Naissance du Mouvement Citoyen « Souveraineté Suisse » 01.08.2025, Communiqué de presse

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Genève – 1er août 2025

Naissance du Mouvement Citoyen « Souveraineté Suisse »

Halte à la soumission silencieuse : la Suisse doit choisir sa voie

Le 1er août, la souveraineté se réveille — il est temps pour notre nation

de redevenir maîtresse de son destin.

Le choix du 1er août, jour de la Fête nationale suisse, marque symboliquement la

naissance du mouvement Souveraineté Suisse. Face à l’érosion programmée de

l’indépendance helvétique, ce projet citoyen entend renouer avec l’esprit fondateur de

1291 pour réaffirmer que la souveraineté de notre pays est un héritage vivant, non

négociable.

Dans un contexte de pressions croissantes en faveur d’une intégration rampante de la

Suisse dans l’Union européenne, un nouveau mouvement citoyen voit officiellement le

jour : Souveraineté Suisse.

Né de la volonté de défendre activement la neutralité, la démocratie directe et

l’indépendance politique, économique et monétaire de la Confédération, ce mouvement

indépendant et non partisan appelle à une large mobilisation populaire en vue du

référendum décisif attendu d’ici 2027.

Une menace sournoise, une urgence démocratique

Alors que le Conseil fédéral poursuit des négociations avec Bruxelles en faveur

d’accords dits “d’adaptation”, visant à imposer progressivement la reprise automatique

du droit européen sans véritable débat ni consultation populaire, Souveraineté Suisse

dénonce une atteinte grave à la souveraineté nationale.

Quelques chiffres clés :

  • +1’200 lois européennes pourraient devenir automatiquement applicables en Suisse,

sans passer ni par le Parlement, ni par le peuple (source : Centre de politique

européenne - CEP).

  • +70’000 : solde migratoire net annuel, en hausse de +100 % depuis 2002, avec un

impact direct sur le logement, les infrastructures et les finances cantonales.

« Ce contournement des institutions démocratiques suisses menace les fondements

mêmes de notre État de droit. Il est impératif de réagir avec lucidité et détermination. »

— Ludovic Malot, fondateur du mouvement

« Une nation cesse d’être libre dès l’instant où elle abdique le droit de décider par elle-

même. »

— Alexis de Tocqueville

Un projet indépendant, structuré et tourné vers l’avenir

Le mouvement a été fondé par Ludovic Malot, économiste et entrepreneur franco-

suisse, actif en Europe et aux États-Unis dans plusieurs secteurs.

Titulaire d’un double profil académique en management international, gestion des

affaires et finance, il est également l’auteur d’un ouvrage pédagogique sur les

fondamentaux de la monnaie et les enjeux liés à une monnaie saine et dans l’intérêt

public. Podcasteur engagé, il milite depuis plusieurs années pour une Suisse libre,

souveraine et fidèle à ses principes fondateurs.

Fondateur de Souveraineté Suisse, il met son expérience internationale au service

d’une cause nationale : la défense de la souveraineté suisse, de sa neutralité et de sa

démocratie directe.

« Ce combat dépasse les lignes partisanes. Il s’agit de réveiller une conscience

nationale authentique et de rassembler toutes les forces vives autour d’un objectif

commun : préserver notre autodétermination. »

Voir le profil LinkedIn de Ludovic Malot

Un appel à l’action clair et inclusif

Souveraineté Suisse s’inscrit dans une logique d’innovation civique et stratégique. Il

entend fédérer les citoyens suisses autour de valeurs communes, en s’appuyant sur :

  • Une identité visuelle forte et un message clair
  • Une stratégie multicanale : digital, terrain, réseaux sociaux
  • Un financement participatif pluraliste et confidentiel, ouvert aux citoyens, personnes

morales et mécènes. Les contributions sont désintéressées, sans contrepartie, et

utilisées de manière ciblée et rigoureuse

  • Une mobilisation de la jeunesse, des familles, des seniors et des entrepreneurs
  • Une approche trilingue (FR/DE/IT) et ouverte aux soutiens internationaux

S’il respecte l’héritage de structures comme Pro Suisse ou l’ASIN, le fondateur affirme

vouloir proposer une dynamique nouvelle : plus souple, plus moderne, non dépendante

d’un parti, et pleinement accessible à tous.

Le mouvement défend avec fermeté les principes fondamentaux de notre pays, tout en

reconnaissant les valeurs démocratiques partagées avec d’autres nations européennes :

liberté, responsabilité, pluralisme, subsidiarité.

Ce n’est pas une opposition à l’Europe, mais une défense de notre liberté à coopérer en

restant souverains.

Ce que nous refusons, c’est une soumission sans débat ni choix du peuple.

La souveraineté n’est pas négociable.

Le combat se joue maintenant, pas en 2027

Alors que l’attention médiatique se focalise sur le vote attendu sur les Bilatérales III en

2027-2028, l’intégration de la Suisse dans les structures européennes progresse déjà à

bas bruit par le biais de réformes techniques, juridiques et sanitaires :

🔸 e-ID (votation le 28 septembre 2025) → Alignement automatique sur les standards

numériques européens

🔸 Initiative “Pour le cash” → Risque que l’argent liquide soit progressivement supprimé

au profit d’une monnaie numérique interopérable avec l’euro numérique.

🔸 Révision de la loi sur les épidémies (2026) → Intégration de certificats sanitaires

numériques dictés par l’OMS et reconnus à l’échelle UE

🔸 Initiative sur la neutralité → Réinterprétation permissive ouvrant la voie à des

engagements dans les mécanismes de défense européens

→ Le piège se referme : si ces quatre verrous sautent, le référendum de 2027 ne sera

plus qu’une formalité, une validation de façade d’une intégration déjà mise en œuvre

par la petite porte.

Le moment de résister, c’est maintenant.

En 2027, il sera trop tard.

Objectifs et premières actions

Le mouvement se donne trois grandes missions :

  1. Informer sur les enjeux réels de l’intégration progressive à l’UE
  2. Mobiliser l’ensemble des régions et générations
  3. Préparer activement la campagne référendaire à venir

Les premières étapes en cours :

  • Mise en place du comité fondateur et de la représentation régionale
  • Dépôt des statuts associatifs
  • Lancement des plateformes numériques et des canaux d’information
  • Organisation d’événements et levée de fonds initiale
  • Recherche d’alliances stratégiques avec des figures crédibles de la société civile

📩 Citoyens, rejoignez-nous ! Que vous soyez jeune, retraité, entrepreneur, étudiant ou

résident suisse à l’étranger : contactez-nous dès maintenant à info@souverainete-

suisse.ch ou commentez sur notre canal Telegram.

Votre voix compte. Votre engagement est essentiel.

La souveraineté n’attend pas. Ce combat est le vôtre. Rejoignez-nous.

Un appel à la solidarité nationale… et internationale

Souveraineté Suisse s’adresse aussi aux amis de la Suisse à l’étranger : entrepreneurs,

mécènes, Suisses de l’étranger, citoyens libres et attachés à la neutralité.

La constitution d’un véritable trésor de guerre est en cours pour garantir les moyens d’une

campagne structurée, indépendante et puissante.

Canaux Telegram officiels :

🇫🇷 Français : t.me/souverainetesuisse

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📩 Contact presse, partenariats & soutien immédiat : [email protected]

« Un peuple uni. Une voix souveraine. Un avenir libre. »

La souveraineté commence ici.

Que résonne à nouveau l’écho de Rütli : la souveraineté n’est pas un souvenir, elle est un

choix — ici, et maintenant.

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! 1er Août 2025 – L’heure de la résistance a sonné :

Défendons notre Souveraineté !

En ce jour symbolique de notre Fête nationale, alors que retentissent les cloches de

notre indépendance, un cri s’élève : la Suisse est en danger.

Notre souveraineté, notre neutralité, notre démocratie directe sont méthodiquement

grignotées, asphyxiées, dissoutes dans les arcanes opaques de l’Union européenne et

de la gouvernance globale.

Depuis vingt ans, le Conseil fédéral s’aligne, sans mandat populaire, sur les exigences

étrangères :

  • Sanctions économiques imposées par Bruxelles ;
  • Reprise automatique du droit européen ;
  • Participation à des programmes supranationaux sans votation préalable ;
  • Pressions internationales pour restreindre le secret bancaire, la

démocratie directe, l’argent liquide.

Cette dérive n’a jamais été votée. Elle s’est installée insidieusement, sous couvert de

pragmatisme, de modernité, d’efficacité.

Aujourd’hui, le peuple suisse doit reprendre le contrôle.

La démocratie directe menacée de mort

Au cœur de l’identité suisse se trouve un trésor politique unique : la démocratie directe,

ce droit fondamental du peuple à refuser ou accepter les lois qui le concernent.

Mais ce droit est en train d’être vidé de sa substance

Le Conseil fédéral négocie depuis des années, dans l’ombre, une reprise automatique

du droit européen, sans filtre, sans veto, sans possibilité de référendum.

Plus de 1 000 directives, règlements et normes européennes ont déjà été intégrées au

droit suisse — souvent sans débat public, souvent sans que vous le sachiez.

Et d’ici 2027, on nous annoncera en fanfare un référendum sur les accords Bilatéraux III,

présenté comme une formalité démocratique.

Mais tout aura déjà été verrouillé en coulisses.

Ce vote ne sera que le dernier clou dans le cercueil de la souveraineté suisse !

Face à ce coup d’État technocratique, orchestré par ce que beaucoup appellent

désormais le « Conseil des Traîtres » plutôt que des Sages, appuyé par les médias

subventionnés, les lobbys de multinationales, Économiesuisse, les ONG pro-UE, et des

experts appointés, le combat c’est maintenant.

Pas en 2027. Maintenant.

Nous devons refuser catégoriquement cette soumission.

Nous devons dénoncer cette trahison démocratique.

C’est une insulte à nos ancêtres, à notre histoire, à notre serment de 1291.

« Le peuple suisse et les cantons de Zurich, Berne, Lucerne… forment la Confédération

suisse. »

– Article 1er de la Constitution fédérale

Le Mouvement Souveraineté Suisse est né

Ce 1er août 2025, nous lançons officiellement le Mouvement citoyen Souveraineté

Suisse

Une initiative libre, indépendante et apartisane.

Une force collective de résistance, d’action et de reconquête.

Un appel à tous ceux qui veulent défendre la liberté, la neutralité et la démocratie réelle.

Ce mouvement vous appartient.

Il ne demande ni carte de parti, ni passé politique. Il vous demande du courage, de la

lucidité et de la détermination.

  • Vous avez des compétences ? Mettez-les au service de la cause.
  • Des idées ? Partagez-les.
  • Des ressources ? Aidez-nous à diffuser, imprimer, mobiliser.
  • Vous vivez à l’étranger ? Votre voix et votre appui sont précieux.
  • Vous êtes un ami de la Suisse ? Vous êtes des nôtres.

Défendre notre neutralité armée : pilier de notre modèle

Notre neutralité n’est ni une faiblesse, ni une passivité.

C’est une position active, fondée sur le non-alignement militaire, la non-ingérence et la

capacité de défense autonome.

« Une neutralité sans armée n’est qu’un mot creux. » — Général Henri Guisan

Depuis 1815, la neutralité armée a permis à la Suisse de préserver la paix, tout en offrant

ses bons offices.

Elle garantit que nos jeunes ne seront pas enrôlés dans des conflits étrangers, au service

de puissances militaires qui ne sont pas les nôtres.

Aujourd’hui, certains veulent rejoindre l’OTAN, aligner notre diplomatie sur celle de

Bruxelles, ou livrer du matériel militaire à des zones de guerre.

C’est une trahison directe de notre histoire et de notre promesse constitutionnelle.

Nous disons non.

L’argent liquide : un rempart fondamental

À l’heure du contrôle numérique et de la surveillance bancaire, l’argent liquide reste un

bastion de liberté individuelle.

Chaque billet de 100 francs que vous tenez est un acte de souveraineté. Il garantit

l’anonymat, l’autonomie, la résistance à l’arbitraire.

C’est pourquoi nous demandons l’inscription de l’argent liquide dans la Constitution

suisse comme droit inaliénable.

Le numérique ne doit jamais devenir une obligation.

Le cash, c’est la liberté.

28 septembre 2025 : Dire NON à l’identité numérique

Dans deux mois, un vote crucial aura lieu

Le projet d’identité numérique fédérale — cheval de Troie du crédit social à la chinoise

— doit être massivement rejeté.

Derrière les slogans d’accessibilité et de simplicité, se cache un système de contrôle

total :

  • Traçabilité intégrale des transactions,
  • Exclusion automatique en cas de désaccord politique,
  • Centralisation des données médicales, financières, administratives.

Nous avons vu ce que cela donne ailleurs.

En Suisse, nous devons dire NON. Fermement. Unanimement.

Une tradition de courage

En 1291, nos ancêtres ont juré de vivre libres ensemble ou de mourir.

En 1940, le général Guisan a donné l’ordre du réduit national, appelant à résister coûte que

coûte.

Aujourd’hui, la menace n’est plus militaire. Elle est juridique, technologique, culturelle,

économique.

Mais la résistance doit être la même : totale.

Une lutte suisse, un espoir mondial

Ce combat n’est pas seulement le nôtre.

Il est suivi, soutenu, espéré par :

  • Des mécènes prêts à défendre notre modèle,
  • Des expatriés suisses engagés,
  • Des peuples du monde entier qui voient encore en la Suisse un symbole

d’indépendance.

Ne les décevons pas. Ne nous décevons pas.

Partagez ce message dès maintenant avec :

  • 5 amis proches (ceux qui partagent vos valeurs),
  • 10 contacts professionnels ou engagés,
  • Et 1 personne influente (journaliste, élu, entrepreneur, créateur de contenu).

Ensemble, faisons entendre la voix du peuple suisse.

Nous sommes en guerre.

Une guerre silencieuse.

Une guerre contre l’effacement.

Mais nous la gagnerons.

Parce que nous sommes suisses.

Parce que nous sommes libres.

Parce que nous sommes debout.

« La liberté ne se mendie pas, elle se conquiert. » – William Tell

Nous ne nous soumettrons pas.

Nous défendrons chaque pouce de souveraineté. Jusqu’au bout.

Au nom du peuple suisse,

des quatre régions linguistiques —

française, allemande, italienne et romanche —

et de toutes celles et ceux qui refusent de voir la Suisse se soumettre :

Ludovic Malot

Fondateur du Mouvement Citoyen Souveraineté Suisse

Entrepreneur & Économiste franco-suisse

(signature manuscrite pour incarner la naissance du mouvement)

Vous pouvez retrouver ce communiqué et la tribune dans les trois langues nationales,

ainsi qu’en anglais pour vos contacts à l’international, directement sur nos canaux

Telegram. Rejoignez-nous. Diffusez. Résistez.

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4 commentaires

  1. Posté par Thomann le

    Je suis d accord avec l ensemble de vos affirmations. Fervent défenseur de la Suisse et de ses institutions je souhaite que nous gardions notre indépendance, notre souveraineté et notre démocratie directe.
    Je vous félicite donc pour votre initiative et me permets de vous donner un conseil. Pour obtenir gain de cause dans une votation populaire il faudra avancer les bons arguments afin de rassurer la population qui craint que la voie que vous prônez nous isole et nous marginalise.
    En effet, le problème est que vos arguments, vos affirmations sont probablement partagées par une grande majorité de la population. Le point n est pas de demander au peuple si il veut être indépendant et souverain, mais il faudra expliquer pourquoi la voie de l indépendance telle que vous la proposez est meilleure que la voie de la soumission et cela avec des exemples à l appui de nature à démontrer que dans 5 ans , dans 10 ans la voie de l indépendance nous permettra tout de même de maintenir notre niveau de vie , notre prospérité.
    En effet le problème est que les gens ont peur que la voie de l indépendance nous prive d une croissance économique garante de notre prospérité.
    Je vous engage donc à préparer, comme vous l avez très bien fait dans ce document, une liste aussi longue de points avec la demonstration point par point de la pertinence de la voie indépendante en expliquant pourquoi point par point cette voie ne nous isolera pas.
    Bonne campagne
    Cordialement.
    Jacques-Olivier Thomann
    28 Grubenstrasse
    3780 Gstaad

  2. Posté par PROST le

    Defendez votre souveraineté ; je suis un français qui a souhaité l’Europe et qui est trahi par elle .

  3. Posté par aldo le

    Et en baissant son froc, la Suisse a eu toutes les calamités liées au Grand remplacement par l’immigration de masse, mais pas l’abrogation du roaming pour les téléphones lors de vacances à l’étranger. On voit que l’actionnariat du Conseil fédéral chez Swisscom, fait de cette entreprise un véritable bastion de fonctionnaires bolchéviques avec des administrateurs aussi issus de l’Europe… dont le totalitarisme atteint des sommets pour imposer des téléphones portables en obligeant la double vérification 2AF pour consulter son compte. Des milliers voir des millions de personnes sous mises sous ce chantage ce qui ne gêne personne. Et ces plaintes peuvent encore être consultées. Et si vous n’avez pas pu consulter vos comptes faute d’arriver à obtenir la 2AF, qui peut aussi se faire par software, vous n’avez donc pas pu consulter ni accepter les nouvelles augmentations et conditions générales et faute de votre approbation vous pouvez résilier séance tenantes sans devoir plusieurs mois, un contrat auquel vous n’avez pas pu adhérer à cause des leurs imbécilités volontaires et très intéressées. Tout le système d’achat de cartes sim ou e-sim est sous la coupe de requins qui pourraient bien être aussi les mêmes qui traînent dans les problèmes et escroqueries liés aux cartes de débits et de crédit et dont les sièges sont aux Etats-Unis. Dernièrement un “vieux” suisse alémanique a saccagé un magasin Salt. On devait l’avoir rendu fou avec tous les abus liés à l’obtention d’une carte sim.

    La dernière corporation à avoir établi la liberté professionnelle avec équivalence des diplômes pour les étrangers, ce sont les avocats… Vous comprenez ainsi un peu mieux leurs tarifs prohibitifs et leur spécialisations pour les réfugiés lorsqu’ils sont nuls, puisque tout peut être totalement automatisé et le paiement garanti par l’Etat. Voilà pourquoi les bavards ne devraient pas pouvoir être éligibles à des fonctions politiques, puisqu’ils en abusent en stimulant la création de lois parfois totalement imbéciles voire inutiles, mais aussi avec des imperfections volontaires. Visiblement en gonflant les codes, ils se fabriquent du boulot, comme de bons bolchéviques totalitaires et avec des passerelles politiques qui n’interdisent pas des connivences avec les juges. Voilà pourquoi ils se sont placés au-dessus des politiques, ce qui s’appelle justement le gouvernement des juges, un bouquin de Zemmour.

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