Rebelote, les amis du chanvre ont à nouveau frappé. Cette fois-ci il s’agit de dépénaliser la consommation privée et de permettre la culture de chanvre chez soi avec l’objectif d’évacuer le cannabis de l’espace public (et plus de l’évacuer tout court).
En clair, chacun peut cultiver et consommer chez soi seul ou entre amis… Cette belle proposition irresponsable risque bien d’être soutenue par l’Office fédéral de la santé publique. Elle est déjà promue par M. Guéniat, chef de la police judiciaire du canton de Neuchâtel. On croit rêver. Et comme la troupe est toujours à l’image du chef, imaginons la motivation de ses subordonnés dans la lutte contre les drogues …
On parle souvent de pompier pyromane, aujourd’hui c’est la police qui pousse au délit.
Et cette politique d’extension de l’accès aux drogues prend toujours prétexte de la difficulté à empêcher la consommation. Dès lors, certains préfèrent baisser les bras et faire de l’illégal du légal plutôt que de combattre sans relâche et avec conviction un produit hypothéquant nombre de cursus scolaires de jeunes.
Etendre la consommation sous couvert de prévention, c’est finalement ce qu’on nous propose mais en nous promettant un contrôle… qui fera long feu. Un fois jugé aussi inefficace qu’actuellement, il sera aisé de passer à l’étape suivante et de libéraliser totalement la consommation de cannabis accompagnée de la production puis du commerce. Une situation hors de contrôle, étape par étape, c’est le résultat promis par cette politique laxiste.
Guéniat et ses coreligionnaires continuent à nous enfumer. Gageons que le Peuple suisse gardera la tête hors du brouillard et refusera cette capitulation face à l’un des pires fléaux de notre jeunesse.
Yannick Buttet, 11 mars 2015
Je suis pas pour une légalisation totale, car il faut protéger les plus jeunes, mais honnêtement, ayant utiliser les 2, je peux vous garantir que le thc est beaucoup moins dangereux que l’alcool ! Le mélange des 2 est catastrophique, mais pris séparément le joint est, et c’est prouvé, nettement moins nocif, les fumeurs sont moins violents (demandez à une femme d’alcolo ce qu’elle pense des effet de l’alcool), au volant celui qui a bu aura l’impression d’être a 60km/h quand il roulera a 100, et pour le fumeur c’est le contraire (en aucun des 2 cas je ne cautionne l’utilisation d’un véhicule) ! Je pense qu’un adulte qui paye ses impôts a autant le droit de fumer son petit joint le soir après une journée de boulot que celui qui se boit ses 3 bières ! La liberté c’est aussi ça !
Les méfaits de la drogue, qu’elle soit légale ou illégale sont manifestes. Le copilote qui a entraîné avec lui 150 personnes dans la mort, était soigné par des antidépresseurs. On voit le résultat…
Bien ou mal, c’est inapplicable parce que tôt ou tard le cannabis se retrouvera dans la rue. Il existe des solutions qui fonctionnent en Europe et en Amérique mais cela suppose que le citoyen soit instruit et qu’il assume de nouvelles responsabilités. A savoir, protéger les jeunes, ne pas mélanger le cannabis avec d’autres drogues, l’alcool en particulier. L’alcool étant déjà un fléau dans le pays, beaucoup plus dangereux que le cannabis, mais étant en vente libre, ça risque de coincer avec en plus le cannabis. Cela m’étonnerait que l’OFSP accepte cette proposition parce que le cannabis existe déjà dans les pharmacies et rapporte déjà une fortune à l’industrie pharmaceutique. En plus, l’OFSP se bat contre le tabagisme et il faudrait éduquer le peuple sur la manière de consommer ce produit. Le dernier problème est la culture du cannabis. Cette plante croît comme une mauvaise herbe mais “mal” cultivée et avec des produits chimiques, elle peut devenir très toxique. Est-ce qu’on fabrique de l’alcool à la maison ? Non. Donc la dépénalisation du cannabis n’est pas pour aujourd’hui. Je pense que lorsque les gens consommeront de l’alcool de manière responsable, il sera possible d’envisager la légalisation du cannabis. On vend du cannabis au Colorado et dans d’autres états des USA, en Europe aussi. Pourquoi pas en Suisse ? La vente du cannabis qui remplit les caisses de l’AVS, de l’AI et de l’aide sociale, ce serait super.
“Posté par Libre le 14 mars 2015 à 20h00 La drogue est une cochonnerie d’accord mais je constate que les moyens utilisés depuis le début de la guerre à la drogue lancé il y a 40 ans ne fonctionnent pas.”
Attention, si les moyens utilisés n’ont pas fonctionnés à 100% (dans ce type de lutte c’est très rarement un succès total ou un échec total) cela ne veut pas dire qu’il faut nécessairement tout chambouler.
Soyons prudents et améliorons tout ce que l’on peut (il va de soi que faciliter l’accès au cannabis et autres saletés, ne va faire que du mal, … beaucoup de mal).
La drogue est une cochonerie d’accord mais je constate que les moyens utillisés depuis le début de la guerre à la drogue lancé il y a 40 ans ne fonctionnent pas.En effet la consommation de drogue cotinue d’augmenter chaque année depuis( voir le rapport de 2014 de l’ONU sur cette question).Donc que fait -on? Etat policier (c’est peut -etre une solution), légalisation? Solution intermédiare? Franchement je ne sais plus quoi en penser…
On connaît un petit fils qui est rentré de son armée déçu de ne pas pouvoir devenir sous-officier.
Il avait loupé son gymnase à cause de la fumette…..!!!
On a un temps interdit l’absinthe, on savait pourquoi. La fumette fait davantage de dégâts !!! Alors
à bannir absolument..
Saleté de cannabis, … pauvres jeunes dont le cerveau se forme (jusqu’à 25 ans environ) et qui vont consommer cette saleté, de toute façon nocive pour tous mais dramatiquement nocive pour certains (par exemple pour les psychotiques en puissance qui seraient passés à côté de troubles conséquents toute leur vie sans cette saleté).
L’occasion fait le larron !
Bravo aux autorités irresponsables qui vont démultiplier le nombre des occasions.
Cette politique éducative “à la Vincent Peillon” favorise la culture des indignés et de la paresse, c’est-à-dire la culture du ghetto des banlieues enfumées de médiocrité et d’idéologie de gauche, pour la généralisation des assistés toujours plus aux dépends des familles et de la population honnête qui travaille dur sans jamais rechigner à la tâche.
Cette politique de compromis ne mène nulle part. Il faut soit une interdiction complète, soit la vente dans le commerce avec une taxe qui permette de faire une prévention digne de ce nom et qui puisse prendre les coûts de la santé associée à la consommation en cachette.
Fumette, éducation sexuelle aux enfants, théorie du genre, avortement de masse, mariage homo, culte de l’individu, du fric et de la superficialité, destruction de la culture, l’histoire et l’identité… Et après on s’étonne que les étrangers ne veulent pas de notre “modèle”…