Polanski n’a rien à voir avec la pédophilie qui est “l’attirance sexuelle d’adultes envers des enfants”. Ce n’est pas le cas de sa relation inappropriée avec une “modèle” âgée de 13 ans qui lui avait été confiée par ses parents pour qu’il en fasse une star… Voir tous les détails sur Wikipedia
Il faut aussi tenir compte que dès que les femelles atteignent leur maturité sexuelle c.-à-d. vers 12 ans, elles cherchent un mâle pour satisfaire leurs besoins physiologiques… Raison pour laquelle nos parents ne nous déposaient pas dans la villa de Jack Nicholson en compagnie de joyeux drilles, mais nous enfermaient au pensionnat …
Ceci dit “Samantha Geimer a déclaré ne pas éprouver de ressentiment et de vouloir clore définitivement sans ultérieures condamnations du réalisateur” cf. wiki.
On ne connait pas le montant des dommages et intérêts…
Polanski fuit les USA? Il vaut mieux prendre ses précautions dans un pays où des guerres peuvent tuer des millions de personnes, des terres peuvent être contaminées par de l’uranium appauvri pour des siècles, des exécutions peuvent être faites avec des poisons qui laissent agoniser pendant des heures, mais ou on risque d’aller en tôle pour une pipe… cf. Clinton ou DSK…
Le cas Polanski n’a rien à voir non plus avec les réseaux de pédocriminalité sur Internet ou genre affaire Dutroux ni avec les abus sexuels sur mineurs commis dans le cadre de l’église. On se souviendra du cas de l’alpiniste Claude Barbier et peut-être aussi de l’écrivain italien Cesare Pavese? Et combien d’autres? sans parler des drames dénoncés par Carmelo Abbate dans “Sex & the Vatican”
Le viol est devenu une arme de guerre même dans nos villes pour combattre la civilisation occidentale. En Belgique 10 viols sont dénoncés par jour..
http://www.levif.be/info/actualite/belgique/4000-viols-par-an-en-belgique/article-4000387965954.htm
Il y a donc bien d’autres raisons que de s’indigner des frasques de Polanski en 1977…
D’autant plus que les années 70 ont été libertaires et on se souviendra des films
“Préparez vos mouchoirs”, “Le dernier tango à Paris” , “L’empire des sens” , “Belle de jour” , “Les valseuses”, “Portier de nuit” etc. qu’aujourd’hui on n’ose même plus passer à la télé.
Si un festival comme celui de Locarno peut exister, c’est grâce aux énergumènes anticonformistes que l’on nomme “artistes” et qui sont rarement des enfants de chœur, bigots et puritains.
Comme disait l’ami La Rochefoucauld: “L’hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu”
Anne Lauwaert, 29 juillet 2014
Un commentaire de fille dont son propre père a abusé? J’ai détesté mon père pour cela, je ne l’aurais jamais dénoncé car cela n’aurait fait qu’aggraver mes problèmes et ruiné ma famille. J’ai appris que ce problème est fréquent, qu’il y a moyen de lutter et que rendre les filles moins innocentes SANS les dégoûter des hommes vaudrait peut-être mieux que tout ce “commerce” qui me dégoûte et je partage 100% l’opinion d’Anne Lauwaert.
Polanski bénéficie d’un joker, à vous de deviner lequel… Non, pas ‘gauchiste donneur de leçon’, ça c’est Cantat, qui lui a la main leste non pas sur la fesse mais dans la gueule.
Vous ne comprenez vraiment rien à rien.
Ni cette gamine, ni ses parents, ni Polanski ne peuvent remonter dans le temps. Ils ont leur passé et doivent vivre avec. C’est triste pour eux.
Vous, par contre, essayez de réfléchir aux effets sur l’avenir que ce type de discours banalisant est susceptibles d’engendrer, surtout s’il est répété par des gens se présentant comme éduqués, des notable invités des plateaux ou des évènements mondains!
La petite a été droguée, violée et sodomisée. Tout à fait normal pour une fille qui a “atteint sa maturité sexuelle vers 12 ans”, je suppose.
Quel dommage que M. Polanski n’eut été prêtre, le discours des bien-pensant aurait été totalement différent.
D’autres temps, d’autres mœurs. Il y a 45 ans un “Afro American” comme on dit aujourd’hui était traité de Negro et considéré comme un sous-être. Il devait monter à l’arrière des bus et n’avait pas le droit de se mélanger aux Blancs, pardon aux “Caucasiens”.
j’ai fait mieux: j’ai écrit un livre (le grimpeur maudit) pour poser la question autour du cas de mon compagnon l’alpiniste Claude Barbier qui s’est probablement suicidé
voir http://www.claudiobarbier.be
Ma fille, je ne l’ai jamais déposée dans la villa de Jack Nicholson en compagnie de lascars consomateurs d’alcol et de drogue pour qu’ils en fassent des photos qui la rendraient célèbre
Je n’ai pas élevé ma fille pour qu’elle devienne manquin qui pose pour Vogue ni à 13 ans ni plus tard
la “fillette” en question était un genre de mannequin qui déjà à 13 ans était dans le business médiatique et “posait” et dont les photos étaient publiées par Vogue, Gailey et faisait la “pretty baby” pour People …
et ça en 1977 !
voir les photos sur ce site –
https://www.google.ch/search?q=samantha+geimer&rlz=1C2EODB_enCH524CH524&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ei=rtHYU-2XC-r54QTPkoHIDQ&sqi=2&ved=0CBsQsAQ&biw=1011&bih=605
il s’agit de business
mais là c’est tout le maxi business des enfants exploités dans la publicité – en fait par leurs parents qui en font des mini miss… dès leur plus jeune âge – voir des photos sur ce site
https://www.google.ch/search?q=fillettes+mini+stars&rlz=1C2EODB_enCH524CH524&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ei=SNPYU87lO4He7AbGp4CgBA&ved=0CBsQsAQ&biw=1011&bih=605
Si Polanski avait fait de cette fille une star, les parents l’auraient-ils dénoncé?
Si aux USA il n’y avait pas tout ce business des plaintes-procès-dédomagements financiers, les parents l’auraient-ils dénoncé? On ne connait pas le montant des dommages qu’il a payés…
Qu’est ce qui a fait plus de tort à cette fille la mauvaise expérience avec Polanski ou le déballage public que les parents en ont fait?
Quand est-ce que les cultureux comprendront que le viole d’un enfant par un artiste ne relève pas de l’expression artistique mais d’un viole pédophile. Ce n’est pas une symphonie des sens; ce n’est pas un tableau néo-impressionniste; ce n’est pas un don culturel. C’est simplement infâme.
C’est une bonne idée de tenter de dédouaner et noyer la déviance des auteurs de tels actes sur les victimes (dont on achète le silence) ou sur les imperfections des États qui tentent de s’y opposer ou sur l’existence d’autres formes de déviance. Quel dommage que cela ne soulage que la conscience des auteurs.
Entre le faible qui cède à ses pulsions destructrices et l’intellectuel qui tente de les justifier ou de les minimiser, on se demande qui est le plus dangereux.
Consternant!
Si c’était votre fille de 13 ans qui avait été violée, vous n’auriez jamais, vraiment jamais écris un pareil article…