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Méfiance face à cette “bien-pensance” actuelle, vs passé.
Sans ignorer ce qu’était la Stasi où s’est formé ce dictateur “would-be dieu du monde”, les fonctionnaires de la DDR n’étaient pas aveuglément dictatoriaux, d’autant en comparaison de fonctionnaires Fr. de l’époque.
Exemple: réveillon St Sylvestre, en vl à travers l’Allemagne de l’ouest-DDR pour reprendre mon service hosto à Berlin, mon véhicule fut stoppé par les douanes de l’ouest (conduite interdite car mon permis de conduire CH n’était pas échangé). Dans cette soirée neigeuse, un rare automobiliste accepta de prendre mon volant sur 100m jusqu’aux douanes de la DDR. Qui me laissèrent filer à Berlin grâce à 1 permis provisoire émis s/place.
A l’opposé (même époque) : annulation de mon permis de séjour à Dijon où mes parents, laitiers-employeurs, étaient établis depuis début du XXe, sur motif “risque d’immigration”* vu que (leur courrier) j’avais travaillé à Londres, à Genève, à Berlin..
*motif “danger d’immigration” en Fr, car le CH demandeur avait travaillé à l’étranger?!! Oh les pauvres!
Comparatif permis de séjour de l’époque entre admin Fr/De:
– En Allemagne, mon permis, sous quotas, n’était obtenu que si permis de travail obtenu, lui-même accordé sur contrat de travail obtenu, lui-même validé si employeur prouvait ne pas trouver de m.o. locale – permis de séjour contrôlé par renouvelmt. bis-annuel.
– Tandis qu’en France, l’abrogation de mon pds au lieu de son renouvellement (jeune étudiante, conduisant à interruption études, éloignement famille-parents, annulation n° de sécu, engloutissement de mes versements, impôts payés), (inscription à l’Unil impossible car «quotas d’inscription dépassés dès ouverture», spécialisation inexistante à l’Unige) autorisait 1 demande de visa pour études interdisant travail, obligeant à quitter le territoire tous les ans, à chaque cycle universitaire. où l’on appris par la suite que leur motif réel était 1 fiche de dénonciation pour “collabo-nazi” par concurrents avides de mettre la main s. pptés immo Dijon-centre, de ma famille schwyzoise (parlant allemand donc forcément collabos-nazis ..), dont le crime, outre leur perf. éco, était d’avoir aidé les rescapés de camps via la croix-rouge suisse de Dijon (& pire, avoir soutenu la résistance avec cousins maternels de Savoie-Hte Savoie dans le maquis).
Effet “démocratique” de groupes d’immigrés devenus majoritaires.
Sans autre vigilance, le besoin autocratique d’auteurs de tels maux-mots vécus post WW2, trans-générationnels, reprend vigoureusement domination sous (toutes) forme(s).
En Europe toutes opinions autre que celle de gauche ou d’extrême gauche est classé extrême droite et ceux celle qui le pense doivent être éliminé.