Sarcelles (95). L’ancien député-maire PS François Pupponi poursuivi pour le détournement de 122.459,56 € de fonds publics qu’il aurait utilisés pour un usage personnel

post_thumb_default

 

C’est une nouvelle affaire François Pupponi. L’ancien maire de Sarcelles (de 1997 à 2017) et ancien député (de 2007 à 2022), a rendez-vous au tribunal. Il doit comparaître pour détournement de fonds publics d’une valeur de 122 459 euros (et 56 centimes), à Paris, Sarcelles et en Corse, entre le 5 mars 2015 et le 2 janvier 2018.

L’IRFM est une indemnité forfaitaire qui a été créée en 1997 et remplacée le 1er janvier 2018 par l’Avance de frais de mandat (AFM). Cette enveloppe qui s’élevait en 2017 à 5 372,80 euros nets était destinée à couvrir les frais liés à l’exercice du mandat qui n’étaient pas directement pris en charge ou remboursés par l’Assemblée nationale. 

Par ailleurs, François Pupponi est actuellement toujours mis en cause dans l’affaire dite de la SEM chaleur, une société d’économie mixte chargée du chauffage de plusieurs dizaines de milliers d’habitants de Sarcelles. Il a été condamné par le tribunal correctionnel de Pontoise, puis par la Cour d’appel de Versailles pour abus de biens sociaux.

Il lui est reproché une utilisation abusive de la carte bancaire de la SEM Chaleur, une société d’économie mixte liée à l’exploitation du chauffage urbain de Sarcelles, entre 2004 et 2006, quand il en était le président. Après sa condamnation en appel, il a saisi la Cour de cassation qui n’a pas encore pris sa décision. Il demeure donc présumé innocent dans ce dossier.

Le Parisien

 

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.