France : l’islamisation des consciences s’accélère

Nos lecteurs nous écrivent :

Les manifestations du 11 janvier après l’attentat de Charlie Hebdo ont été les plus massives depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Cette mobilisation pourrait laisser croire que les Français sont prêts mordicus à défendre la liberté d’expression contre l’intolérance et la violence. C’est tout le contraire!

Suite à la trahison de nos élites islamophiles et à la passivité de nos concitoyens, la liberté d’expression telle que les manifestants du 11 janvier se la représentaient, c'est-à-dire sans tabou, n’existe plus en France depuis bien longtemps. L’islamisation des consciences l’a considérablement restreinte. Cette situation révoltante est due à trois phénomènes observables depuis plusieurs décennies et qui se sont mutuellement renforcés: l’immigration musulmane de masse, l’hégémonie idéologique du relativisme culturel, et l’imposition de lois de censure étouffant tout débat visant à nommer les deux premiers phénomènes pour ce qu’ils sont : des calamités nationales.

L’immigration musulmane à grande échelle a été, à l’origine, organisée par la droite pour servir les intérêts du patronat. Son but était de mettre les travailleurs français en concurrence directe avec des miséreux issus du tiers-monde, afin de maintenir une pression sur les salaires pour augmenter les profits des entreprises.

L’idéologie du relativisme culturel et son corollaire, le multiculturalisme, ont été utilisés par la gauche comme vecteurs de déconstruction de l’identité culturelle française traditionnelle. Une identité honnie qu’il s’agissait d’anéantir comme toutes les superstructures de l’Etat bourgeois oppressif dénoncé par Marx et les théoriciens du socialisme. Au nom du multiculturalisme, l’exigence séculaire de respect des valeurs démocratiques et laïques françaises a été progressivement abandonnée. La multitude d’immigrés issus du monde musulman a été encouragée à faire prospérer chez nous son mode de vie islamique, opposé pourtant à nos valeurs essentielles. Quant aux Français de souche, on ne leur a pas demandé leur avis sur le changement de peuple et de civilisation. Mais on a exigé d’eux qu’ils s’adaptent à la culture des nouveaux venus.

Islamo-lucides condamnés par les lois de censure

Parallèlement, des lois de censure scélérates, à commencer par la fameuse loi Pleven de 1972 votée à l’unisson par la droite et la gauche, ont, en introduisant la notion d’incitation à la haine, dégradé considérablement la loi sur la liberté de la presse et la liberté d’expression de 1881, comme l’a très bien documenté Philippe Nemo dans son livre « La régression intellectuelle de la France ». Pour la première fois depuis presqu’un siècle, le législateur a violé le principe fondamental de tout Etat démocratique moderne selon lequel ne doivent être punis par la loi que les appels explicites à la violence qui portent ou peuvent porter préjudice à autrui, et non l’expression de sentiments ou d’opinions ne visant aucunement à être traduits en actes violents. Cette judiciarisation abusive de la pensée critique a très fortement limité le droit des Français à exprimer leur opposition face à l’immigration incontrôlée et à l’essor concomitant de l’islam sur leur territoire. Depuis plus de quarante ans, la justice pourchasse inlassablement les authentiques patriotes et démocrates qui se dressent contre l’islam.

Ces trois fléaux ont été infligés à la société par la mince couche politique, médiatique, intellectuelle et économique qui dirige le pays depuis les années 1970. Ils ont produit ce qu’ils devaient immanquablement engendrer : l’islamisation rampante de la France, laquelle est aujourd’hui malheureusement très avancée. L’islam structure déjà de nombreux domaines de notre vie, du fait de la collaboration de nos élites, très majoritairement sous le charme d’une illusion d’un islam à visage humain. Une vision totalement détachée de la réalité liberticide et inhumaine de cette religion, mais cependant rigoureusement non discutable. Sous leur impulsion, notre société s’est conformée aux exigences de Mahomet. Les dogmes, boniments, interdits et superstitions des musulmans sont devenus implicitement les nôtres.

La classe politique courtise les musulmans

Immédiatement après la tuerie de Charlie Hebdo, les leaders du PS, des Verts, de l’UMP, de l’UDI et du Modem ont répété sans relâche que la violence des attentats contre l’hebdomadaire satirique n’avait rien à voir avec l’islam, celui-ci étant une religion de paix et d’amour. Ce message était précisément celui que voulaient faire passer les dignitaires musulmans auprès de la population française, afin de détourner l’attention de la violence intrinsèque à l’islam. Nos élites politiques l’ont relayé servilement, en dépit des motivations des assassinats pourtant criées sur le lieu du crime par les terroristes eux-mêmes, à savoir venger, par le sang et au nom d’Allah, l’affront que représentait pour eux les caricatures de leur prophète. En dépit aussi des incessantes brutalités des islamistes envers les non-musulmans et les musulmans dans de très nombreux pays, violences répertoriées méthodiquement sur le site « The religion of peace» (http://www.thereligionofpeace.com). En dépit encore des nombreux écrits haineux et violents du Coran à l’égard de ceux que Mahomet désignait comme mécréants, apostats, hérétiques, et autres catégories d’individus ne partageant pas sa vision du monde.

Comme l’a très clairement montré Joachim Véliocas dans son livre Ces maires qui courtisent l’islamisme, beaucoup d’élus des partis politiques traditionnels français ne cessent, depuis le début des années 2000, de contourner la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l’Etat. Ils facilitent et même financent la construction de mosquées. Une mosquée par semaine est construite dans la France de 2015. Le poids démographique à présent considérable de la communauté musulmane a grandement influencé les partis classiques qui lui déroulent le tapis rouge afin d’obtenir ses précieux votes. Le désir de notre classe politique d’aller au-devant des revendications islamiques par calcul électoraliste de court terme ne s’arrête pas là : menus halals dans les écoles, horaires réservés aux femmes dans les piscines, célébration des fêtes religieuses musulmanes à la mairie de Paris, complaisance vis-à-vis de la polygamie, des mariages forcés et des mutilations génitales féminines, sont là pour signaler que la France officielle exauce les voeux de sa communauté musulmane en plein essor.

L’économie s’adapte

Dans son numéro du 22 décembre 2014, le journal L’Opinion nous signale qu’un nombre croissant d’entreprises privées et d’administrations publiques répondent favorablement aux exigences des musulmans concernant la création de salles de prières sur les lieux de travail, les plannings adaptés aux contraintes des prières, les arrêts maladie au moment du ramadan, les tenues vestimentaires, l’absence de contacts avec les femmes et le refus de liens de subordination vis-à-vis de celles-ci. La finance elle aussi s’adapte à l’islam en embrassant l’investissement, l’assurance et le financement charia-compatibles, nouvelles sources de profits juteux. C’est ainsi que la prestigieuse Université Paris Dauphine organise depuis 2009 un Master en Principes et Pratiques de la Finance Islamique. Quant aux banques françaises, elles proposent depuis plusieurs années des fonds de placement et des polices d’assurances islamiques.

Les médias officiels se couchent devant l’islam

Quant à la classe médiatique, son islamophilie et son islamo-couardise sont totales. Les journalistes des médias officiels mentent à longueur de journée sur la monumentale régression civilisationnelle que constitue l’islamisation de notre pays. Ils veulent nous faire accroire que l’islam est une religion comme une autre et qu’il n’y a donc pas lieu de s’inquiéter de sa progression en France. L’absence de liberté de conscience et de droit à l’autonomie, la soumission des femmes, l’infériorisation juridique de droit ou de fait des non-musulmans en terre d’islam, ne sont jamais évoquées. Quand la classe médiatique s’exprime sur l’islam, elle travestit systématiquement la réalité pour empêcher le public d’être réellement informé sur ce qu’il est vraiment: un effroyable totalitarisme politico-religieux. Quant aux caricatures provocantes de Mahomet, un seul journal osait encore les montrer jusqu’au 7 janvier: Charlie Hebdo. La liquidation physique de ses journalistes emblématiques a été un tournant. Il faut s’attendre à ce que plus aucun journal ne reprenne à l’avenir les caricatures irrévérencieuses de Mahomet que l’hebdomadaire avait osé publier. Lui-même a décidé d’arrêter les provocations et de jouer l’apaisement. Sa Une du 14 janvier montre bien une caricature de Mahomet. Mais il s’agit d’un Mahomet sympathique, pleurant sur le sort de Charlie, un Charlie qui semble pardonner aux tueurs. Le journal a décidé de s’autocensurer, s’alignant ainsi sur la lâcheté observable depuis longtemps dans le reste de la presse hexagonale. La véritable résistance de Charlie Hebdo à l’obscurantisme musulman, incarnée par son numéro spécial Charia Hebdo de novembre 2011, avec ses caricatures mordantes du prophète de l’islam, est bien morte. Les défilés du 11 janvier étaient en fait la cérémonie d’enterrement de notre liberté d’expression. La terreur islamique a gagné.

Classe intellectuelle islamo-séduite

Il n’y a d’ailleurs pas que les journalistes qui pratiquent la désinformation concernant l’islam. La grande majorité des intellectuels, universitaires et enseignants font de même. Ainsi, l’esclavage généralisé pratiqué par les musulmans, dans tous les pays qu’ils ont conquis ou provisoirement envahis, en particulier en Afrique noire et en Europe, est passé sous silence dans le but scandaleux de fallacieusement présenter l’esclavage comme réductible à la traite transatlantique, c'est-à-dire comme une monstruosité uniquement européenne.

Cette honteuse réécriture de l’Histoire a même été validée par la loi mémorielle Taubira de 2001, une autre loi de censure qui, selon Philippe Nemo «empêche de rapprocher ces agissements [des Européens] d’autres pourtant parfaitement comparables, à savoir la traite négrière des Arabes et la traite intra-africaine qui se sont pratiquées à la fois antérieurement et postérieurement à la traite européenne». Par ailleurs, la contribution du monde musulman à l’élaboration et à la transmission des savoirs scientifiques et philosophiques est grandement exagérée dans les milieux intellectuels. Il existe ainsi un consensus parmi les universitaires français pour affirmer que le savoir gréco-romain a été principalement transmis aux Européens par les musulmans grâce à la conquête de l’Espagne par les armées des Omeyyades au 8e siècle. Ce qui est de la pure propagande islamophile comme l’a démontré Sylvain Gouguenheim dans son remarquable ouvrage Aristote au Mont Saint-Michel.

Les programmes de l’Education Nationale présentent aujourd’hui l’invasion et l’occupation musulmanes de l’Espagne entre les 8e et 15e siècles comme une période positive sur le plan de la liberté de culte, du dialogue interreligieux, et des avancées des sciences. Il s’agit, bien entendu, d’une reconstruction mensongère de l’impitoyable joug islamique subi par les Espagnols pendant sept siècles.

Et pour ne pas froisser les écoliers musulmans, à présent majoritaires dans de nombreux établissements, l’histoire sanglante des fréquentes invasions et incursions musulmanes dans le Sud de la France et dans la vallée du Rhône entre les 8e et 10e siècles n’est plus enseignée. De même, la Shoah est de plus en plus occultée par les professeurs des collèges et lycées pour ne pas provoquer la colère des élèves haineux des juifs et convaincus de la véracité des thèses négationnistes les plus grossières.

La France se soumet

Il faut se rendre à l’évidence: la France a renié ses valeurs de liberté et d’égalité pour se plier aux exigences de l’islam. Cet état de fait est le résultat de la veulerie et de la félonie de nos élites islamo-béates. L’oligarchie indigne et fatiguée de vivre qui nous gouverne a signé un pacte de soumission avec ses nouveaux maitres, à l’instar des populations chrétiennes et juives submergées et conquises par les armées d’Allah pendant la période d’expansion militaire de l’islam. Nous croyons être Charlie. Nous ne sommes que dhimmis.

Auteur connu de la rédaction, 17 février 2015

6 commentaires

  1. Posté par Lafayette le

    C’est l’année de la chèvre et pour certains celle du mouton. Mais le résultat est le même, la mondialisation.

  2. Posté par patrick lévy le

    …, les politiciens de tous bords n’ont pas encore compris ce que Diderot a écrit: l’islam est l’ennemi de la Raison; faudra-t-il encore beaucoup d’actes de barbarie de l’organisation terroriste de l’État Islamique ? Patrick Lévy.

  3. Posté par Pierre H. le

    @Charles Martel – Merci pour votre commentaire. Vous savez, les gens ne réalisent pas, effectivement. En plus, il est évident que les immigrés/réfugiés ne viennent pas avec des armes sur les bateaux qui arrivent quotidiennement comme par exemple en Italie. Mais ils n’ont pas besoin de prendre des armes avec eux puisque celles-ci, et des armes de guerre, sont déjà dans les cités. Ces armes sont comme des chevaux de Troie. Je suis persuadé que le stock d’armes se trouvant dans les cités serviront aux combattants qui arrivent parmi les “réfugiés-immigrés” ! Les gens doivent se REVEILLER !

  4. Posté par Charles Martel 732 le

    @Pierre H, je comprends votre désarrois face au manque de réaction du peuple et des armées françaises. en fait,actuellement, ni l’une ni l’autres ne se sentent en danger.
    Peux de gens on compris ce qui se passe. Peu à peu, les gens prennent conscience.
    Malgré l’action néfaste des gouvernements et de la presse.
    Agissant de la sorte, ils se mettent au banc de la société. Ils collaborent à l’avènement d’un projet islamique, conscients ou inconscients. Mais je pense que les peuples européens se réveilleront.
    Plus ils tarderont à se réveiller, plus ce réveil se fera dans le sang. Nous devons nous attendre à des combats en pleine rue au sein de la population qui seront aussi violents que ceux que nous avons découvert en 1994 en Bosnie-Herzégovine. Si nous ne voulons pas connaître ces massacres inter-communautaires, nous avons intérêt à pousser nos peuples à se réveiller au plus tôt. Mais comme le décrit ce très bon article, la situation est grave. Une autre solution plus radicale et plus rapide consiste à pousser nos armées à prendre le pouvoir, comme vous le suggérerez ?.
    Prions, pour que nos armées nous redonnent des officiers de la trempe des Argout, Chateau-Jobert, Salan, Zeller et Jouhaud, capables de dire “non”.

  5. Posté par Patrick Stocco le

    Le mage Houellebecq a vu juste.

  6. Posté par Pierre H. le

    Ce que je ne comprends pas en France, c’est que pour aller bloquer les routes avec des tracteurs ou occuper des usines en séquestrant les patrons ou encore bloquer 3 fois 1 heure le TGV sur l’axe Paris-Dijon, là, pas de problème ! Les fauteurs de troubles se montrent même extrêmement menaçants. Par contre, quand il y va vraiment de leur survie, là, les Français… Il faut qu’on m’explique çà ! Aussi, la France est un pays qui a connu et participé à des guerres, contrairement à la Suisse qui n’y a pas participé. Ils ont eu la 1ère et seconde guerre mondiale, l’Indochine, etc. Il y a des bérets-verts, commandos-marines, forces spéciales, etc. à la retraite et encore pas trop vieux. Je ne comprends pas comment ceux-là n’ont pas encore organisé une résistance armée comparable aux résistants de la 2ème guerre mondiale… Enfin, c’est peut-être moi.

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