« Ils nous parlent mal ou nous bousculent » : à Gravelines, des migrants empêchent les élèves de prendre le bus

 

La situation est devenue très compliquée dans le Nord de la France à cause de la présence toujours plus importante de migrants. Souhaitant rejoindre l’Angleterre, certains migrants stagnent dans la région avant de traverser la mer, engendrant des problèmes avec la population locale.

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Cette fois-ci, ce sont les élèves des environs de Gravelines, près de Dunkerque, qui sont impactés. En effet, selon CNews, certains collégiens ne peuvent plus se rendre en classe en raison du manque de place dans les bus scolaires massivement occupés par les clandestins.

« C’est un peu triste, car on ne peut plus prendre les transports en commun comme on voudrait les prendre », a témoigné une élève à la chaîne d’information. Une situation qui agace un habitant de la commune : « On est en train de regarder pour vendre la maison et partir de la zone parce que l’on a retrouvé à plusieurs reprises des migrants dans le jardin et des gens qui essayent de voler ».

Saturation du bus entre Grande-Synthe et Gravelines

La ligne de bus rejoignant Grande-Synthe et Gravelines est donc saturée par ces migrants. De plus, ces derniers ont des comportements irrespectueux avec les élèves qui parviennent tant bien que mal à monter dans les bus : « Parfois, ils nous parlent mal ou ils nous poussent ou nous bousculent », poursuit l’élève à CNews.

Un autre élève faisant le trajet raconte à Europe 1 que certains élèves doivent laisser passer un, deux, voire trois bus avant de pouvoir monter dans un non sans mal : « On se fait écraser, pousser, on ressort avec des bleus. C’est chiant parce qu’on n’arrive pas à respirer parfois, c’est très galère », raconte un Noé au micro de la radio.

Renfort de la police

Face à cette situation migratoire critique et cette dégradation de la vie des habitants de la commune, le maire de Gravelines a saisi le sous-préfet de Dunkerque pour demander des renforts de sécurité et plus de moyens de transport.

L’adjoint à la sécurité de la ville indique à Europe 1 que des « mesures ont été prises » et que désormais « un renfort de police pour faire le tri et donner prioritairement l’accès au bus aux gars du coin », sera effectué dans les prochains jours.

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Un commentaire

  1. Posté par antoine le

    ça coûte un blinde et ça occupe la police; elle serait beaucoup plus utile ailleurs !
    Qui paie ? Le con-tribuable; celui-ci est contrait vu les circonstances à se trouver un logis ailleurs …

Et vous, qu'en pensez vous ?

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