En Suisse, des sociétés fantômes, sans activité réelle, vendent des documents de travail factices destinés à obtenir une autorisation de séjour.
Pour environ 3000 euros, il est aujourd’hui possible pour un ressortissant de l’Union européenne d’acheter un contrat de travail artificiel et de s’installer en Suisse. Toutefois, le document, libellé par une entreprise légalement implantée sur le territoire helvétique, n’offre aucune activité réelle à la clé. Les sociétés qui le commercialisent ne sont rien d’autre que des boîtes aux lettres.
Tel est le scénario décrit en juin dans la Weltwoche. Selon le journal zurichois, certaines autorités cantonales s’avoueraient impuissantes.
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