Comme vous le savez, le terme mafia a été utilisé par François Fillon à propos de l’UMP, et par Gérard Dalongeville à propos du PS. En effet la mafia au sens large ce n’est pas forcément le crime organisé comme Al Capone, ce mot désigne aussi un système organisé d’entente entre différents acteurs dont les intérêts convergent et qui utilisent pour ce faire le vol, l’intimidation, et s’accaparent les moyens d’institutions publiques.
En l’occurrence il s’agit d’une mafia médiatique, qui s’est imposée par elle-même, sans que personne ne vote ni ne puisse donner son avis. Ruquier impose les chroniqueurs de son choix, et invite qui il veut. Ces gens-là bénéficient donc d’un pouvoir considérable, sans le moindre contre-pouvoir, et qui domine les pouvoirs législatifs, judiciaires et exécutifs. C’est ce que j’ai appelé un Coup d’état médiatique.
Evidemment, cela ne vous étonnera pas, la mafia dont Laurent Ruquier est le parrain s’inscrit dans une mafia plus importante qui sont les médias de service public, bras armé de l’oligarchie, et qui partage donc la même idéologie marxiste, comme je vais le démontrer assez aisément d’ailleurs.
Extrait de: Source et auteur
Ces gens disposent d’un pouvoir immense et totalement illégitime : ils sont les ennemis de la démocratie !
Ben oui Jean Robin a raison, mais c’est encore plus grave que ça : si vous ne faites pas partie d’une “écurie” (église, parti politique, minorité, etc.) – lui il dit de une mafia – vous ne trouvez même pas un éditeur…
J’ai publié 6 livres et tous les 6 en payant …mais le problème continue dans ce sens que si vous ne bénéficiez pas de la pub (à la télé), votre livre reste dans le cercle de vos amis … et puis il finit au pilon…