Les socialistes le tiennent désormais pour un traître. Manuel Valls l’a rangé parmi ses cibles de choix aux côtés de Michel Houellebecq et d’Éric Zemmour au motif qu’il serait un déclinologue. Pis, un néoréac. Hollande n’en dit jamais mot, laissant à son ancien ministre de l’Intérieur le soin d’exécuter la sale besogne. Reste que Michel Onfray est depuis quelques mois l’un des pires cauchemars du chef de l’État. Le philosophe se défend pourtant de faire de la politique. Il confesse même qu’il ne vote plus. « Je ne vote plus pour des guignols. » Il n’en est que plus redoutable dans ses critiques quand il fustige, dans le Point, « cette mafia qui se réclame de la gauche » et admet qu’il « préfère une analyse juste d’Alain de Benoist à une analyse injuste de Minc, Attali ou BHL ». Pour les caciques du PS, ce n’est rien de moins qu’un crime.
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Manuelito ne le sais pas encore mais Onfrey est un futur Jean Moulin.
Attendons le procès de Nuremberg, la raclée c’est pour bientôt, plus personne ne croit en ces idiots qui nous abreuvent de mensonges.
Miam! Quand bobos gauchisants et “gauchisards” se bouffent le nez, c’est du caviar pour les hommes libres! Qu’ils continuent à se ridiculiser entre eux, et surtout que Valls soit à jamais discrédité. Ce petit caudillo est dangereux, colérique et nuisible, il ne doit jamais arriver au pouvoir. Il en a déjà bien trop.