur de plusieurs articles et livres sur le sujet.
Nos fausses “élites”, mais vrais malades mentaux ont décidés que NOUS, les citoyens vache-à-lait de cette planète étions responsables de ce qu’ils appellent “réchauffement climatique” (Global Warming) qu’ils ont ensuite dû appeler, après avoir constaté des hivers rigoureux, “Changement Climatique” (Climat Change) (ça laisse une plus grande marge de manœuvre et fourchette pour entuber les citoyens, comme ça, que la température monte ou descende, on taxe, taxe, taxe)… Mais, qu’il y ait dérèglement climatique ou pas, au niveau des responsabilités, lisez un peu ça !!!
Un programme d’essai nucléaire en haute atmosphère dans l’Atlantique-Sud.
Le projet Argus sera l’un des 235 essais atmosphériques d’armements nucléaires, qui sera mené par la “AEC”, “Atomic Energy Commission”, la “Commission à l’énergie atomique” des Etats-Unis, dans l’océan Pacifique et l’Atlantique en partenariat avec le Departement de la Défense, entre 1945 et 1970 (1). Mais à la différence qu’il sera étrangement le seul à être classé “Top Secret”, chose qui n’arrivera qu’une seule fois, durant les 17 années d’essais nucléaires dans l’atmosphère.
La planification scientifique de l’opération sera approuvée par le président en 1958, suite à une série de réunions en février, mars et avril, concernant la “théorie de Christophilos” (cette dernière interessait beaucoup la communauté scientifique). Et la planification militaire avait été établie par le secrétaire-adjoint à la défense et le “JCS”, “Joint Chief of Staff”, l’Etat-major interarmes (mémorandum du 25 avril 1958).
Argus pouvait être considéré comme un prolongement du projet “Hardtack I”, qui avait déjà réalisé des essais en haute altitude en août 1958 avec les opérations “Yucca” sur l’atoll de Bikini dans le Pacifique; “Teak” et “Orange” (aux Iles Johnston dans le Pacifique-Nord).
Officièllement, Argus était réalisée pour vérifier une théorie développée par le physicien Nicholas Christofilos au “Lawrence Radiation Laboratory” (LRL) de l’université de Californie. Il avait estimé que les essais nucléaires auraient des effets significatifs, en produisant une injection de particules chargées provenant des explosions nucléaires dans l’espace, à proximité de la planète, en créant artificiellement des couches de radiations, que l’on appelle communément les “ceintures de Van Allen”. Cette opération cherchait à prouver (ou à réfuter) cette théorie en tentant la création artificielle d’une telle ceinture. Sous couvert de l’année géophysique internationale de 1958, l’opération Argus sera appelée par les médias par la suite, “la plus grande expérience scientifique mondiale”.
Mais la raison réelle, nous est dévoilée dès les premières pages du rapport technique de la “Defense Nuclear Agency”, qui ne sera publié que le 30 avril 1982 (l’opération avait été dévoilée publiquement par l’administration Eisenhower suite à un article du New York times du 19 mars 1959, mais il n’y avait eu aucun rapport de synthèse publié à l’époque pour le projet Argus).
Il y est indiqué comme objectifs (page 1, paragraphe “Fact Sheet”): “…the radiation belt would have military applications, including degradation of radio and radar transmissions, damage or destruction of the arming and fuzins mechanism… …and endangering the crews of orbiting space vehicles that might enter in the belt…”. “la ceinture de radiation aurait des applications militaires incluant la dégradation des transmissions radios et radars, dommages ou destructions de mécanismes d’armement et de mises à feu…” “…et de mettre en danger les équipages de véhicules spatiaux en orbite qui pourraient entrer dans la ceinture…”. (2)
A l’origine, le projet s’était vu attribuer le nom de “Hardtack-Argus” et ensuite celui de “Floral”, avant de prendre le nom définitif de “Projet Argus”. Ces changements seront entrepris “à des fins de couverture et de sécurité”. Et il y aura une sévère séparation des différentes parties de l’opération, par d’autres noms de code.
Les différents organismes militaires et civiles collaborant pour le projet Argus étaient:
– Adanced Reaserch Project Agency (“ARPA”), “Agence pour les projets de recherches avancées”. L’agence était responsable de l’intégralité de l’opération et dirigeait toutes les autres agences gouvernementales liées au projet;
– Armed Forces Special Weapons Project (“AFSWP”), “Projets spéciaux d’armes des forces armées”. Conduira les tests et assurera la coordination avec l’ARPA et les autres organismes participants;
– Army Ballistic Missile Agency (“ABMA”), “Agence des missiles balistiques de l’armée”. Elle fournira les missiles qui serviront de lanceurs et toute l’instrumentation des satellites (sera dénommé “Projet 7.1”);
– Air Force Special Weapons Center (“AFSWC”), “Centre d’armes spéciales de l’Air Force”. Il fournira l’instrumentalisation pour de possibles “fusées-sondes”, pour obtenir des données scientifiques sur le résultat des essais (sera dénommé “Projet 7.2”);
– Air Force Cambridge Reaserch Center (“AFCRC”), “Centre de recherche de l’Air Force de Cambridge”. Il fournira toute l’instrumentalisation pour les installations sur les navires et au sol en Californie (sera dénommé “Projet 7.3”).
– U.S. Navy, La marine Américaine fournira le navire qui servira de plate-forme de lancement, des navires d’escorte et les ogives nucléaires pour les missiles ainsi que des navires de soutien logistique (sera dénommé “Projet 7.4”);
– Los Alamos Scientific Laboratory and Sandia Coporation, “Laboratoire scientifique de Los Alamos et la société Sandia”. Ils s’occuperont de la fabrication des ogives nucléaires et de l’élaboration du système de mise à feu.
il est temps que d’autres prennent conscience de ce qui était déjà dénoncé sur Internet dès 2004.Les doutes ont fleurit pour de nombreux internautes en lisant des articles sur stérilisations forcées de nombreuses femmes Chiliennes et ceci par le Giec Américain
Au sujet du climat la lecture du livre: L’imposture climatique ou la fausse écologie de Claude Allègre vous dira tout sur les mensonges.
Quel orgueil que de croire que nous serions responsable d’un réchauffement dont on sait qu’il est cyclique par périodes d’environ 11000 ans, et que nous puissions faire quelque chose pour l’empêcher ! Nous ne pouvons ni modifier la précession de la Terre ni les cycles solaires ! Les données pondues par les ordinateurs sont des simulations (voir la célèbre crosse de hockey de Mann) qui ne correspondent absolument pas avec les observations in situ. On sait aussi, depuis le climate-leak, que certains grouillots associés au GIEC (machin onusien) s’efforcent de cacher la décroissance de température depuis 1990 (“hide the decline”). On sait aussi qu’il y a des scientifiques associés au GIEC qui ne sont pas d’accord avec les relevés de conclusions de cet organisme. On sait que le climato-scepticisme se développe parmi les climatologues, notamment anglo-saxons. Il n’y a peut-être pas de “complot”, mais sûrement une immense arnaque liée au chantage climatique du GIEC, tranquillement repris par les politiques à crânes de piafs et les médias (surtout Français). Car la prétendue précaution climatique a engendré un commerce et une industrie juteux, bien qu’inutiles. Ibi jacet lepus : là gît le lièvre.
Connaissez-vous ce site :
http://www.pensee-unique.fr/
Son auteur fut un proche collaborateur de Pierre-Gilles de Gennes. Il sait de quoi il parle.
Et puis… Notre espèce a bénéficié du réchauffement climatique, ce qui lui a permis de se développer; et l’optimum médiéval (bien plus chaud qu’aujourd’hui !) a fait reculer les famines en augmentant les rendements et en faisant progresser vers le Nord les terres cultivables. Alors, même qui quelques plages sont un petit peu submergés, on peut parier que le bénéfice du réchauffement serait supérieur aux inconvénients. Nous avons connu une sale petite période froide du XVIIe à la fin du XIXe : ce souvenir n’est pas bon dans la mémoire des hommes !
Lutte contre l’immigration massive et les naufrages en mer, dénonciation de la fable du réchauffement climatique, … décidément les Australiens semblent les moins débiles de l’Occident décadent. Les variations du climat sont la résultante de la variation des cycles solaires et ce n’est pas le scandale des e-mails du GIEC qui infirmera cela. D’ailleurs, dans les années 70 on nous annoncait le retour d’un âge glaciaire, et le Groenland porte son nom car les vikings y cultivaient des légumes vers l’an 1000 ! Effectivement, les globalistes babéliens se servent de l’écologie pour tout contrôler, ce sont des fascistes verts. Nous en sommes déjà les victimes progressivement en Suisse
Il ne faut pas voir des complots partout, le réchauffement climatiques est malheureusement une triste réalité et la planète doit prendre des mesures pour tenter de l’enrayer, rien à voir avec une nouvel ordre mondial !