Depuis quelques années, le site http://ripostelaique.com/ est victime, particulièrement de la part de tout ce que la France compte de ligues de défense des musulmans, d’une stratégie judiciaire d’intimidation qui a trouvé son dernier épilogue, provisoire, dans la récente condamnation de Pierre Cassen et de Pascal Hilout http://ripostelaique.com/justice-taubira-pascal-hilout-et-pierre-cassen-condamnes-a-payer-21-200-euros.html.
Tout cela pourquoi ? Eh bien tout simplement parce que Riposte Laïque et ses rédacteurs sont engagés dans un combat – vital, au demeurant – contre l’islamisation de la France, une islamisation qui, évidemment, menace la Suisse également. Cette terreur judiciaire avait conduit en son temps Riposte Laïque à rechercher la protection de la Suisse, pays dans lequel ses responsables espéraient trouver une meilleure protection de la liberté d’expression. C’est ainsi que Riposte Laïque Suisse est devenue l’éditrice du site.
Le répit, toutefois, n’aura été que de courte durée. En effet, la personne qui était jusqu’ici responsable de celui-ci commence à être harcelée par le Ministère public et la police de son canton, lesquelles donnent une suite complaisante à des demandes d’entraide judiciaire indigne d’un Etat de droit et du pays qui aime à se vanter d’être la patrie des droits de l’homme.
Pour se défendre contre une telle instrumentalisation de la procédure d’entraide judiciaire à des fins politiques (Valls et Taubira ne sont pas loin…), cette personne en a été réduite à saisir le Tribunal pénal fédéral (TPF). Se plaignant d’une motivation insuffisante de la demande d’entraide française, d’une violation du principe de la double incrimination et du caractère politique manifestement prépondérant du procès que la Justice française tente de faire à des gens qui ne font rien d’autre que de dire la vérité aux Français sur le danger qui les guette, elle s’oppose à la transmission aux Français des documents recueillis en exécution de cette demande d’entraide scandaleuse.
Savez-vous combien le TPF lui a demandé comme avance de frais (une avance sans laquelle son recours ne sera jamais traité) ? 5'000 francs. Oui, rien que ça ! Et pour autant que nous puissions comprendre comment cette avance faramineuse a été calculée, il apparaît qu’elle correspond, en toute simplicité, au maximum prévu par la loi dans des contestations non pécuniaires (art. 63 al. 4bis let. a PA).
En Suisse, il faut donc vraiment avoir les moyens pour défendre ses libertés et pour défendre la première d’entre elle, la liberté d’expression !
B. F. ( nom connu de la rédaction)
L'article incriminé, c'est ici


C’était en 2014, depuis les tribunaux ont-ils tranché ?
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En Suisse, nous avons un gouvernement qui a pour habitude de travailler dans la discussion et le compromis entre gens honnêtes et de bonne fois. Par contre, il est complexé par la taille de la Suisse et incapable de défendre nos valeurs contre des attaques extérieures.
Le credo, pas de bruit, pas de vague, pas de mouvements, conviendrait mieux aux herbivores attaqués par des prédateurs qu’à un gouvernement sensé défendre les valeurs et croyances d’un peuple souverain!
Que faire pour éviter que ceux qui devraient être les premiers garants de la Liberté d’expression de nous planter un coup de couteau dans le dos?