8 commentaires

  1. Posté par Berquat le

    Relire les analyses de Bossuet,Tocqueville,Chateaubriand,Schoppenhauer,Malaraux ,Churchill,De Gaulle ,la liste n est pas exhaustive sur l Islam .Tous ces grands personnages relèveraient aujourd hui de la correctionnelle en France d une part et de fatwa dans certains pays musulmans.
    Il faut entendre les propos d une syrienne vivant aux USA , Wafa Sultan,musulmane pour bien comprendre ce qu implique l Islam du coran!!!mieux que mein kampf,avec lequel d ailleurs certaines similitudes ne sont pas à ignorer.

  2. Posté par Leb le

    Appel aux musulmans : ne faites pas de vos pays une nouvelle Allemagne nazie, par Ben Ammar Salem

    Dans cet article publié sur Tunisie Info, Ben Ammar Salem, un tunisien lucide, s’exprime plus librement sur l’islam que ne le fait n’importe quel média français, où la pensée unique et totalitaire interdit ne serait que d’examiner les similitudes qui rapprochent le nazisme de l’islam politique.

    Il n’existe nulle part au monde des exemples de lieux de culte devenus des caisses de résonance et des amplificateurs aux revendications sociales et politiques et pire encore d’exaltation de la pédophilie, du racisme, de l’antisémitisme et de la violence comme chez les musulmans. Quand bien même cela pourrait exister chez les autres, nul ne peut nier que les musulmans excellent en la matière, ils ont de plus en plus tendance à confondre prière et excitation de la bête immonde qui sommeille en eux. Les mosquées ressemblent à des stades de football où l’on vient pour libérer ses pulsions violentes, exorciser le démon qui est en soi, elles sont un défouloir pour les nombreux frustrés de la vie qui pullulent dans le monde musulman, qui fait écho aux maux qui les rongent et gangrènent leur société. Elles ne sont que l’expression du désarroi des populations avachies par le poids insupportable de la religion et symptomatiques de leur souffrance et de leur grave mal-être à s’arrimer au train de l’humanité.

    Crier sa haine du juif et du non-musulman est un leitmotiv dans le monde musulman et plus encore en Tunisie
    Les musulmans sont comme ces coureurs cyclistes du dimanche largués par le peloton qui au lieu de doubler d’efforts et d’énergie pour refaire leur handicap, ils se mettent à vociférer, à maugréer, à vitupérer, à s’agiter comme des forcenés, à stigmatiser et couvrir leurs devanciers d’un torrent de boues d’insultes et d’invectives comme s’ils étaient responsables de leur retard irréversible. Toujours la faute à l’autre, érigeant l’autre en bouc-émissaire de tous leurs échecs pathétiques, se donnant bonne conscience en brandissant l’étendard du religieux pour masquer leur propre insuffisance et se regarder de leur propre miroir. Quand on est incapable de faire sa propre introspection pour comprendre et analyser les causes de sa faillite, on se sert de l’autre comme un criminel cherche à se fabriquer un faux alibi pour échapper aux Fourches Caudines de la justice. Crier sa haine du juif et du non-musulman est un leitmotiv dans le monde musulman et plus grave encore en Tunisie, elle dont ni ses rues ni ses mosquées n’ont été des espaces inquisitoriaux et d’appels au meurtre du juif dans toute son histoire post-1956 et bien avant, à l’instar des scènes de pogroms et des autodafés devenus la marque de fabrique locale depuis le retour du Raspoutine tunisien R. Ghannouchi sur le sol national. Le pays de la douceur de vivre et du bien vivre ensemble ressemble désormais à une cité du monde des ténèbres offrant un visage de la barbarie humaine. Sans âme, ni raison humaine, où seuls dominent les cris des meutes de loups en voie de coloniser son territoire et ses agoras. La Tunisie est en train de perdre inexorablement son humanité et son pacifisme, pour accéder au statut de l’ignominie et l’indignité internationales.

    En un temps record, elle vient d’être sacrée terre de djihad et premier pays pourvoyeur de chair à canon dans la guerre impérialiste téléguidée par l’OTAN contre la Syrie. Manquant de discernement, veules, cupides et attirés certainement par l’appât du gain et les prébendes paradisiaques, ils ne se rendent pas compte qu’ils sont des marionnettes, des simples pions, une simple force d’appoint dans une guerre hégémonique néo-impérialiste. Comme ils ne savent pas que ceux-là mêmes qui les manipulent et les soudoie sont les mêmes qui dénoncent la montée du fanatisme et de l’obscurantisme en Tunisie. En vendant leur âme au diable comme ils qualifiaient eux-mêmes leur marionnettiste américain, ils discréditent l’image de leur propre religion qui n’est plus en état de guerre, dar al harb, depuis le 11 ème siècle, et jettent en même temps l’opprobre sur leur propre pays.

    Cette violence latente et nourrie par des préceptes coraniques d’un autre temps

    Tout ceci leur importe peu tant qu’ils ont l’ivresse de donner libre-cours à cette violence latente et nourrie par des préceptes coraniques d’un autre temps. Se croyant investis d’une mission divine, ils ne ratent plus une occasion pour exhiber leurs crocs et cracher leur venin sur tous ceux qui n’entrent pas dans leur moule idéologique. Aujourd’hui plus aucun espace n’est épargné, la mosquée comme la rue et le terrain syrien voire les cités-ghettos européens, ils sont devenus le théâtres de la catharsis musulmane où l’on joue la tragédie de sa propre vie où l’on fait de l’autre, cet ennemi imaginaire mais personnifié par des versets diaboliques et velléitaires pour exciter leurs pulsions destructrices et attiser le feu de la haine jamais éteint depuis 1430 ans.

    Des versets coraniques aussi innocents et humanistes que le nazisme

    Dans un tel climat délétère et hostile au droit à la différence, de l’exacerbation du fanatisme religieux, nourri par des versets coraniques aussi innocents et humanistes que le nazisme, auquel les islamistes vouent un véritable culte religieux, les prêches ne peuvent être à contre-courant de ce climat. Ils sont à la fois contaminés par le ver venimeux inoculé dans le fruit tunisien par les forces prédicatives et mercenaires wahhabites, et surtout ils servent d’exutoire à l’âme tourmentée des tunisiens en manque de repère, agonisant et désespérés, sans perspectives d’avenir, sauf les promesses de prébendes divines dont les abreuvent les prédicateurs-charlatans, vendeurs d’illusions et escrocs de la foi. Au lieu du pain et du jeu, on leur distille et on leur sert dans les mosquées un breuvage infect et empoisonné portant en lui tous les germes du poison mortel de la barbarie nazie.

    Quand on fait de la haine de l’autre un projet politique, on finit toujours par mourir de sa propre haine. L’histoire ne manque pas d’exemples en la matière. A commencer par la tyrannie arabe elle-même.

    – See more at: http://www.dreuz.info/2012/12/appel-aux-musulmans-ne-faites-pas-de-vos-pays-une-nouvelle-allemagne-nazie-par-ben-ammar-salem/#sthash.BXpLvLjf.dpuf

  3. Posté par charles Martel 732 le

    @Leb, merci pour ces informations très importante, il laisse un espoir quant à l’opposition entre l’Islam et nos idée. En effet, ce jugement et ses conclusions sont suffisamment explicite pour permettre à un avocat de débouter toute accusation d’islamophobie à l’encontre d’une personne qui opposerait à l’Islam sa non compatibilité avec la Démocratie.

  4. Posté par patrick lévy le

    …, Anne-Marie Delcambre a publié: la schizophrénie de l’islam. Patrick Lévy.

  5. Posté par Leb le

    Cour européenne des droits de l’homme: « La loi islamique est incompatible avec la démocratie et les droits de l’homme »
    18 janv. 2011

    Nous produisons ci-après des extraits d’un arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme du 31 juillet 2001 (texte intégral) dans lequel elle affirme que la loi islamique est incompatible avec la démocratie et les droits de l’homme. Cet arrêt a été confirmé par la grande chambre de cette cours le 13 février 2003 (texte intégral) (nouveau lien).

    Extraits de l’arrêt du 31 juillet 2001
    la Cour européenne des droits de l’homme a estimé que la Charia est incompatible avec la Convention européenne des droits de l’homme de 1950. Il s’agissait à cette occasion pour la Cour de juger si le gouvernement turc avait le droit de dissoudre un parti islamique turc, le Refah, en raison des valeurs prônées par ce parti (la Charia notamment). La Cour a validé la dissolution du Refah. Du jugement final, on citera essentiellement les extraits suivants :
    • La Cour constitutionnelle a rappelé qu’un tel système (la charia), qui avait ses origines dans l’histoire de l’Islam en tant que régime politique, s’opposait au sentiment d’appartenance à une nation ayant une unité législative et judiciaire.
    • Pour la Cour constitutionnelle, la Charia serait l’antithèse de la démocratie, dans la mesure où elle se fonde sur des valeurs dogmatiques et est le contraire de la suprématie de la raison, des conceptions de la liberté, de l’indépendance, ou de l’idéal de l’humanité développé à la lumière de la science.
    • La Cour reconnaît que la Charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictées par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques.
    • La Cour relève que (…) les références explicites à l’instauration de la Charia sont difficilement compatibles avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils résultent de la Convention, comprise comme un tout.
    • Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la Charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.
    • La Cour constitutionnelle (fait également référence) à la notion de djihad, qui se définit, dans son sens premier, comme la guerre sainte et la lutte à mener jusqu’à la domination totale de la religion musulmane dans la société.
    • La Cour constate également que les propos tenus par Xxxxx, le député d’Ankara, (…) traduisaient une haine profonde envers ceux qu’il considérait comme des opposants au régime islamiste. La Cour estime à cet égard que lorsque le comportement incriminé atteint un niveau élevé d’insulte et se rapproche d’une négation de la liberté de religion d’autrui, il perd pour lui-même le droit d’être toléré par la société. »

    Extraits de l’arrêt du 13 février 2003
    • La Cour rappelle que la liberté de pensée, de conscience et de religion représente l’une des assises d’une « société démocratique » au sens de la Convention. Cette liberté figure, dans sa dimension religieuse, parmi les éléments les plus essentiels de l’identité des croyants et de leur conception de la vie, mais elle est aussi un bien précieux pour les athées, les agnostiques, les sceptiques ou les indifférents.
    • Il y va du pluralisme – chèrement conquis au cours des siècles – qui ne saurait être dissocié de pareille société. Cette liberté implique, notamment, celle d’adhérer ou non à une religion et celle de la pratiquer ou de ne pas la pratiquer.
    • Par ailleurs, dans une société démocratique, où plusieurs religions coexistent au sein d’une même population, il peut se révéler nécessaire d’assortir la liberté en question de limitations propres à concilier les intérêts des divers groupes et à assurer le respect des convictions de chacun
    • Selon la Cour, dans une société démocratique, l’Etat peut limiter la liberté de manifester une religion, par exemple le port du foulard islamique, si l’usage de cette liberté nuit à l’objectif visé de protection des droits et libertés d’autrui, de l’ordre et de la sécurité publique
    • la Cour estime (…) qu’un parti politique dont les responsables incitent à recourir à la violence ou proposent un projet politique qui ne respecte pas la démocratie ou qui vise la destruction de celle-ci ainsi que la méconnaissance des droits et libertés qu’elle reconnaît, ne peut se prévaloir de la protection de la Convention contre les sanctions infligées pour ces motifs.
    • Nul ne doit être autorisé à se prévaloir des dispositions de la Convention pour affaiblir ou détruire les idéaux et valeurs d’une société démocratique.
    • Dans ce contexte, la Cour considère qu’il n’est pas du tout improbable que des mouvements totalitaires, organisés sous la forme de partis politiques, mettent fin à la démocratie, après avoir prospéré sous le régime démocratique. L’histoire européenne contemporaine en connaît des exemples.
    • la Cour partage l’analyse effectuée par la chambre quant à l’incompatibilité de la charia avec les principes fondamentaux de la démocratie,
    • A l’instar de la Cour constitutionnelle, la Cour reconnaît que la charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictés par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques.
    • La Cour relève que (…) l’instauration de la charia est difficilement compatible avec les principes fondamentaux de la démocratie
    • Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.
    • La Cour considère que, quelle que soit l’acception que l’on donne à la notion de djihad (dont le premier sens est la guerre sainte et la lutte à mener jusqu’à la domination totale de la religion musulmane dans la société), invoquée dans la plupart des discours mentionnés ci-dessus, une ambiguïté régnait dans la terminologie utilisée quant à la méthode à employer pour accéder au pouvoir politique.
    http://www.blog.sami-aldeeb.com/2011/01/18/la-loi-islamique-est-incompatible-avec-la-democratie-et-les-droits-de-lhomme/

  6. Posté par charles Martel 732 le

    Français, Suisses, nous ne sommes pas seuls à nous battre, voilà des arguments.
    Effectivement, le dit Mahomet n’a pas eu une vie très seine.
    Le fait d’avoir épouser une femme qui était la fille de son fils pose problème……pour nous occidentaux.
    Mais, cela ne pose pas de problème pour Mahomet et les musulmans, pour qui une femme peut être l’esclave de l’homme.
    Cela ne pose pas de problème à l’islam et aux musulmans d’adorer un bouquin écrit par un illuminé qui a tué la famille de sa onzième femme afin de se l’approprier.
    Cela ne pose pas de problème qu’il ai violée sa 3éme femme alors qu’elle avait que 9 ans.
    dans notre monde civilisé, cela s’appelle de la pédophilie.
    L’Islam n’est pas compatible avec nos valeurs occidentales.
    L’islam n’est pas compatible avec la démocratie.
    L’Islam est un livre de fascistes dépravés.
    Vous mentez au peuple français monsieur Hollande.

  7. Posté par BERNARD Pascal le

    la France déploie sa super armée , avec des fusils sans cartouche juste pour faire peur aux méchants
    certains vont se faire un plaisir de les égorgés , on expose nos pauvres jeunes militaire .on doit se défendre sans faire mal a l’ennemis au contraire il faut les protéger
    http://www.ledauphine.com/drome/2015/01/15/les-chasseurs-alpins-du-27e-bca-vont-investir-la-ville
    http://www.fdesouche.com/553051-valls-lautre-urgence-cest-proteger-compatriotes-musulmans

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